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Après une première vie professionnelle en tant qu’opticien, Sébastien Mouilleseaux s’est challengé en suivant l’Executive Master Management Général (anciennement Executive Master Management Général) d’emlyon business school. L’objectif ? Monter en compétences pour mieux se réinventer. Défi relevé puisqu’il est aujourd’hui à la tête de deux restaurants au cœur de la Cité Internationale de Lyon le Casa Raphaela et Le Suelta.

Après une première vie professionnelle en tant qu’opticien, Sébastien Mouilleseaux s’est challengé en suivant l’Executive Master Management Général (anciennement Executive Master Management Général) d’emlyon business school. L’objectif ? Monter en compétences pour mieux se réinventer. Défi relevé puisqu’il est aujourd’hui à la tête de deux restaurants au cœur de la Cité Internationale de Lyon le Casa Raphaela et Le Suelta. SebastienMouilleseaux©Fred_Durantet(1) Pendant 15 ans, Sébastien Mouilleseaux a été à la tête d’une boutique d’optique en plein centre-ville de Lyon. 15 années passionnantes à bâtir une entreprise indépendante, reconnue et forte d’une clientèle fidèle. Mais aussi 15 années à travailler en permanence et à subir les multiples évolutions législatives de sa profession. « Mon métier d’opticien me plaisait beaucoup mais il a énormément changé ces dernières années. Les réformes se sont succédées. Et l’image de la profession s’estaltérée », raconte Sébastien Mouilleseaux. À l’approche de la quarantaine, cet homme affable ressent le besoin de faire le point, d’identifier les compétences acquises en tant que dirigeant et manager. Tout en continuant à gérer sa boutique et ses trois salariés. « J’ai commencé par un bilan de compétences. Il m’a orienté vers une formation commerciale. Et par hasard, j’ai croisé dans la foulée deux de mes contacts qui m’ont parlé de l’Executive Master Management Général (PGM) d’emlyon business school. Leur expérience m’a convaincu. Je me suis inscrit », détaille le dirigeant. Dès les premiers jours de formation, l’évidence est là : « j’ai adoré ! », dit-il. Sébastien Mouilleseaux est le seul entrepreneur de sa promotion. Il apprécie la rencontre avec les différents profils et la bienveillance des équipes. Il souligne la pertinence des enseignements, qui « collent au terrain, sont dans le vrai ». Il se tourne notamment vers l’électif Management d’une équipe* et revoit ses convictions sur la gestion des collaborateurs. Un projet de famille Le rythme est intense puisque Sébastien Mouilleseaux cumule sa vie de chef d’entreprise, la naissance de sa fille et sa formation. « Avant de me lancer dans l’optique, j’avais tenté le concours de pharmacie. Deux ans à travailler non-stop pour rater le concours de 3 places. A côté, le rythme de l’Executive Master Management Général était bien moins intense, s’amuse-t-il. Plus sérieusement, je savais pourquoi je m’étais lancé. C’était un projet familial, mon épouse a joué le jeu. Et j’ai pu plus facilement que d’autres aménager mon temps en étant à mon compte. » D’apparence très décontracté, Sébastien Mouilleseaux a été totalement séduit par sa formation. « Depuis 2 décennies,j’étais centré sur mon métier. J’avais des œillères, et emlyonbusiness school m’a aidé à prendre de la hauteur face aux évolutions de mon marché. » Il s’ouvre alors aux opportunités et c’est ainsi qu’en juillet 2018, il reçoit une offre de rachat pour son magasin d’optique. C’est un déclic. Sébastien Mouilleseaux prend le temps de trouver un acheteur qui partage ses valeurs et saura faire perdurer l’activité de son commerce. En février 2019, il signe la vente d’Ampère Optique et s’ouvre à d’autres projets. La découverte de la restauration Sa formation à emlyon business school le pousse à s’intéresser à de nouveaux secteurs d’activité : immobilier, société de 2nd œuvre dans le BTP, service à la personne… Son choix s’arrête sur la restauration. « Je recherchais une activité de gestionnaire, où je pourrais être secondé par un encadrement fiable : directeurs d’exploitation, managers, chefs… et un secteur d’activité qui fait l’unanimité. La restauration est au cœur de notre quotidien. Nous avons tous besoin de sortir entre amis et profiter d’instants de convivialité en famille », explique Sébastien Mouilleseaux. Après plusieurs pistes avortées, il s’accorde sur le rachat de deux restaurants situés à Lyon 6e. La signature a lieu 24 heures avant l’annonce du confinement… ce qui ne remet pas en question ses projets mais le pousse à revoir son timing. « J’ai décidé d’avancer des travaux d’embellissement initialement prévus en Janvier 2021, de remobiliser les équipes et de travailler l’offre produit », détaille-t-il. Il garde en tête les enseignements d’emlyon et porte une attention particulière à la fidélisation de ses équipes et au bien-être de ses clients. Les deux établissements sont ouverts depuis le 1er juillet 2020. Sébastien Mouilleseaux est confiant et impatient de relever ce nouveau défi. *L’électif Manager une équipe projetest également proposé sous forme de programme court. Crédit photo : ©Fred_Durantet

