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Deux classements sortis en novembre et décembre, celui du Financial Times pour l’Executive MBA, et de The Economist pour le Full-time MBA (International MBA), montrent la belle progression de ces deux programmes, à la fois au niveau mondial et national.

Full-time MBA Sorti début novembre, le classement annuel de The Economist révèle que le Full-time MBA(International MBA) d’emlyon business school réalise la plus grande progression parmi les écoles françaises (+19), se hisse à la 4e place au niveau national et se classe à la 51e place mondiale cette année - contre la 70e place mondiale en 2018. Pour effectuer son ranking, The Economist a notamment analysé les opportunités de carrière, l’expérience éducative et l’évolution de salaire. Avec huit institutions sur dix, le haut du classement est toujours dominé par les universités américaines. Executive MBA L’Executive MBA continue sa progression en gagnant 8 places par rapport à 2018 et se classe 55e au niveau mondial (63e en 2018). L’école avait l’année dernière déjà réalisé une très belle performance en grimpant de 22 places au classement. A souligner, ce programme se distingue notamment dans deux catégories : top 10 en ce qui concerne l’évolution de carrière au terme de la formation et top 20 pour la RSE. Ce second critère, instauré depuis 2018, prend en compte le nombre de cours dédiés aux thématiques sociales, sociétales et environnementales et l’implication des participants sur ces problématiques. Pour effectuer son classement, le Financial Times évalue également d’autres critères, tels que la qualité du corps professoral, la dimension internationale du programme, le pourcentage de femmes présentes dans chaque promotion et celles qui auront une place au sein des conseils d’administration.

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Dynamique et joviale, Emilie est une jeune femme qui sait ce qu’elle veut. D’origine Espagnole par sa grand-mère, elle a depuis toujours ce regard ouvert et curieux sur le monde. Elle aime le contact humain, découvrir de nouvelles choses, comprendre et transmettre. Avide de connaissances et de nouveaux challenges, désireuse de continuer à faire évoluer sa carrière, elle entreprend il y a quelques mois une formation continue en management au sein d’une grande école de commerce sur Lyon.

Cette citoyenne du monde née à Tours a eu une enfance plutôt heureuse dans une famille aimante. Ce cadre bienveillant et ouvert lui a permis d’aiguiser sa curiosité et épanouir sa personnalité. Enfant, elle suit un parcours scolaire tout à fait classique et décroche facilement son BAC option Action et Communication. Artiste dans l’âme, elle entre ensuite dans une école de restauration et conservation d’œuvres d’art sur Paris. Passionnée et curieuse, Emilie découvre la mosaïque et décide d’en approfondir la maîtrise. Son diplôme d’art en poche, elle choisit ainsi de partir étudier à Ravenne, en Italie, dans une école de mosaïque réputée. Emilie est dans son élément. Sa promotion est composée d’une trentaine d’étudiants venant de tous les continents. Elle qui aime tant le contact et les échanges est comblée. De retour en France, désireuse de partager et transmettre ce savoir-faire qu’elle a acquis, elle crée sur Tours un « Jardin international de la mosaïque ». Un concept innovant qui consiste à présenter et promouvoir des artistes en mosaïque du monde entier au gré des allées d’un jardin paysagé. Pendant 2 ans, Emilie se donne à 100% pour ce jardin, aujourd’hui fermé. Elle ressent à nouveau ce besoin de partir découvrir des horizons inexplorés. Elle a faim de challenges. L’Espagne l’appelle inlassablement.   Elle part ainsi sur Barcelone où elle occupe différents postes dans des entreprises toujours en lien avec la France : des entités catalanes désireuses de s’implanter sur le marché français ou, à l’inverse, des sociétés françaises souhaitant s’implanter en Espagne. Avec sa double culture, sa faculté d’adaptation et son aisance dans les 2 langues – Espagnol et Français, Emilie est à l’aise dans les différents postes qu’elle occupe : service clients, commercial, ventes, etc. Elle se spécialise dans le marché de l’objet publicitaire.   Après une dizaine d’années passées en Espagne, Emilie rentre en France. Elle est alors recrutée par une société portugaise d’objets promotionnels, qui est devenu top 5 en France, souhaitant pénétrer le marché français. Un poste de responsable commercial qu’elle endosse tout naturellement et brillamment. Elle développe l’activité sur le centre, le sud et l’ouest de la France.     Emilie ressent alors le besoin de confirmer ses acquis. Il est important pour elle de valider un BAC+5 en management et obtenir ainsi une certaine reconnaissance dans ce domaine. Une suite logique dans son parcours de manager. Elle quitte son poste et se met en quête d’une formation diplômante en management. Elle découvre l’emlyon business school et son Executive Master Management Général qui correspond totalement à ses attentes. Après un entretien passé haut la main, Emilie intègre le cursus sur Lyon où elle trouve écoute et bienveillance. Son entourage familial et amical la soutient à 100%. Les cours sont captivants, tant par la qualité de leur contenu que par la compétence et la disponibilité des intervenants. Une très grande majorité de ses camarades de promo étant en poste dans divers secteurs, les échanges et partages d’expérience sont riches. Les participants aux groupes de travail n’étant pas systématiquement les mêmes, les devoirs en commun sont également l’occasion de regards croisés. Un enrichissement tant personnel que professionnel pour la jeune femme qui déteste par-dessus tout la routine. De nouvelles opportunités s’ouvrent également à elle grâce à un réseau professionnel désormais élargi. En septembre 2018, Emilie est ainsi contactée par une entreprise espagnole leader – top 3 mondial – sur le marché des objets publicitaires qui souhaite la recruter afin de développer le marché français. Après plusieurs mois d’échanges, Emilie accepte le poste qu’elle considère comme un nouveau challenge pour sa carrière. Sa forte personnalité, sa double culture et sa détermination ont été des atouts déterminants dans son recrutement.   Le challenge est à la hauteur des ambitions de la jeune femme qui peut désormais s’appuyer sur des connaissances accrues en matière de management et développement d’affaires. En effet, Emilie apprécie le concret des enseignements qu’elle met en pratique au quotidien dans sa nouvelle mission. Aujourd’hui plus sûre d’elle, Emilie s’épanouit totalement dans ses nouvelles fonctions et a des projets plein la tête. Découvrez aussi le portrait de Portrait de Caroline Cousquer et Portrait de Charlotte Coiraton, toutes deux participantes au Executive Master Management Général. En partenariat avec Manager-Go. LE DIPLÔME Executive Master Management Général (PGM) Une posture managériale consolidée auprès de vos interlocuteurs Des pratiques de pilotage et d'animation d'équipe innovantes Une vision globale de l'entreprise et de son environnement Une maîtrise des fondamentaux pour plus d'efficacité opérationnelle Une forte capacité d'adaptation aux transformations du monde Une mise en cohérencede votre fonction et de votre niveau

