newsroom-emlyon.jpg
Type de newsroom
Contenu - Text enrichi 1

Que ce soit pour passer un cap professionnel ou faire le point sur sa carrière, l’Executive MBA (EMBA) d’emlyon business school ouvre de nouvelles perspectives à ses participants. Parmi elles : l’entrepreneuriat. Exemple avec Sébastien Beauchêne, qui s’est tourné vers la reprise d’entreprise après son passage à emlyon business school. 

Que ce soit pour passer un cap professionnel ou faire le point sur sa carrière, l’Executive MBA (EMBA) d’emlyon business school ouvre de nouvelles perspectives à ses participants. Parmi elles : l’entrepreneuriat. Exemple avec Sébastien Beauchêne, qui s’est tourné vers la reprise d’entreprise après son passage à emlyon business school. sebastien-beauchene-EMBA-emlyon Responsable de production dans l’automobile, Sébastien Beauchêne a évolué et progressé une dizaine d’années dans des ETI internationales. Tout le prédestinait à devenir directeur général et l’occasion s’est présentée en 2009. Une belle opportunité, qu’il décide de relever mais pour laquelle il souhaite renforcer ses compétences. « J’avais besoin de me mettre à niveau en finance. J’ai donc choisi l’EMBA d’emlyon, une formation que j’avais en tête depuis quelques années », explique cet ingénieur de formation. Pendant deux ans, il met à jour ses connaissances et en acquiert de nouvelles, pour se préparer à une prise de fonction qui n’interviendra finalement pas puisque son dirigeant de l’époque se ravise. Rebond rapide et esprit maker Sébastien Beauchêne rebondit rapidement dans un groupe canadien en tant que directeur de site. « L’Executive MBA m’a clairement permis d’avoir ce poste. C’est un must have pour un groupe anglo-saxon », ajoute-t-il. Un an plus tard, il est rappelé pour prendre la direction d’usine puis la direction générale chez son précédent employeur. La boucle est bouclée. Mais son passage au sein d’emlyon a été un déclic. Sébastien Beauchêne a touché du doigt l’entrepreneuriat, l’esprit maker qu’il cultivait depuis toujours sans vraiment s’autoriser à le mettre en pratique. Il a d’ailleurs suivi des modules autour de la reprise d’entreprise pendant le programme. « L’EMBA a été un catalyseur entrepreneurial », résume-t-il. Rachat d’entreprise Sa réflexion mûrit et il décide de se lancer en 2019 dans une reprise d’entreprise. Son choix se porte sur une serrurerie métallerie, SML, située dans la Loire. « Cette rencontre a été un coup de cœur pour le savoir-faire, le travail du métal et les process utilisés. J’avais aussi la volonté de sortir de l’univers de l’automobile et le BTP représentait un challenge très intéressant », souligne Sébastien Beauchêne. L’entreprise compte alors 11 salariés et réalise 2 millions d’euros de chiffre d’affaires. Il s’appuie sur les enseignements de l’Executive MBA, notamment autour du diagnostic et de la valorisation, mais aussi sur un club de repreneurs, le CLENAM. « Ces moments d’échange sont précieux et créent une passation, une transmission de savoir-faire autour de la reprise d’entreprise », détaille-t-il. La clôture du deal prend 14 mois et il devient dirigeant d’entreprise en pleine crise sanitaire. Ce contexte ne l’empêche pas de performer. Deux ans après le rachat, SML emploie 16 personnes et réalise 3 millions d’euros de chiffre d’affaires. « C’est un projet très épanouissant, je me régale. Même si la période est difficile, je suis heureux de la vivre au sein de mon entreprise », conclut Sébastien Beauchêne.

Publish on
newsroom-emlyon.jpg
Fonction ou formation du témoin

Diplômés de l'Executive MBA

Témoignage de

Laurencia Musol et Sébastien Jonard

Type de newsroom
Type de formation
Contenu - Text enrichi 1

Programme ambitieux et classé TOP 5 des meilleurs Executive MBA en France (Financial Times 2022), l'Executive MBA d'emlyon business school est un véritable accélérateur de parcours professionnels. Les participants développent leur capacité à décider et diriger dans un monde complexe. C'est pour ces raisons que Laurencia Musol et Sébastien Jonard se sont lancés dans l'aventure en 2021. Ils reviennent sur deux années intenses et riches, qui ont bouleversé leur trajectoire professionnelle.

A lire également - Texte

A lire également

Publish on
newsroom-emlyon.jpg
Type de newsroom
Contenu - Text enrichi 1

À seulement 29 ans, Thomas Azoppardi est le plus jeune diplômé de l’Executive Master Management Général emlyon business school et déjà à la tête de son entreprise. Rencontre avec un homme guidé par la curiosité.