Vos contacts Photo-Sabine-Chavanelle_small Sabine Chavanelle Conseillère en formation Lyon Tel. 06 02 15 88 47 chavanelle@eml-executive.com ALVES-Noemie-carte-cantine_small Noémie Alves Conseillère en formation Paris et VAE Tel. 01 53 34 23 91 alves@eml-executive.com

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Gina Scott sait saisir les opportunités. Executive Assistant pendant près de 20 ans, elle a évolué au sein de la SNCF et de ses filiales et acquis de nombreuses compétences en collaborant étroitement avec le top management. Ces fonctions très politiques lui ont permis de se forger un profil généraliste, curieux, à l’écoute des possibilités. Présentation.

Gina Scott sait saisir les opportunités. Executive Assistant pendant près de 20 ans, elle a évolué au sein de la SNCF et de ses filiales et acquis de nombreuses compétences en collaborant étroitement avec le top management. Ces fonctions très politiques lui ont permis de se forger un profil généraliste, curieux, à l’écoute des possibilités. Présentation. Gina Scott saisi les opportunités et se forme grâce à emlyon. « Attention, j’ai un parcours très atypique ! », préviens dès les prémices de l’échange Gina Scott. En effet, son récit est semé de rebondissements : des études de médecine empêchées par un grave problème de santé, un premier poste d’aide comptable dans une PME du bâtiment, un passage en bureau d’études… Gina Scott se forme sur le tas. Elle découvre la comptabilité et le secrétariat et arrive au sein de l’AREP, une filiale de la SNCF. Sa capacité d’écoute et sa rigueur la font évoluer rapidement : services généraux, communication, juridique, direction administrative et financière, secrétariat général et Présidence de l’AREP. Puis elle devient l’Executive assistant des membres du COMEX de la SNCF. Ses missions consistent à décrypter rapidement les situations et à incarner la parole des dirigeants qu’elle accompagne. Elle est rompue aux protocoles de l’Élysée et des différents ministères et suit attentivement les moindres sursauts internationaux. « Ces postes d’Executive assistant exigent beaucoup de diplomatie et de sens politique. On doit connaître et comprendre la stratégie de l’entreprise et les enjeux », explique Gina Scott. Se réorienter vers la finance avec emlyon business school Ce sont aussi des postes très mouvants : les cadres dirigeants changent tous les deux à trois ans et Gina Scott peut intégrer d’autres services au gré des nominations. Il y a trois ans, elle s’interroge : « Je savais faire beaucoup de choses mais je n’étais experte en rien. Je n’avais pas non plus de diplôme de l’enseignement supérieur et il devenait important pour moi d’acquérir une certification pour asseoir mon expérience. J’avais aussi une soif d’apprendre qu’il fallait sans cesse combler », précise-t-elle. Elle creuse la réflexion avec le service RH de la SNCF et affine son souhait. Ce sera : la finance. « Un retour aux premiers pas dans le métier avec les chiffres », raconte-t-elle. Gina Scott se tourne donc vers la formation pour approfondir ces notions et plus précisément l’Executive Master Management Général d’emlyon business school. Et comme sait si bien le faire Gina Scott, elle saisit, en même temps une nouvelle opportunité professionnelle : un poste de responsable administratif et financier d’une filiale fraîchement créée. Prise de poste et rentrée Elle fait donc une double rentrée : au sein de l’Executive Master Management Général et en tant que RAF. « Le programme m’a permis de consolider mes connaissances en finances, de théoriser ce que j’avais mis en pratique lors de mes précédentes expériences. C’était essentiel pour cette prise de poste ». Elle est particulièrement séduite par les modules de développement personnel, qui l’aident à prendre du recul et de développer ses capacités managériales. « Il ne faut pas se leurrer, c’était énormément de travail personnel, en plus des trois jours de cours par mois. Cette formation a été un projet de famille et j’ai eu la chance d’être soutenue par mon entreprise », précise Gina Scott. Elle est d’ailleurs promue Contrôleur de gestion au sein de la division numérique un an après le début de la formation, puis Responsable Financier du Suivi des Investissements. À peine diplômée, cette assoiffée d’apprentissage pense déjà à une prochaine formation, notamment autour de l’intelligence émotionnelle. De quoi faire naître de nouvelles opportunités…