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Fonction ou formation du témoin

Participant à l'Executive Master

Témoignage de

Rodolphe Didierlaurent 

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Après 20 ans passés dans un grand groupe, Rodolphe Didierlaurent s’est tourné vers l'Executive Master Management Général d’emlyon business school pour donner un nouvel élan à sa carrière professionnelle. Six mois après la fin de la formation, il vient de racheter une société et prévoit une première embauche en septembre. Portrait.

Après 21 années dans le groupe Total, au service commercial d’une filiale Gaz, Rodolphe Diderlaurent a éprouvé le besoin de faire le point sur sa carrière. « J’avais eu des problèmes de santé et la filiale a été vendue. Ces deux accidents de la vie cumulés m’ont poussé à me remettre en question et à me former. Mon épouse m’avait parlé de l'Executive Master Management Général d’emlyon business school. Les échos étaient excellents et j’avais du temps. Je me suis lancé », raconte Rodolphe Didierlaurent. Il intègre le programme sans idées ni projets préconçus. Il est, dès les premiers jours, surpris par l’intensité de la formation. « Les trois premiers jours ont été vraiment intenses. On a travaillé en équipe sur la création d’une entreprise. Je n’avais jamais fait de business plan avant ! », se remémore Rodolphe Didierlaurent. Il apprécie la bienveillance des équipes pédagogiques et des participants. Il multiplie les rencontres et s’enrichit au contact de personnalités très différentes. Les modules de développement personnel le passionnent et il découvre la stratégie d’entreprise. « Je n’avais jamais exploré ce champ auparavant. Au fur et à mesure l’envie d’entreprendre s’est faite plus forte et s’est confirmée pendant les différents ateliers organisés autour de la création de sociétés », raconte-t-il. Le rachat d’une entreprise Il réfléchit donc aux opportunités et se penche sur le concept de conciergerie d’entreprise. L’objectif initial est de proposer un service mutualisé sur dans des zones d’activités rurales. Mais l’entrepreneur est interrompu dans sa lancée : une de ses connaissances professionnelles le contacte pour lui proposer de racheter son entreprise. Une autre aventure démarre alors pour Rodolphe Didierlaurent : celle du rachat d’une TPE. L’activité est totalement nouvelle puisque cette société, baptisée TAPUCA, est spécialisée dans le graphisme et l’impression tout format. Mais le dirigeant en herbe se forme pendant 6 mois auprès de la créatrice de l’entreprise. Il apprend les logiciels de mise en page et les techniques d’impression. Il étudie en même temps les bilans et la stratégie de l’entreprise avec l’aide de Jean-Charles Clément, directeur du Executive Master Management Général emlyon business school. Il s’appuie particulièrement sur les modules de Stratégie et finance pour managers* afin de faire aboutir son projet. Le rachat est acté le 11 mars 2020, soit une semaine avant le confinement. Ce qui aurait pu être une épreuve est finalement perçue comme une opportunité par Rodolphe Didierlaurent. Il profite de ce temps suspendu pour revoir toute la communication de l’entreprise, travailler sa présence sur les réseaux sociaux et proposer ses services aux entreprises environnantes en créant des visuels et des adhésifs en lien avec les nouvelles règles sanitaires. « J’ai pu mettre tout cela en place grâce à l'Executive Master Management Général. J’ai appris comment gérer une entreprise, optimiser mon temps, piloter la relation client, mettre en place des actions marketing… », précise Rodolphe Didierlaurent. Pleinement entrepreneur, il a une vision claire pour faire grandir son entreprise. Il projette un recrutement en septembre et des actions de prospection auprès des architectes pour développer la partie décoration et création de papiers peints. * L’électif Stratégie et finance pour managers est également proposé sous forme de certificat

Vos contacts Photo-Sabine-Chavanelle_small Sabine Chavanelle Conseillère en formation Lyon Tel. 06 02 15 88 47 chavanelle@eml-executive.com ALVES-Noemie-carte-cantine_small Noémie Alves Conseillère en formation Paris et VAE Tel. 01 53 34 23 91 alves@eml-executive.com

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A 38 ans, cette jeune femme, née d'une mère allemande et d'un père malgache, n'a que très rarement fait les choses comme tout le monde. Ce qui ne l'empêche pas de réussir, peu importe ce qu'elle entreprend, bien au contraire ! Elle vient d'ailleurs de se lancer un nouveau défi : obtenir un diplôme en management en formation continue au sein d'une grande école de commerce, challenge qu'elle n'aurait jamais imaginé !