À seulement 29 ans, Thomas Azoppardi est le plus jeune diplômé de l’Executive Master Management Général emlyon business school et déjà à la tête de son entreprise. Rencontre avec un homme guidé par la curiosité. Thomas_Azoppardi_Executive_Master_Management_General Repenser toute sa carrière professionnelle à seulement 26 ans est un pari osé. C’est celui de Thomas Azoppardi. Ce diplômé en génie civil a rapidement gravi les échelons dans le secteur du BTP. Il dirige alors des projets de construction pour les grands acteurs du marché : Bouygues Construction, Spie Batignolles … Il apprécie l’éclectisme de ses missions, le management transverse, la diversité des équipes. En 2017, Thomas Azoppardi quitte la région parisienne pour rejoindre Lyon où il pilote la création d’une agence régionale pour le compte du groupe Rougeot, spécialiste des travaux publics, de la construction et de l’énergie.« Il a fallu trouver des locaux, négocier les assurances, recruter, développer… Ce projet avait tout de la création d’entreprise. J’avais les compétences opérationnelles mais j’ai ressenti le besoin d’être accompagné pour acquérir la culture business, finance et élargir mon champ de vision », explique Thomas Azoppardi. Il se tourne alors vers l’Executive Master Management Général d’emlyon business school. Mise en pratique des apprentissages Il apprécie l’orientation business du programme, la confrontation et les échanges avec ses pairs. « Je venais chercher des compétences et de la légitimité et j’ai ouvert mon horizon. La finance, le marketing, le parcours introspectif… J’ai également beaucoup apprécié les modules de stratégie. Cette formation a été un révélateur », résume le jeune dirigeant. Il met en pratique chacun de ses apprentissages au sein de l’agence qu’il pilote. Et échange avec plus de facilité avec les interlocuteurs stratégiques du groupe. La croissance est rapide. À l’issue de sa formation, il gère une équipe de 55 personnes. Création d’une entreprise de conseil Mais le confinement et la rédaction de son mémoire l’amènent à réfléchir à son parcours professionnel et l’incitent à se lancer dans un nouveau challenge professionnel. « J’ai toujours eu l’âme entrepreneuriale. emlyon business school a validé et accéléré cette envie et l’Executive Master Management Généralm’a poussé à me lancer. J’ai créé mon entreprise en septembre 2020 autour de la maitrise d’œuvre d’exécution et le conseil stratégique auprès des entreprises du bâtiment. Je ne pensais pas aller si loin dans mon offre mais mon expérience à la tête d’une agence puis au sein d’emlyon m’ont encouragé à développer le volet conseil », détaille Thomas Azoppardi. Baptisée Azoppardi Conseils, cette entreprise intervient ainsi en direction de travaux, maîtrise d’œuvre d'exécution et assistance rédactionnelle pour tous les sujets techniques, administratifs et contentieux. Les premiers projets sont signés avec des architectes et des groupes de promotion immobilière. VOTRE CONTACT Photo Sabine Chavanelle Sabine Chavanelle Conseillère en formation Tel. 06 02 15 88 47 chavanelle@eml-executive.com Prendre RDV

Sabine Chavanelle Conseillère en formation Tel. 06 02 15 88 47 chavanelle@eml-executive.com Prendre RDV

Publish on
newsroom-emlyon.jpg
Fonction ou formation du témoin

Diplômé de l'Executive Master

Témoignage de

Cédric Lihard

Type de newsroom
Type de formation
Contenu - Text enrichi 1

Musicien professionnel, facteur et aujourd’hui directeur d’unité opérationnelle au sein du groupe La Poste… Cédric Lihard mène sa carrière à la baguette, avec une soif d’évolution constante. Rencontre avec un assoiffé de connaissances.

Cédric Lihard ne craint pas l’effort. Judoka et musicien professionnel, il sait absorber la charge de travail, s’appuyer sur ses pairs et redoubler d’efforts pour décrocher la victoire. Et il n’a eu de cesse de mettre en pratique ces valeurs dans sa carrière professionnelle. Depuis 2008, il fait partie du Groupe La Poste. « Après 5 années à parcourir le monde pour la musique, j’ai choisi d’intégrer La Poste avec l’objectif de gravir les échelons au sein du groupe », explique Cédric Lihard. Il commence ainsi en tant que facteur puis évolue au sein de la branche Courrier de La Poste. En 2011, il devient manager. Ce « latin un peu impulsif » comme il se décrit lui-même se tourne alors vers la formation pour acquérir de nouvelles compétences et gagner en légitimité. Avec le CESI, il suit un programme de management de proximité. Et est nommé rapidement Responsable de production.     Bouleversement et rencontres à emlyon business school   Toujours porté par une soif d’apprendre et de progresser, Cédric Lihard s’intéresse à l'Executive Master Management Général (PGM) proposé par emlyon business school sur les conseils de son collègue responsable des ressources humaines. « J’avais besoin de confronter mes compétences avec une business school, vérifier mon employabilité dans le secteur privé. Mon évolution avait été rapide, je voulais prendre le temps de me remettre en question. Mon objectif était aussi, à terme, de devenir Directeur d'établissement (DUO) », détaille Cédric Lihard. L'Executive Master Management Général est une véritable découverte, voire un bouleversement. « Je me doutais que le rythme allait être intense. Je pensais être préparé, j’ai l’habitude de beaucoup travailler. Mais cela change énormément. J’ai été remué, poussé dans mes retranchements pendant 18 mois. Je ne m’attendais pas au brassage ni aux rencontres. J’ai tissé des liens avec des personnes aux profils très différents, que je n’aurais jamais rencontrées sans emlyon business school. Aujourd’hui, mon savoir-être est différent, j’ai gagné en confiance », résume-t-il. Le soutien de sa famille et de ses collègues sont des appuis précieux. Les journées sont denses, d’autant qu’il doit, pendant quelques mois, remplacer son directeur tout en assurant son poste et en continuant la formation. « C’était une période difficile, mais j’ai réussi à relativiser en me rappelant les compétitions de judo. Ces moments intenses de préparation ont décuplé mon endurance », précise Cédric Lihard.   Développement personnel et performance managériale   La formation Executive Master Management est aussi, pour Cédric Lihard, l’occasion d’analyser sa posture managériale, de tirer des enseignements de ses précédentes expériences. Il choisit, parmi les électifs proposés de suivre les modules de Développement personnel et performance managériale*. Au quotidien, il constate les apports des enseignements reçus : Cédric Lihard s’apaise, apparaît plus serein aux yeux de ses collaborateurs. Il est d’ailleurs promu Directeur d’unité opérationnelle. Aujourd’hui, il gère tous les services de son établissement : finance, RH, administratif… « Les modules électifs m’ont permis d’être davantage dans l’écoute, de favoriser l’intelligence collective. Je me sens aussi plus performant dans les négociations avec les organisations professionnelles. Je me suis recentré sur les valeurs de l’entreprise, celles qui m’animent au quotidien et m’ont permis d’évoluer sans cesse », souligne Cédric Lihard. Avec la crise sanitaire, il a rapidement déployé ses nouvelles compétences. Cédric Lihard a maintenu son collectif au complet. « J’ai pu faire preuve de recul et avoir une vision pour animer différemment mes équipes dans cette période », ajoute-t-il. emlyon business school lui a permis de s’ouvrir sur le monde et d’éveiller sa curiosité. Cédric Lihard a déjà des projets d’évolution plein la tête.   * L’électif Développement personnel et performance managériale est également proposé sous forme de certificat et votre contact est Ingrid Yakouben

Vos contacts Sabine Chavanelle Conseillère en formation Lyon Tel. 06 02 15 88 47 chavanelle@eml-executive.com Noémie Alves Conseillère en formation Paris et VAE Tel. 01 53 34 23 91 alves@eml-executive.com

Publish on
newsroom-emlyon.jpg
Type de newsroom
Contenu - Text enrichi 1

Le monde du transport a été touché de plein fouet par le coronavirus. Comment s’adapter et éviter l’arrêt ? En disruptant. C’est ce que tente de faire Anne-Marie Colley, codirigeante des Transports Cordier et participante de l’Executive MBA emlyon business school.