Aujourd'hui mère de deux enfants, souriante, passionnée et dynamique, hyper active dans sa vie personnelle comme dans sa vie professionnelle, Caroline est de celles qui ont un parcours que l'on pourrait qualifier d’atypique", "peu ordinaire", "hors normes et pourtant pas si rare... Arrivée en France l'année de ses 10 ans, il lui faut tout d'abord maîtriser le Français. Challenge qu'elle réussit aisément. Ses années collège et lycée démarrent à Saint Germain-en-Laye au lycée international avant de rejoindre un internat pour décrocher brillamment un BAC Littéraire franco-allemand. Et bien que admissible dans les plus grandes écoles littéraires françaises, Caroline sent que ce chemin n'est pas le sien. Une intuition... L'idée floue - et folle aux yeux de son entourage - que tel n'est pas son destin. Certes, elle aurait pu suivre cette route toute tracée et plutôt prometteuse. Tout l'y prédisposait... Oui, mais voilà... Caroline a du caractère. C'est une jeune femme avide de connaissances, avec un intense besoin de comprendre. Elle adore apprendre - toujours davantage - et s'ennuie très vite quand les choses sont trop faciles. Elle, ce qu'elle aime et qui la fait vibrer et avancer, ce sont les challenges, les défis ! Elle entame alors des Etudes de Droit à Nanterre et découvre les joies de la collocation. Liberté totale pour celle qui n'avait connu jusque-là que les murs d'un internat ! Puis elle se retrouve maman à 21 ans et poursuit ses études tout en faisant des petits boulots. Enfin... "petits boulots"... Caroline est débrouillarde, volontaire et surtout dotée d'une immense capacité d'adaptation. Les missions qu'elle se voit confier sont toutes plus motivantes et intéressantes les unes que les autres. Parlant couramment plusieurs langues, elle se retrouve vite assistante de direction trilingue. En 2010, elle intègre l'entreprise dans laquelle elle est toujours en poste aujourd'hui. De ses débuts au service clients dans cette filiale d'une société japonaise de biotechnologie, Caroline garde un bon souvenir. Aujourd'hui Responsable Marketing et Communication zone Europe, Moyen-Orient et Afrique dans cette même entreprise, elle est très appréciée. Elle adore ce job et les challenges qui lui sont confiés. Quand on lui demande de raconter son évolution professionnelle, Caroline relate la bienveillance de tous ses interlocuteurs. Ils ont toujours tous été si présents, encourageants et compréhensifs. Elle évoque d'ailleurs - à demi-mots et encore très hésitante quant à cette possibilité - le fameux syndrome de l'imposteur, quant à son ressenti à elle... Cette espèce de doute qui fait qu'une personne à fort potentiel et naturellement douée trouve des tonnes d'arguments - notamment la chance, les bonnes relations, des circonstances particulièrement clémentes - pour justifier sa réussite. Syndrome ô combien handicapant, car ces personnes-là s’auto-limitent, alors qu'elles sont justement hautement qualifiées pour le poste qu'elles occupent ou visent. Après quelques formations en entreprise et de nombreuses autoformations, Caroline a toutefois ressenti le besoin de sortir de sa zone de confort, de se confronter à ses peurs - justifiées ou non, comme la peur de l’échec - et surtout de se lancer un énorme défi personnel : suivre enfin une formation diplômante. C'est en quelque sorte un cadeau qu'elle souhaitait se faire à elle-même à cette période charnière de sa vie. Un cadeau qui lui permettrait de valider de manière non équivoque ses connaissances et de mesurer la pertinence de ses acquis. Comme une reconnaissance de qui elle est et de ce dont elle est capable. Une façon d’acquérir la légitimité dont elle a besoin. En effet, dans sa carrière, Caroline s'est plus ou moins laissée porter par ses rencontres sans trop s’interroger. Aujourd'hui, à bientôt 40 ans, elle se remet en question plus que jamais. Certes, elle possède des connaissances très spécialisées, mais aimerait une vision plus large de l’entreprise. Poussée par le président de son entreprise, elle s'est mise en quête d'une formation en management qui corresponde totalement à ses besoins : aspects stratégiques, commerciaux et financiers de l’entreprise. Tout cela devant être compatible avec une vie de famille, des responsabilités professionnelles et surtout validé par un diplôme reconnu de tous. Elle découvre le Executive Master Management Général d’emlyon business school qui l'interpelle. C'est exactement ce qu'elle recherche. Seulement voilà : les craintes liées au syndrome de l'imposteur resurgissent. C'est donc très hésitante et pas du tout sûre de la recevabilité de sa candidature qu'elle finit par appeler Florence, en charge du recrutement pour le Executive Master Management Général. Caroline trouve en Florence l'écoute et la réassurance dont elle avait besoin. Son profil correspond aux critères de sélection. Quelques doutes s'envolent. Une première victoire qui ouvre le chemin des possibles. Cela fait également jaillir la petite étincelle d'une meilleure confiance en elle. Suivront naturellement des discussions avec la famille (aménagements obligatoires pour permettre à Caroline d'étudier, préparer les cours - laps de temps où elle ne sera pas disponible, réorganisation temporaire : activités de chacun, weekends sans elle, etc.). Impensable pour elle d'entreprendre une telle formation sans le soutien total de ses proches, conjoint et enfants se retrouvant immanquablement impliqués ! Tout le monde adhère au projet. C'est ainsi que début septembre 2017, elle attaque son cursus. Pas de trajets intempestifs Paris-Lyon (Caroline vit sur Paris), la formation se déroule dans un très grand campus connecté sur Paris. Arrive le premier jour où elle découvre les autres participants. Tous sont issus d'univers différents, avec parfois des parcours également atypiques. Caroline constate avec soulagement que tous partagent les mêmes appréhensions, doutes, questionnements, problématiques organisationnelles, etc. Tous ont également en commun cette même motivation, cette profonde envie d'apprendre et de réussir, malgré les peurs. La majorité est en poste. Tous ont une vie personnelle également bien remplie. Tous sont ainsi à l'écoute les uns des autres et le groupe se soude très rapidement et très solidement. Les intervenants sont de grande qualité. Caroline aime par-dessus tout cette impression de ne pas devoir bûcher pour bûcher, avaler des kilomètres de cours magistraux. Car tout n'arrive pas sur un plateau. Il faut se dépasser, sortir de sa zone de confort, bousculer ses habitudes, partir à la recherche d'informations, préparer les cours, faire les exercices seul ou en groupe, mettre en pratique... Des outils sont mis à disposition et permettent une intégration naturelle des compétences. Caroline - comme tous les autres élèves - s'est demandée à un moment ce qu'elle faisait là et quelle idée folle lui avait pris de s'inscrire à ce cursus. La parole est libérée dans ce groupe dont la solidité de la cohésion est redoutable. Tous se serrent les coudes. Très vite, les doutes s'envolent et la motivation revient. Personne ne lâchera rien ni personne. Tous iront jusqu'au bout. La désertion n'est pas envisageable ! "Un pour tous et tous pour un" aurait-on dit à une autre époque ! Caroline applique rapidement ce qu'elle apprend. En comprenant comment son activité s'inscrit dans celle, plus globale, de son entreprise, elle se dit déjà plus structurée dans son approche. Elle donne plus de sens à sa mission. Plus de sens pour les autres également. Et souhaite pouvoir l'inscrire dans la durée. Tout cela donne une autre dimension à ce qu'elle fait au quotidien. Par ailleurs, elle qui s'appuie depuis toujours sur son intuition peut désormais "justifier" cette intuition aux yeux de ses pairs par des connaissances qu'elle arrive dorénavant à démontrer. C'est un grand changement. Le début d'une connaissance de soi accrue et un premier pas vers l'acceptation de ses talents. Dans sa vie personnelle aussi, certaines choses évoluent. Caroline a plus confiance en elle. Pourtant, ce diplôme qu'elle obtiendra dans quelques mois, validé après la soutenance d'un mémoire, était pour elle il y a encore quelques mois quelque chose qu'elle n'aurait jamais pensé faire dans sa vie ! Preuve en est qu'il faut s'attacher à ses rêves et ne jamais dire jamais... Son conseil à celles et ceux qui se cherchent et qui veulent se reconvertir, renforcer leurs connaissances ou valider leurs acquis : "OSEZ ! Osez vous confronter à vous-même ! Osez prendre des risques !" La formation continue, lorsque l'on est en poste, est un chemin jalonné de détours, mais d'une une richesse incroyable. C'est un partage, une autre façon d'apprendre, d'appréhender les choses, un engagement envers soi-même, mais surtout un formidable levier de motivation et un allié très puissant dans la (re)construction de sa confiance en soi. Une vraie métamorphose ! Découvrez l’interview du directeur du Programme et d’un participant à Paris pour en savoir plus sur cette formation continue en management qui permet de donner un nouveau souffle à son parcours professionnel. C’est un moment de partage sans pareille avec de nombreuses rencontres avec des participants ou des intervenants de tous secteurs professionnelles.
Mais participer à cette formation donne surtout les moyens de découvrir tous les domaines de l’entreprise, afin de mieux comprendre le langage de ses collaborateurs financiers, marketing, commerciaux…
Caroline suit le Executive Master Management Général sur le campus connecté de Paris. Un campus qui comprend un « makers lab », un incubateur et seulement 3 ou 4 salles de cours afin de favoriser le travail collaboratif. D'autres participants de cette formation continue :
Découvrez le témoignage de Sacha Theocharis et Emmanuel Matthias, participant du Executive Master Management Général 288 heures de face à face 39 heures de distanciel 2 rentrées par an

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De plus en plus adopté dans les entreprises, le design thinking est une démarche créative centrée sur l’humain. Elle s’inspire de la démarche des designers pour favoriser l’innovation et aider les organisations à appréhender les opportunités business. Cette approche différente capitalise sur l’ensemble des compétences d’une équipe. Explications.

L’histoire du design thinking… C’est dans les années 80 que le designer américain Rolf Faste, de l'Université Stanford, a développé cette approche de l'innovation. Il a formalisé sept étapes : définir, rechercher, imaginer, prototyper, sélectionner, implémenter et apprendre. Ces verbes sont la clé vers la découverte de la solution optimale à une problématique. La méthodologie du design thinking Le design thinking fonctionne en entonnoir, il faut avoir une ouverture d’esprit maximale au départ pour ensuite choisir progressivement vers quelle voie aller, en ne passant à côté d’aucune idée. C’est tout l’intérêt des sept étapes. -          Définir : la phase de définition consiste à identifier le problème à résoudre et à en déduire une problématique. Il s’agit également de déterminer quels seraient les succès potentiels. -          Rechercher : l’objectif est de constituer l’équipe qui va travailler sur le projet. La grande force du design thinking est d’utiliser les compétences de plusieurs collaborateurs très différents mais finalement complémentaires. Il peut s’agir des développeurs, des membres de l’équipe marketing, des ingénieurs, des designers… Des ressources externes peuvent également être mobilisées : sociologue, historien, économiste ou même artiste pour élargir la réflexion et aborder tous les enjeux. -          Imaginer : vient ensuite la première phase de créativité. Autour d’un brainstorming, l’ensemble de l’équipe donne des idées, débat, échange, apporte son expertise et cherche des solutions. C’est au cours de cette étape que les premières idées qui vont mener vers la solution voient le jour. -          Prototyper : l’idée ici est de focaliser son attention sur les meilleures idées et de les affiner. C’est à ce moment que les premiers brouillons se dessinent. Une preuve de concept (POC) émerge afin de démontrer ou d’invalider la faisabilité du projet. -          Sélectionner : les idées retenues sont passées au crible par toute l’équipe. Plusieurs critères rentrent en compte à ce moment-là : la rentabilité, la faisabilité, la réponse apportées à la problématique initiale... C’est à ce moment-là qu’un choix se fait. -          Implémenter : l’idée passe en mode projet. Un plan d’action est mis en place. Il faut alors définir les rôles et les responsabilités de chacun, mettre en place un timing et définir les ressources nécessaires pour la réalisation du projet. -          Apprendre : les feed-backs des clients, des utilisateurs et des collaborateurs sont essentiels dans le design thinking. Ils permettent de voir si l’innovation répond réellement à la problématique initiale et de saisir les sources d’amélioration.   Le design thinking, la force de l’équipe Cette approche est donc définitivement une démarche collective, qui favorise la co-construction. La mixité des profils sélectionnés permet de faire émerger des idées très créatives. Au sein du groupe, pas d’échelon hiérarchique. Chaque participant s’oriente vers un chemin qu’il n’aurait jamais pris seul. Il va faire émerger d’autres idées, ce qui va profondément nourrir le projet. Au quotidien, des grands groupes comme Facebook, Amazon ou Google utilisent cette méthode de travail. Se former au design thinking Comme toute nouvelle démarche, le design thinking nécessite un accompagnement et une formation. C’est la condition d’une mise en place efficace. emlyon business school propose un certificat « Stratégie d’innovation par le design thinking » qui permet d’intégrer la méthodologie dans l’entreprise. Les participants apprennent à bâtir une stratégie d’innovation en s’appuyant sur la créativité collaborative et transversale. Ils intègrent cette méthodologie et la communication qui l’accompagne dans un projet d’innovation.