Avec l’annonce du confinement, plusieurs secteurs se sont arrêtés. C’est le cas du transport routier, qui a vu son activité considérablement baisser. « On s’est retrouvé avec quelques camions à l’arrêt », raconte Anne-Marie Colley. La codirigeante des Transports Cordier a d’abord mis en chômage partiel une partie réduite de ses équipes avant de se raviser. « Pendant 48h00 nous avons étudié les différentes options qui se présentaient à nous et nous avons décidé de remettre en fonction la totalité de notre outil de production. Cette option « forte » nous a amené à mettre en place avec l’équipe commerce un travail de prospection de « volumes » auprès de nos clients mais également sur des marchés plus éloignés de notre cœur de métier. Simultanément nous avons installé une communication engagée auprès de nos équipes qui étaient en télétravail et roulantes pour faire passer deux grands messages : « Prenez soin de vous et de vos proches » et « Nous réussirons ensemble à garder notre modèle économique grâce à notre engagement individuel » ». C’est ainsi qu’est né le « journal » des transports Cordier. Une newsletter hebdomadaire qui relatait la vie confinée des équipes, à domicile ou sur la route. « Une véritable bouffée d’air, attendue des équipes. On retrouvait des photos de paysages prises par les chauffeurs, le quotidien familial de nos salariés en télétravail… La proximité s’est maintenue malgré le confinement », ajoute Anne-Marie Colley. Cette stratégie a aussi permis à l’entreprise de capter de nouveaux clients et d’ouvrir de nouvelles lignes. « Globalement, pendant cette crise, nous avons plus que jamais un esprit disruptif. On regarde constamment ce qu’on pourrait faire différemment, on est imaginatifs. Et on multiplie les analyses pour trouver des solutions ailleurs », détaille la dirigeante. Cette perpétuelle remise en question est un véritable état d’esprit chez Anne-Marie Colley et son époux Ludovic. Depuis qu’ils ont repris l’entreprise familiale en 2007, ils n’ont eu de cesse d’innover pour croitre et améliorer la rentabilité de la structure. C’est ainsi que la valorisation a été multipliée par 6 en 13 ans. L’entreprise emploie aujourd’hui 400 personnes et réalise 49 millions de chiffre d’affaires. En plus du transport routier volumineux, elle s’est aussi développée dans le combiné rail – route. Une formation Executive MBA emlyon business school Le duo, très complémentaire, s’appuie également sur les enseignements de l’Executive MBA pour innover en période de crise. En effet, Anne-Marie Colley s’est inscrite en octobre dernier pour suivre ce diplôme international à emlyon business school. « Reprendre mes études me faisait envie depuis longtemps. J’avais envie de me remettre en question, d’apprendre de nouvelles façons de faire. Le rythme quotidien est dense, on agit instinctivement et on manque de recul. L’EMBA m’a déjà permis de travailler ma posture, mon leadership individuel. Il ouvre mon champ des possibles et nous rend encore plus agiles », explique Anne-Marie Colley. Avancées concrètes Meilleure communication avec les équipes, amélioration de certains process, découverte des outils digitaux… En quelques mois, Anne-Marie Colley apprécie les bénéfices apportés par l’EMBA et mesure concrètement les avancées dans son entreprise, particulièrement en période de crise. « Nous avons connu deux crises en peu de temps : une cyber-attaque en novembre 2019 suite à laquelle nous avons perdu des données d’exploitations. Et maintenant celle du coronavirus. C’est éprouvant mais cette formation m’aide énormément pour appréhender ces situations », ajoute la dirigeante. La reprise est également un challenge. Mais le couple le relève toujours avec envie et brio. Et explore déjà de nouvelles pistes de développement pour les transports Cordier. Pour plus d'information, téléchargez la plaquette

Contact Virginie Lafont
gdba@eml-executive.com
+33 (0) 6 81 73 28 80

Publish on
newsroom-emlyon.jpg
Contenu - Text enrichi 1

Innover et porter des projets structurants au sein d’une organisation, c’est ce que permet l’intrapreneuriat. Cela répond à un besoin d’autonomie des collaborateurs et à la nécessité des entreprises de s’appuyer sur des profils stratégiques, fédérateurs et porteurs de valeurs. Mais cette démarche doit être accompagnée et communiquée en interne. Alors comment développer et encourager l’intrapreneuriat ? Éléments de réponse