VOTRE CONTACT Marion DORDOR Conseillère en formation Tel. 07 88 05 11 27 dordor@eml-executive.com

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Paris, le 26 août 2020 - Capgemini choisit SAP et emlyon business school pour la création de sa deuxième filière d’excellence : « Future of Supply Chain and Finance ». Dédiée à la gestion de la chaîne d'approvisionnement et à la finance, elle s’appuie sur SAP S/4HANA®, l‘actuel ERP Intelligent et les expertises métier d’emlyon. Alors qu’on estime que 85% des métiers de 2030 n’existent pas encore , cette filière permet aux apprenants d’accéder à un programme de formation unique qui les mènera vers des métiers d’avenir. Cette filière est un accélérateur de carrière pour les profils expérimentés qui bénéficient d’une approche pédagogique structurée autour de trois axes : le renforcement des compétences personnelles (les « soft skills »), la spécialisation métier et la dimension technologique. Ce cursus d’une durée de 4 mois se clôturera au mois d’octobre, avec la remise des diplômes en cas de réussite. L’amélioration des processus et la maîtrise de la donnée sont des enjeux majeurs de performance pour les entreprises, parce qu’elles doivent notamment prendre des décisions rapides et fiables au sein d’environnements complexes. Le métier émergent de consultant « Transformation Digitale ERP » vient répondre à cette demande. Jérôme Siméon, Président de Capgemini France, précise :« L’Ecole by Capgemini est un programme de développement des compétences. Chacune de ses filières est élaborée en collaboration avec des écoles de renom et des partenaires technologiques leaders du marché. Ces formations sont différenciantes car elles permettent d’acquérir des compétences rares et recherchées. Le retour de nos apprenants est d’ailleurs très positif, ce qui nous conforte dans nos ambitions de former à terme chaque année 400 consultants et ingénieurs par ce biais ». Gérald Karsenti, Président de SAP France, précise : « Avec la digitalisation de la société et la transformation numérique des entreprises, de nouveaux métiers se créent ou font leur révolution. Se former à ces nouveaux métiers et aux dernières technologies de pointe est plus qu’une nécessité, c’est une chance. Celle de donner ou redonner un élan à sa carrière au travers d’une formation qualifiante dans un domaine passionnant où les débouchés sont importants. Développer ses compétences sur ces solutions est indiscutablement une opportunité d’aller plus loin». Pour sa part, Aude Henou, Directrice des Relations Entreprises d’emlyon business school, indique :« Le développement des compétences et de l’employabilité, à tous les âges de la vie professionnelle, est au cœur de la mission d’emlyon business school ; et nous sommes ainsi ravis de pouvoir contribuer par nos expertises fonctionnelles et pédagogiques à des projets aussi audacieux et innovants que L’Ecole by Capgemini ». A propos de Capgemini Capgemini est un leader mondial du conseil, de la transformation numérique, des services technologiques et d’ingénierie. A la pointe de l’innovation, le Groupe aide ses clients à saisir l’ensemble des opportunités que présentent le cloud, le digital et les plateformes. Fort de plus de 50 ans d’expérience et d’une grande expertise des différents secteurs d’activité, il accompagne les entreprises et organisations dans la réalisation de leurs ambitions, de la définition de leur stratégie à la mise en œuvre de leurs opérations. Pour Capgemini, ce sont les hommes et les femmes qui donnent toute sa valeur à la technologie. Résolument multiculturel, le Groupe compte aujourd’hui 270 000 collaborateurs présents dans près de 50 pays. Avec Altran, le Groupe a réalisé un chiffre d'affaires combiné de 17 milliards d'euros en 2019. Plus d’informations sur www.capgemini.com.People matter, results count. Contact presse Capgemini : Hélène Delannet – helene.delannet@capgemini.com – 01.57.99.44.51 A propos de SAP SAP est le leader du marché des applications d’entreprise : 77% des transactions financières mondiales passent par un système SAP. L’entreprise accompagne les organisations de toute taille et de tout secteur à mieux opérer. Nos technologies de machine learning, d’Internet des objets (IoT), d’analytique avancée et de gestion de l’expérience aident nos clients à transformer leur activité en « entreprise intelligente ». SAP dote les professionnels d’une vision approfondie sur leur activité et favorise la collaboration pour garder une longueur d’avance sur leurs concurrents. Pour les entreprises, nous simplifions la technologie afin qu’elles puissent utiliser nos logiciels comme elles le souhaitent, sans interruption. Notre suite d’applications de bout en bout et nos services permettent à plus de 440 000 clients d’opérer de manière rentable, de s’adapter en permanence et de faire la différence. Avec son réseau mondial de clients, partenaires, employés et leaders d’opinion, SAP aide le monde à mieux fonctionner et à améliorer la vie de chacun. Plus d’informations sur www.sap.com Contact presse SAP : Daniel Margato – daniel.margato@sap.com - 06.64.25.38.08 A propos de emlyon business school Fondée en 1872 par la CCI de Lyon, emlyon business school accueille cette année 8 600 étudiants de 110 nationalités et plus de 6 000 participants à des programmes de formation continue. L’École, qui compte 6 campus dans le monde (Lyon, Saint-Étienne, Casablanca, Shanghai, Paris, Bhubaneswar), s'appuie sur un réseau de 190 partenaires académiques internationaux et anime une communauté de 32 000 diplômés dans 130 pays. La mission d'emlyon business school est de révéler des « makers », des acteurs de la transformation qui anticipent, relient des mondes, construisent et positivent, privilégient le passage à l’acte, apprennent par l’action, portent des valeurs, dans une démarche collaborative. Cette notion de « maker » reflète la vision de l’entrepreneur d’emlyon, qui essaie, expérimente, se trompe, recommence, apprend en marchant. emlyon business school propose de développer ces compétences dans le cadre d’un enseignement de nouvelle génération, qui associe la production et la diffusion d’une recherche académique d’excellence et l’élaboration de parcours d’apprentissage innovants. Plus d’informations sur www.em-lyon.com.#earlymakers Contact presse emlyon : Julie Guillot - guillot@em-lyon.com - 06.45.23.23.04 [1] Institute for the Future for Dell Technologies, The new era of man/machine partnerships

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Quelles sont les compétences indispensables à un bon manager ? Derrière cette question simple, se cachent des enjeux importants en termes de bien-être des personnes au travail et de performance de leur entreprise. Le Crédit Agricole Ile-de-France a ainsi fait appel à emlyon business school pour trouver les clés d’un nouveau leadership plus à l’écoute et horizontal. Explications.