L’intrapreneuriat, qu’est-ce que c’est ? Ce néologisme est une contraction entre le préfixe « intra » et le nom « entrepreneur ».
Il permet à un collaborateur de lancer un projet innovant, en le menant de A à Z, dans son entreprise. Il devient entrepreneur tout en restant salarié. Ainsi, la prise de risque est maîtrisée. Il peut s’appuyer sur les ressources de sa structure pour avancer ses idées et trouver des financements et des appuis. Et il assouvit sa soif d’entreprendre. Du côté de l’entreprise, l’intrapreneuriat est source d’innovation. Lancement de produit ou de service, détection d’un nouveau marché… la création de valeur est forte. Les intrapreneurs sont des profils clés sur lesquels la direction peut s’appuyer. Qui peut devenir intrapreneur ? N’importe quel collaborateur ou manager ayant une fibre entrepreneuriale. Aujourd’hui, de plus de plus de personnes ont des idées de business et souhaitent les mettre en place pour s’épanouir. Face à cela, les entreprises ont un besoin constant d’innovation, pour faire face à l’évolution rapide du marché et des concurrents. L’intrapreneuriat répond aux besoins des deux parties : l’entreprise ne voit plus partir ses talents et compte, dans ses effectifs, des porteurs de projets innovants. En développant le capital humain, elle motive ses équipes, innove et assure sa pérennité. Quant à l’intrapreneur, il met en pratique ses idées, gagne en autonomie et s’appuie sur une structure déjà installée. Attention, l’intrapreneuriat est une démarche à formaliser. Pour fonctionner, elle nécessite de l’autonomie et de la confiance mais aussi des compétences. Il faut également s’assurer d’avoir les ressources nécessaires en interne, et mettre en place des règles et un accompagnement. Comment mettre en place l’intrapreneuriat ? En commençant par encourager cette pratique. L’entreprise doit communiquer sur le fait qu’il est possible d’être intrapreneur. Pour cela, plusieurs choses peuvent être mises en place comme une boite à idées dans laquelle les salariés déposent leurs suggestions de projets, ou un concours d’idées, sur un thème prédéfini, au cours duquel les salariés pitchent leurs suggestions. Dans tous les cas, un jury doit statuer sur le/les meilleur(s) concept(s) et l’entreprise met ensuite à disposition des gagnants les moyens nécessaires à son développement. Quels moyens proposer pour favoriser l’entrepreneuriat ? Certaines entreprises formalisent l’intrapreneuriat avec la création d’incubateurs. L’intrapreneur a ainsi à disposition des professionnels et une équipe dédiée à l’accompagnement de son innovation. Une fois l’idée concrétisée, il peut reprendre son poste initial ou évoluer à un nouveau poste, en lien ou non avec son projet. Plus simplement, le salarié peut accorder une partie de son temps de travail au lancement de son concept. Il dispose des moyens humains et matériels de l’entreprise (service comptabilité, bureau d’études, développeurs, matériel informatique…). Se former à l’intrapreneuriat Outre les moyens, la question des compétences est centrale. L’intrapreneur a généralement un profil débrouillard, créatif et tenace. Il aime expérimenter et doit être capable de gérer les différentes parties prenantes d’un projet. Sa connaissance de l’entreprise est fine et il fédère un réseau. Il est également familier des méthodes agiles, comme le design thinking, qui permettent d’aboutir un projet et d’impliquer les équipes. Ces compétences comportementales se travaillent et s’acquièrent par la formation. emlyon business school propose un certificat « Intrapreneur : acteur de l’innovation ». Il permet, sur un peu plus de 10 jours, de découvrir les facteurs clés de succès pour concevoir une stratégie d'entrepreneuriat d'entreprise, d’explorer les différentes étapes de mise en place et d’accroitre son leadership pour motiver et engager les équipes.

VOTRE CONTACT Marion DORDOR Conseillère en formation Tel. 07 88 05 11 27 dordor@eml-executive.com

Publish on
newsroom-emlyon.jpg
Type de newsroom
Contenu - Text enrichi 1

Eric Bellion, départ à bord du Transat Jacques Vabre

Eric Bellion célèbre skipper, diplômé EMLYON en 2001, détient à son arc trois belles aventures humaines à la voile : Le tour du monde de Kifouine Le défi Intégration Team Jolokia Notre skipper participera cette année encore au Vendée Globe sous le nom de projet « Comme 1 seul homme ».Dans cette nouvelle course, Eric mettra en avant un message unique révélant sa personnalité : « Nos différences sont une valeur ajoutée, la diversité est une force, handicap ne veut pas dire incapacité » . Dans le cadre de sa préparation pour cette aventure, il est parti, dimanche 25 octobre, au départ de la Transat Jacques Vabre, depuis Le Havre et destination d’Itajai au Brésil. Eric Bellion naviguera en binôme avec Sam Goodchild, un jeune navigateur britannique de 25 ans. Tout au long de cette traversée, toute l’équipe de « Comme 1 seul homme » mettra en avant la notion de « Confiance » comme facteur clé du processus de management de la diversité. Pour eux, l’important est de prouver que leurs différences sont sources de performance. Vont-ils y arriver ? Vous le serez en restant connecté sur notre twitter @EMLYON_exec ou encore notre page LinkedIn : EMLYON Executive

Subtitle

EMLYON mécène du projet " Comme 1 seul homme "

Publish on
newsroom-emlyon.jpg
Type de newsroom
Contenu - Text enrichi 1



L’Executive Sport Industry Summer School s’adresse à un public déjà expérimenté : Des managers de l’industrie du sport pour mettre à jour leurs connaissances Des athlètes en reconversion pour découvrir ce qui constitue le monde et le management du sport Des managers expérimentés évoluant dans d’autres domaines pour comprendre les enjeux et défis du monde du sport Pendant 5 jours sur le campus de Paris, les participantes et participants pourront : Acquérir des connaissances en matière de développement numérique, d’exploitation des données de l’industrie du sport, et percevoir les implications pour un dirigeant ou un manager ; Analyser et explorer les opportunités de performance et d’innovation dans l’industrie du sport ; Comprendre les enjeux environnementaux dans le sport et comment promouvoir des prestations sportives développant une approche plus durable ; Identifier les enjeux d’une économie géopolitique du sport et établir son impact dans le monde du sport ; Analyser le processus d’engagement du consommateur et déterminer ce qu'il en découle dans le développement de partenariats et d’autres activités commerciales. Ce programme est proposé entièrement en anglais du 4 au 8 juillet 2022 sur le campus de Paris. Découvrir le programme détaillé > Votre contact : Davide Di Giovanni: digiovanni@eml-executive.com

Publish on
newsroom-emlyon.jpg
Type de newsroom
Contenu - Text enrichi 1

Avec le soutien de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, emlyon et Bpifrance lancent un « certificat PME-ETI » à destination des étudiants, associant un dispositif pédagogique en ligne à une expérience terrain auprès de dirigeants de PME et ETI du territoire.

Avec le soutien de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, emlyon et Bpifrance lancent un « certificat PME-ETI » à destination des étudiants, associant un dispositif pédagogique en ligne à une expérience terrain auprès de dirigeants de PME et ETI du territoire. Dans le prolongement d’un partenariat initié en décembre 2018,emlyon business school et Bpifrance confirment leur engagement commun et déploient un parcours d’apprentissage théorique et pratique pour permettre aux étudiants d’emlyon de découvrir les PME et ETI sous un jour nouveau. Dans le paysage des grandes écoles où les carrières sont majoritairement orientées vers les grands groupes, les PME et ETI sont trop peu visibles et souvent méconnues. L’objectif de cette alliance stratégique est de faire prendre conscience aux jeunes talents des opportunités offertes par ces organisations. Pour ce faire, les étudiants auront tout d’abord accès à un MOOC visant à leur présenter la richesse et la diversité du tissu entrepreneurial français. Couplée à un stage « bras droit » auprès d’un dirigeant de PME et ETI, la validation de ce MOOC conduira à l’obtention d’un certificat unique et innovant, le « certificat PME-ETI by emlyon business school et Bpifrance ». Un MOOC moderne et vivant pour élargir ses connaissances Depuis le jeudi 14 mai, le projet prend vie avec la mise en ligne du MOOC « Parcours PME-ETI » auquel 500 étudiants d’emlyon business school se sont inscrits en 3 heures ! Co-construit par Bpifrance et la factory pédagogique d’emlyon business school, en lien étroit avec le career center et la direction du Programme Grande École, ce MOOC de 16 modules allie différents formats (vidéo, motion design, web série…), pour un volume total de 30 heures de travail. Connectés sur la plateforme emlyonX, les apprenants réalisent des exercices pratiques et ludiques associés à chaque chapitre pour voyager dans l’univers des plus de 3,6 millions de TPE, PME et ETI françaises, et découvrir leurs spécificités et leurs atouts. Les apprenants sont invités à découvrir qui sont vraiment les dirigeants de PME. Innovation, exportation, travail du futur, grandes tendances du monde économique de demain, figurent au programme de ce MOOC, mais aussi des modules sur la création de valeur, les levées de fonds, ou la ré-industrialisation. Si le MOOC est validé, les étudiants obtiendront le badge N°1 et pourront le valoriser dans la présentation de leurs connaissances et de leur profil auprès de recruteurs. Parallèlement à sa diffusion en avant-première au sein d’emlyon business school, ce MOOC sera prochainement proposé de manière ouverte à toute personne intéressée et pourra faire l’objet d’un partage avec d’autres écoles : sur la plateforme Bpifrance Université pour tous les publics de Bpifrance (sans certification) ; sur la plateforme emlyonX (seule la certification sera payante) pour l’ensemble de la communauté emlyon. Un stage « bras droit » pour favoriser son employabilité La réalisation d’un stage en PME et ETI dans le cadre de ce parcours permettra de recevoir le badge n°2 du dispositif et ainsi de pouvoir obtenir le « certificat PME-ETI by emlyon business school et Bpifrance ». Via cette expérience du stage en PME et ETI, emlyon et Bpifrance souhaitent aller au-delà de la diffusion de ce MOOC commun et souhaitent valoriser les expériences acquises « sur le terrain » au sein d’une PME ou d’une ETI, pour en faire une compétence à part entière, une valeur ajoutée pour les étudiants. Tugrul Atamer, Président du Directoire d’emlyon business school, souligne « Il est de notre responsabilité d’éclairer les choix de nos étudiants, de leur faire prendre conscience des potentiels des PME et ETI pour vivre des expériences déterminantes dans leur employabilité et développement de compétences. A travers ce certificat conçu avec Bpifrance, et soutenu par la Région Auvergne-Rhône-Alpes, nous sommes également heureux de contribuer à la mise en lumière et à la croissance de ces entreprises du territoire pour lesquelles nous souhaitons être une ressource ». Un autre bénéfice pour les étudiants est l’activation des 2 réseaux emlyon business school et Bpifrance pour mieux identifier des entreprises performantes, innovantes et actives à l’international ayant des projets de recrutement pour optimiser leur développement. L’obtention du certificat permettra aussi de faire partie d’une communauté dédiée réunissant les acteurs de ce projet pour faire perdurer les échanges et les expériences et optimiser la valorisation des profils étudiants. Un coup de projecteur sur les entreprises du territoire Pour les dirigeants de PME et ETI dont la tâche sera rendue plus ardue dans le contexte actuel de crise sanitaire et économique, les bénéfices sont également multiples : Le coup de projecteur sur les PME et ETI contribuera à l’attractivité de nouveaux talents dotés de bagages solides qui seront prêts à faire front en cas de difficultés et relever les défis exceptionnels et vitaux de ces organisations. A une heure où les opportunités de stages à l’étranger et stages en général sont considérablement impactées, l’initiative permettra de dynamiser les choix des étudiants sur le territoire et ses entreprises pépites. Nicolas Dufourcq, Directeur général de Bpifrance, déclare : « Aux côtés d’emlyon et de la Région, nous partageons l’ambition d’intéresser les étudiants des grandes écoles au formidable potentiel de croissance et de créativité des PME et ETI des territoires. Pour les jeunes, c’est l’occasion d’acquérir une expérience très formatrice pour la vie, car dans une structure à taille humaine, on se voit confier des responsabilités importantes rapidement. Et nos PME et ETI ont besoin de ces jeunes talents pour avancer, se transformer… Nous sommes donc ravis du lancement de ce programme, qui complète parfaitement en amont le Volontariat Territorial en Entreprise(VTE) ». emlyon business school et Bpifrance considèrent ainsi ce dispositif comme un « incubateur » amont complémentaire au dispositif du VTE (Volontariat Territorial en Entreprise), lancé par le Gouvernement en 2019 et porté par Bpifrance, qui vise à inciter les jeunes talents à orienter leur carrière vers les PME et ETI industrielles françaises (le VTE concerne une