Au Crédit Agricole Ile-de-France (CA IDF), la digitalisation accrue des activités, couplée à une sévère concurrence, oblige le groupe à réinventer ses métiers. A commencer par celui des managers, pierres angulaires de la stratégie de changement et appelés à donner un sens nouveau à l’action de leurs équipes. « Notre ambition est de développer un nouveau modèle managérial fondé sur un leadership bâti autour de trois principes forts : le service client, l’autonomie des équipes dans la prise de décision – on parle d’empowerment – et la transversalité avec les autres entités du Groupe », détaille Frédéric Dutertre, responsable développement professionnel et compétences managériales du CA IDF.  Vers un management horizontal « Leadership bienveillant & exigeant ». C’est le nom du programme de transformation managériale développé par emlyon business school pour le Crédit Agricole Ile-de-France dès 2019. « Il ne s’agit pas d’une formation traditionnelle, mais d’un parcours inédit d’accompagnement de près de 600 managers de la banque francilienne : des membres du comité de direction jusqu’aux directeurs d’agences et leurs adjoints », décrypte Thierry Nadisic, responsable pédagogique du programme à emlyon business school, et chercheur en sciences du comportement. Le programme, co-construit avec le CA IDF, s’appuie sur un dispositif multimodal et immersif : ateliers présentiels et à distance, coaching personnalisé, échanges entre pairs… Le tout en privilégiant la mise en pratique à l’approche théorique. Un exemple ? L’initiation des participants au feedforward, une technique de management qui permet de faire remonter à un collègue une observation pour l’aider à améliorer un point précis de son quotidien (prise de parole lors des réunions, rédaction de ses mails…). Le tout dans un esprit de bienveillance : « Je te propose de poser plus de questions et de faire moins d’affirmations » ; « je te suggère de laisser faire ton collaborateur en autonomie et de lui faire confiance ». Simple et pratique. Le feedforward n’induit pas de jugement mais construit l’avenir pour changer durablement les comportements. Et ce n’est qu’un échantillon des pratiques managériales insufflées pendant les ateliers.   Des formateurs-coachs pour stimuler la créativité Le modèle pédagogique déployé par emlyon business school accorde ainsi une place centrale aux questions concrètes. Thomas Misslin, Client Project Manager à emlyon business school, raconte : «Chaque manager s’engage dans un Projet Action-Défi (PAD), c’est-à-dire une action innovante à mettre en œuvre auprès de ses équipes. L’objectif est de rôder sur le terrainles compétences managériales acquises lors du programme ». Certains managers de la banque ont ainsi choisi de mettre en place une nouvelle procédure d’accueil des clients ou de renforcer la personnalisation de la relation commerciale. D'autres ont élaboré des outils de motivation pour leurs équipes ou ont supprimé un échelon hiérarchique dans la prise de décision. Tous ont été accompagnés par des formateurs-coachs d’emlyon business school afin d’ancrer ces nouvelles pratiques.   Une transformation dans la durée Le programme a démarré en novembre 2019 avec une formation du Codir puis d’un cercle restreint de 75 managers cadres supérieurs. Il se poursuit en 2020 auprès de 500 managers de proximité dont une majorité de directeurs d’agence de la région.  « Ce modèle fait évoluer progressivement la fonction des managers. Ces derniers apprennent à laisser davantage d’initiatives et de liberté à leurs équipes », estime Thierry Nadisic. Un tour de force dans un secteur bancaire où la culture hiérarchique est réputée élevée. « Les lignes bougent et les comportements évoluent, confirme Frédéric Dutertre. Le programme engage chacun à avoir une réflexion régulière sur sa manière de fonctionner. Cette approche plus humaine répond aussi à une attente forte de la nouvelle génération de managers dans le monde de la banque. emlyon business school a su nous comprendre et répondre à nos aspirations. »Grâce au management délégatif, le CA IDF souhaite ainsi renforcer le bien-être au travail, la prise de décision et l’implication de ses collaborateurs.In fine, c’est le client et la productivité durable du groupe qui en bénéficient. Une démarche gagnante au service d’un enjeu stratégique majeur du CA IDF : devenir d’ici à 2022 la banque préférée des Franciliens.  

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Passionné de nouvelles technologies et de management, habitué à prendre des décisions en milieu incertain, Jérick Develle connaît un parcours qui l’a amené à effectuer des hautes fonctions au sein de groupes tels qu’Adia ou Adecco. Une carrière menée avec la volonté de toujours « valoriser l’agilité, la transmission du savoir et la performance ». C’est ce besoin d’excellence qui l’a poussé en 2020 à suivre le certificat « objectif conseil d’administration » d’emlyon business school, un programme qui permet de se former en 9 jours au rôle d’administrateur ou administratrice afin de renforcer sa posture. Aujourd’hui membre du conseil d’administration de la fondation Adecco et d’un établissement de santé, Jérick Develle revient sur son expérience et sur les compétences acquises qui lui permettent aujourd’hui de jouer un rôle de conseil déterminant dans la stratégie de ces deux institutions. Pourquoi avez-vous souhaité suivre la formation Objectif Conseil d’Administration d’emlyon business school ? Jérick Develle_Objectif Conseil d’Administration_emlyon J’ai été Directeur Général pendant la quasi-totalité de ma carrière professionnelle. Quand vous exercez cette fonction, l’action prend bien souvent le pas sur la réflexion stratégique de moyen et long terme. C’est d’autant plus vrai si votre structure est d’envergure mondiale, car tout va très vite. Il est pourtant vital de pouvoir prendre du recul et de la distance avec l’immédiateté dans la prise de décision. C’est exactement ce que j’étais venu chercher avec cette formation qui permet aux dirigeants d’acquérir les bon réflexes et les bonnes méthodes afin de prendre les décisions les plus avisées dans un contexte tendu ou incertain. Quels sont vos souvenirs les plus marquants ? Très certainement les échanges et les rencontres avec les autres membres de la promotion, dont le professionnalisme et la capacité à partager librement m’a impressionné. J’ajoute que 70% de mes camarades étaient des femmes, ce qui apporte un éclairage tout particulier sur les thématiques liées à l’efficacité organisationnelle, la volonté de diversité et l’attrait pour la performance durable. L’autre grande force de ce certificat : il permet de bénéficier du témoignage d’intervenants exerçant déjà des fonctions de ce type. C’est du concret ! Ces rencontres ont toutes été remarquables. Je garde aussi un excellent souvenir des sessions juridiques, qui font partie des cinq modules proposés par la formation, ainsi que la confrontation entre les nouveaux paradigmes de l’analyse financière moderne et les thématiques liées à la RSE. A juste titre d’ailleurs, car les décisions prises par le conseil d’administration en ce sens vont irriguer tous les organes de l’entreprise et avoir des conséquences sur le plan économique, mais aussi social et environnemental. Aujourd’hui vous êtes membre de deux conseils d’administration et vous pouvez à votre tour intervenir comme intervenant au sein du certificat. Quel serait votre premier message pour les nouveaux postulants ? Rejoindre unconseil d’administration nécessite de l’humilité, de la patience et de l’écoute. De l’adaptabilité aussi, car pour comprendre la stratégie d’une entreprise dans laquelle vous n’intervenez pas régulièrement, l’agilité d’esprit est la clé. Deuxième conseil : il peut être intéressant pour une organisation d’avoir des administrateurs qui effectuent cette fonction également dans d’autres sociétés. S’il n’existe pas de conflit d’intérêt, le fait qu’un collaborateur soit administrateur d’une autre entreprise apporte une ouverture vers d’autres approches stratégiques. Les 3 qualités à vos yeux indispensables pour être un Administrateur qui réussira dans ses fonctions. - A nouveau : la discrétion. Plus que jamais, ce qui se passe dans un conseil d’administration reste dans un conseil d’administration ! C’est tout d’abord une obligation légale dans les sociétés cotées où l’obligation de discrétion des administrateurs est doublée par l’interdiction de divulguer en dehors de ses fonctions des informations privilégiées. Mais c’est surtout une obligation morale en toutes circonstances. Les échanges qui se déroulent lors de ces sessions n’ont pas vocation à être divulgués. - L’influence. Être en mesure de peser sur une décision sans avoir d’autre levier que sa capacité à convaincre n’est pas donné à tout le monde. Le certificat proposé par emlyon business school permet aussi de travailler sur ces compétences de persuasion afin de challenger les raisonnements stratégiques de la direction exécutive. - La sérendipité. Un atout non négligeable ! Pouvoir apporter une réponse « out of the box », alors que l'on sentait venir l’impasse, est une source d’agilité et permet aux membres du Board d’avoir une vision à 360°. C’est souvent ce qui manque dans une entreprise, où les enjeux de court terme prennent souvent le dessus sur tout le reste. Plus d’informations : Plusieurs sessions sont organisées toute l’année sur les campus emlyon business school de Lyon et Paris. Prochaine rentrée Paris : avril 2021 Prochaine rentrée Lyon : mai 2021 Pour plus d’informations, visitez le site du certificat « objectif conseil d’administration. »

Vos contacts Astrid Loi - 2023 Paris Astrid LOI 01 53 34 23 82 06 07 35 21 98 aloi@eml-executive.com LYON Claire RUFFIN 04 72 18 29 46 06 07 86 20 89 ruffin@eml-executive.com

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David Subrin, 42 ans, Chef d’agence chez Apave, a démarré le Executive Master Management Général en Décembre 2015.

David Subrin, 42 ans, Chef d’agence chez Apave, a démarré le Executive Master Management Général en Décembre 2015. « Cette formation est une véritable bouffée d’oxygène dans mon parcours professionnel. » Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ? J’occupe actuellement la fonction de chef d’agence « Laboratoires-essais-mesures » chez APAVE, je suis donc responsable d’un centre de profits sur le territoire « centre est » Apave est un organisme tierce partie qui réalise des contrôles réglementaires dans 5 domaines spécifiques : l’inspection, le bâtiment, la formation, le conseil et les laboratoires-essais-mesures. Avec l’aide de mes middle managers, d’un responsable commercial et d’une responsable administrative, je dirige une équipe de 75 collaborateurs sur 4 entités géographiques. Pourquoi avez-vous décidé de suivre la formation diplômante " Executive Master Management Général " ? J’ai intégré PGM en Décembre 2015. J’ai profité de la réforme de la formation professionnelle, qui sur la fin d’année, a permis à mon entreprise d’obtenir un financement plus important des OPCA pour cette formation diplômante. Je l'ai fait pour plusieurs raisons : J’avais une formation initiale « technique ». Dans mon cursus, je n’ai jamais eu de formation commerciale ou managériale. J’ai alors ressenti le besoin de remettre en question mon travail, mes acquis professionnels et d’étendre mes compétences dans l’ensemble des secteurs d’une entreprise. J’ai réalisé tout mon parcours professionnel dans la même entreprise (20 ans d’Apave). Aussi, j’avais besoin de comparer mon expérience professionnelle avec celles d’autres personnes et de confronter mon savoir-faire et mon savoir être avec d’autres univers professionnels. Que retenez-vous du Executive Master Management Général ? Tout d’abord, la qualité des modules et des intervenants. L’objectif que je m’étais fixé était de maitriser des items que je connaissais peu. Dorénavant, je comprends l’intérêt du contrôle de gestion. Le marketing, j’en faisais sans le savoir. Sur la partie Management, j’ai pris de la hauteur par rapport à mes connaissances. En Ressources humaines, j’ai aussi appris à travailler sur ces cas spécifiques et concrets. L’échange d’expériences avec les autres participants d’univers variés est un facteur très enrichissant. Cette diversité permet d’ouvrir ses yeux sur le monde (de l’entreprise) et de mieux l’appréhender. Et par rapport à votre métier de manager ? Même avec mon expérience managériale, j’ai appris beaucoup de choses ! Je trouve que cette formation est très adaptée pour les personnes déjà en poste de manager. Le format de 3 jours par mois permet de mettre en pratique rapidement ce que j’ai appris en cours. C’est une réelle bouffée d’oxygène dans mon parcours professionnel. PGM donne des clés de lecture qui ne sont pas celles que l’on pu recevoir auparavant. Par exemple, on nous indique comment gérer certaines situations managériales en comprenant le fonctionnement psychologique des personnes qui nous entourent. Quels sont les modules qui vous ont apporté le plus ? J’ai trouvé que les modules de développement personnel sont les plus intéressants et les plus instructifs, sur soi-même bien évidemment et sur les autres. Par exemple, les modules « Savoir motiver », « Optimiser son impact personnel » ou « Réussir ses interventions en public » m’ont beaucoup aidé et j’ai pu les mettre directement en pratique dans mon quotidien. Par exemple, chaque année, j’organise une réunion bilan lancement avec l’ensemble des mes collaborateurs. C’est l’occasion pour moi de parler en public. En me focalisant sur des comportements ou des tics verbaux inadéquats, j’ai su ce qu’il fallait éviter ou accentuer, pour arriver beaucoup plus en confiance et renforcer le message que je souhaiter faire passer à tous les participants. Avez-vous de nouvelles ambitions grâce au Executive Master Management Général ? La renommée de l’école emlyon et le diplôme PGM est un avantage concurrentiel sur son CV. Après, j’ai toujours eu de l’ambition. Au bout d’un certain cycle, j’ai tendance à m’essouffler et j’ai besoin de me projeter vers un nouveau poste afin d’évoluer et de devenir plus agile. Je suis certain que PGM me permettra de continuer à avancer. Si vous deviez décrire votre expérience à emlyon en quelques mots ? C’est un enrichissement personnel. Cette formation permet aussi de prendre de la hauteur et d’ouvrir son champ de réflexion. Il y a un vrai partage et une vrai communauté PGM : les échanges entre participants sont riches, enrichissants, et toujours dans la bonne humeur. Le fond et la forme sont là ! Les locaux sont très bien adaptés à l’apprentissage et l’équipe pédagogique est de grande qualité. Téléchargez la plaquette PGM