période de professionnalisation en alternance ou la 1ère expérience post-diplôme). Avec autant de bénéfices en perspective pour toutes les parties prenantes de ce projet, emlyon business school et Bpifrance espèrent clairement montrer la voie en entrainant dans leur sillage de nouveaux acteurs, notamment d’autres écoles, en appliquant ainsi les préceptes « early makers » qui font la philosophie des enseignements de l’École. L’investissement de la Région Auvergne-Rhône-Alpes à nos côtés Les étudiants se tournent spontanément beaucoup moins vers les PME et ETI du fait de leur déficit de visibilité. Mais il y a aussi un critère financier à ajouter cela. En effet, les apprenants choisissent aussi des stages dans de grands groupes pour accéder à de meilleurs niveaux de gratification. Ayant pleinement identifié ce frein, emlyon business school et Bpifrance ont souhaité associer à ce dispositif la Région Auvergne-Rhône-Alpes également soucieuse du développement de ses PME et ETI en croissance et de l’emploi des jeunes formés sur son territoire. Pour Yannick Neuder, Vice-président du Conseil régional, délégué à la santé, à l'enseignement supérieur, à la recherche, à l'innovation et aux fonds européens : « A travers le Certificat PME-ETI développé en partenariat avec emlyon business school et Bpifrance, la Région Auvergne-Rhône-Alpes se dote d’un dispositif innovant à forte valeur ajoutée tant pour la professionnalisation des étudiants que pour les entreprises régionales. Nous portons la volonté de faire (re)découvrir le territoire régional et son dynamique réseau d’entreprises, et bien sûr, de jouer un rôle moteur pour le développement économique et l’employabilité des jeunes formés au sein de la Région ». Ainsi, pour tout « stage bras droit » contribuant à l’obtention du « certificat PME-ETI by emlyon business school et Bpifrance » et situé dans l’un des 12 départements de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, les étudiants concernés du Programme Grande École (niveau grade master) pourront candidater à l’obtention d’une bourse significative. Pour cette 1re année et le lancement de l’initiative, le nombre de bourses prévues par la Région est limité à 20 dossiers. Ces dossiers seront instruits par Bpifrance et conditionnés à l’obtention du certificat complet (suivi et validation du MOOC en complément du stage « bras droit » régional). A propos de Bpifrance Bpifrance finance les entreprises – à chaque étape de leur développement – en crédit, en garantie et en fonds propres. Bpifrance les accompagne dans leurs projets d’innovation et à l’international. Bpifrance assure aussi leur activité export à travers une large gamme de produits. Conseil, université, mise en réseau et programme d’accélération à destination des start-ups, des PME et des ETI font également partie de l’offre proposée aux entrepreneurs. Grâce à Bpifrance et ses 50 implantations régionales, les entrepreneurs bénéficient d’un interlocuteur proche, unique et efficace pour les accompagner à faire face à leurs défis. https://www.bpifrance.fr/ - https://presse.bpifrance.fr/ - @BpifrancePresse Contact Presse : Sarah Madani - sarah.madani@bpifrance.fr – 01.42.47.96.89 A propos de la Région Auvergne-Rhône-Alpes Chef de file du développement économique, la Région Auvergne-Rhône-Alpes, 1ère région industrielle de France, a fait de l’emploi et du soutien aux entreprises une priorité de son action. Dans cette perspective, elle souhaite expérimenter un nouveau dispositif de bourses de stages étudiants dans les PME régionales en croissance constituant un levier pour changer le regard des jeunes diplômés sur les PME et renforcer la compétitivité des PME et ETI régionales par l’apport de compétences additionnelles des diplômés des universités et grandes écoles. Ce dispositif expérimental s’inscrit dans les priorités du Schéma Régional de l’Enseignement Supérieur de la Recherche et de l’Innovation visant les initiatives de valorisation de stages en entreprises pour la réussite étudiante et le renforcement des interactions entre le tissu économique et les établissements d’enseignement supérieur. http://www.auvergnerhonealpes.fr Contact Presse : 04.26.73.40.15 ou 04.26.73.43.52 A propos d’emlyon business school Fondée en 1872 par la CCI de Lyon, emlyon business school accueille cette année 8 600 étudiants de 110 nationalités et plus de 6 000 participants à des programmes de formation continue. L’École, qui compte 6 campus dans le monde (Lyon, Saint-Étienne, Casablanca, Shanghai, Paris, Bhubaneswar), s'appuie sur un réseau de 190 partenaires académiques internationaux et anime une communauté de 32 000 diplômés dans 120 pays. La mission d'emlyon business school est de révéler des « makers », des acteurs de la transformation qui anticipent, relient des mondes, construisent et positivent, privilégient le passage à l’acte, apprennent par l’action, portent des valeurs, dans une démarche collaborative. Cette notion de « maker » reflète la vision de l’entrepreneur d’emlyon, qui essaie, expérimente, se trompe, recommence, apprend en marchant. emlyon business school propose de développer ces compétences dans le cadre d’un enseignement de nouvelle génération, qui associe la production et la diffusion d’une recherche académique d’excellence et l’élaboration de parcours d’apprentissage innovants. www.em-lyon.com Contact presse : Julie Guillot - guillot@em-lyon.com - 06.45.23.23.04 Définitions strictes retenues pour PME et ETI selon l’INSEE Les petites et moyennes entreprises (PME) - Source : INSEE : moins de 250 personnes chiffre d’affaires annuel < 50 K€ ou un total de bilan < à 43 K€ incluent la catégorie des microentreprises (MIC) avec moins de 10 personnes et un chiffre d’affaires annuel ou un total de bilan < à 2 K€. Les entreprises de taille intermédiaire (ETI) - Source : INSEE : entre 250 et 4999 salariés chiffre d'affaires < à 1 500 K€ soit un total de bilan < à 2 000K€ incluent les entreprises de moins de 250 salariés, mais avec plus de 50 K€ de CA et plus de 43 K€ de total de bilan. La France compte 65 000+ PME de croissance (Source : « PME+ » - Katalyse/Bpifrance) et près de 6 000 ETI : ces entreprises sont fortement contributrices à la création d’emplois et au développement économique du pays.