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Manager de transition et de projet à son compte, Hugo Excoffier mène sa carrière avec une idée bien précise, celle d’être en avance sur son temps. Alors, en voyant la place prise par le digital et les bouleversements que cela implique pour les entreprises, il a choisi de se spécialiser pour les accompagner. Rencontre.

Manager de transition et de projet à son compte, Hugo Excoffier mène sa carrière avec une idée bien précise, celle d’être en avance sur son temps. Alors, en voyant la place prise par le digital et les bouleversements que cela implique pour les entreprises, il a choisi de se spécialiser pour les accompagner. Rencontre. Hugo Excoiffier photo-min Hugo Excoffier a une vie professionnelle organisée autour de la conduite de projets. D’abord comme salarié, où ses fonctions étaient orientées sur la réalisation de missions : auditeur interne en entreprises (Carrefour, Casino) et consultant chez Ernst & Young. Puis comme Directeur administratif et financier (DAF) pour une filiale du groupe Casino avec la transformation du modèle de la centrale d’achat internationale. Et lorsqu’on lui demande de créer le service de contrôle de gestion de Franprix et Leader Price en France, il est encore question d’une mission. « Finalement, dans chacun de mes métiers, j’avais un objectif concret à remplir dans le cadre d’une gestion de projet ultra-pragmatique avec un résultat à atteindre. C’est cela qui me plaisait, pas la routine de la fonction », raconte Hugo Excoffier. Une indépendance choisie De ces expériences naît une idée : pourquoi ne pas réaliser ces missions à son compte et dans une relation directe avec des entreprises clientes ? Cet aventurier décide à 39 ans de se lancer en solo dans une activité qui est gérée, jusque-là, essentiellement par les cabinets de management de transition, notamment via des missions de restructuring. Hugo Excoffier prend le contre-pied et décide de travailler en direct pour les entreprises, sans intermédiaire, et de réaliser des missions de développement et non de restructuration. Nous sommes alors en 2009 et la crise est là. Les entreprises serrent les budgets et veulent une relation plus directe et plus opérationnelle avec les intervenants extérieurs. « J’ai fait le pari que les entreprises auraient besoin de personnes qui interviennent ponctuellement pour une mission, que ce serait la fin d’un monde binaire avec d’un côté le salariat et de l’autre le consulting. L’idée était d’être une sorte d’aide de camp, une ressource interne mais externalisée. Une personne qui va au-delà du conseil en produisant pour ses clients », explique-t-il. Marié et père de trois enfants, il y voit également l’opportunité de mieux gérer son emploi du temps et de s’investir dans les projets de transformation auxquels il croit. Une logique de partage Très vite, ses contacts lui confient ses premiers challenges en mission de transition : la création d’une centrale d’achat, la refonte d’un modèle d’offre commerciale, plusieurs postes de Directeur Financier, des directions générales et, bien sûr, des directions de projets de transformation. Des missions qui durent généralement entre trois mois et deux ans, lui conférant une place particulière dans les structures qu’il rejoint. « Je ne m’inscris jamais dans une sorte de routine où je répéterais mes gammes. Je n’ai pas d’histoire, ni d’avenir dans ces entreprises donc aucun historique relationnel ni aucune carrière à gérer. L’important, c’est le résultat », confie celui qui travaille essentiellement avec des entreprises de distribution, d’agro-alimentaire et de services. Désireux de prendre encore un temps d’avance sur son temps, Hugo Excoffier a décidé il y a deux ans de suivre le certificat Piloter la Transformation Digitale (anciennement TDO) à emlyon business school. « Je voulais avoir une réflexion avancée à proposer à mes clients et pas seulement recracher des acquis scolaires. La formation était à 360° avec des acteurs qui travaillent sur cette transition numérique, puis d’autres plus axés sur des enjeux d’évolution des cultures. Nous étions dans une logique de partage et non dans quelque chose de dogmatique », se remémore-t-il aujourd’hui. Une mutation encore longue Dès la fin du cursus, il signe un contrat, qui court encore aujourd’hui, avec Terrena. Au sein de ce groupe qui prône notamment une agriculture plus respectueuse des écosystèmes, il a pour mission de repenser et de mettre en œuvre toute la stratégie de commercialisation auprès des clients agriculteurs et professionnels. L’objectif est simple : faire pivoter la distribution vers un modèle omnicanal. Et ce, en se servant notamment de la data. Sur le plan humain, l’enjeu est d’emmener les équipes vers ce changement. « Je suis là pour définir une cible et mettre en place un groupe avec les équipes internes et des compétences externes », développe Hugo Excoffier. Ce caméléon, comme il se définit lui-même, sait d’ailleurs que la route est encore longue avant de faire évoluer totalement les modes de consommation et assure « apprendre en marchant ». Mais toujours vers l’avant. Pour en savoir plus sur Hugo Excoffier, www.hugoexcoffier.com

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