Publish on
newsroom-emlyon.jpg
Type de newsroom
Contenu - Text enrichi 1



EMLYON a été classé n ° 4 à la France dans le «Palmes d'excellence 5» par la catégorie Eduniversal Business School classement. Ce système de classement est basé sur la réputation internationale de l'école (aux niveaux national et mondial) et le vote de doyens internationales! Basée à Paris, Eduniversal est une agence de notation mondiale spécialisée dans l'enseignement supérieur. Cette agence a établi une solide expertise dans l'évaluation des institutions académiques et des programmes en France depuis 1994, et à l'étranger depuis 2007. Eduniversal produit deux classements mondiaux annuels: The Best 1000 écoles de commerce dans 154 pays Les 4000 meilleurs maîtres et programmes MBA dans 30 domaines d'études dans 154 pays Ces classements sont conçus pour fournir des informations aux étudiants diplômés potentiels qui les aideront dans leur recherche de leurs futures études dans les zones suivantes: Afrique, Asie centrale, Europe de l'Est, l'Eurasie et le Moyen-Orient, Asie Extrême-Orient, Amérique latine, Amérique du Nord, Océanie, Europe de l'Ouest. Les missions d’Eduniversal : Fournir les outils et l'expertise pour permettre aux individus d’être en mesure de trouver les meilleures opportunités éducatives mondiales et de faire les bons choix personnels, de sélectionner un établissement universitaire et de choisir une carrière. Pour fournir une vue en profondeur sur l'expertise universitaire mondiale à toutes les parties prenantes de l'enseignement supérieur, dans le but de soutenir activement les échanges internationaux entre les écoles, ils encouragent la mobilité des professeurs et des étudiants et aident les professionnels des ressources humaines pour identifier les talents spécialisés. Vous pouvez retrouver le classement EMLYON ici

Publish on
S'abonner à