Vos contacts Sabine Chavanelle Conseillère en formation Lyon Tel. 06 02 15 88 47 chavanelle@eml-executive.com Noémie Alves Conseillère en formation Paris et VAE Tel. 01 53 34 23 91 alves@eml-executive.com

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Infirmier anesthésiste depuis 30 ans, Vincent Chadier a souhaité repenser sa carrière et s’ouvrir à d’autres horizons en suivant l’Executive Master Management Général emlyon business school. Une décision forte qui lui a permis de plonger dans le monde de l’entreprise et de l’entrepreneuriat. Rencontre.

Infirmier anesthésiste depuis 30 ans, Vincent Chadier a souhaité repenser sa carrière et s’ouvrir à d’autres horizons en suivant l’Executive Master Management Général emlyon business school. Une décision forte qui lui a permis de plonger dans le monde de l’entreprise et de l’entrepreneuriat. Rencontre. Vincent-Chadier-Executive-Master-Management-Général-emlyon Vincent Chadier est un pur produit du milieu hospitalier. Depuis 30 ans, il œuvre dans les couloirs des hôpitaux et dans les blocs opératoires en tant qu'infirmier-anesthésiste. Cette vocation est née après l’obtention de son baccalauréat et l’a animée très longtemps. Mais les conditions de travail se sont durcies et l’usure est arrivée. « J’ai souhaité sortir de la filière soignante. J’avais également des projets entrepreneuriaux. Mais il est difficile de sortir du milieu hospitalier. J’étais enfermé dans mon étiquette de soignant », explique Vincent Chadier. Projet familial Ce père de famille se tourne alors vers la formation continue et emlyon business school. L’investissement est important, il prend le temps de la réflexion avec son épouse et décide de se mettre en disponibilité de la fonction publique hospitalière afin de se consacrer pleinement à l’Executive Master Management Général. Il découvre un nouvel univers, assez éloigné de la sphère publique qu’il avait connue jusque-là. « Les premiers jours ont été intenses, hyper intenses même. J’ai découvert le monde du privé, les notions de performance, de stratégie d’entreprise et les exigences des actionnaires. Le tout dans un environnement bienveillant », ajoute-t-il. Vincent Chadier approfondit ses compétences en management et acquiert des connaissances en marketing, finances, RH… Il profite de son mémoire pour creuser son projet entrepreneurial. « L’idée est de lutter contre les déserts médicaux avec des cabinets mobiles. C’est un projet qui me tient à cœur mais que je ne peux pas développer seul aujourd’hui », explique Vincent Chadier. Reconversion professionnelle Il décide donc d’opter pour une reconversion professionnelle, sans perdre le lien avec l’univers de la santé. « Le public et le privé ont deux fonctionnements très éloignés mais pas incompatibles. Chacun a à apprendre de l’autre », précise-t-il. Vincent Chadier recherche actuellement un poste alliant management, gestion et intérêt général. Il est en discussion pour des postes de coordination d’associations et de gestion de centre de dépistage covid. « emlyon business school m’a permis de découvrir d’autres horizons. J’ai élargi mon champ des possibles avec un diplôme reconnu », conclut Vincent Chadier. VOTRE CONTACT Photo-Sabine-Chavanelle_small Sabine Chavanelle Conseillère en formation Tel. 04 72 18 29 25 chavanelle@eml-executive.com

 

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“Quand on m’a dit que j’allais devoir faire un mémoire de 50 pages et des écrits de 20 pages, ça m’a fait tout drôle !” Lorsqu’elle débute l'Executive Master Management Général (PGM) à emlyon business school en septembre 2017, Sandra Guillermin, manipulatrice radio depuis 17 ans, est un peu impressionnée. Impressionnée mais nullement découragée, car le choix de suivre ce programme s'inscrit dans une vraie logique d’évolution de carrière, portée par une fine connaissance de ses qualités et de ses aspirations.

“Quand on m’a dit que j’allais devoir faire un mémoire de 50 pages et des écrits de 20 pages, ça m’a fait tout drôle !” Lorsqu’elle débute l'Executive Master Management Général (PGM) à emlyon business school en septembre 2017, Sandra Guillermin, manipulatrice radio depuis 17 ans, est un peu impressionnée. Impressionnée mais nullement découragée, car le choix de suivre ce programme s'inscrit dans une vraie logique d’évolution de carrière, portée par une fine connaissance de ses qualités et de ses aspirations. Scanner les corps, comprendre les machines L'étiquette Programme Générale de Management et emlyon business school a fait la différence. “Je suis plutôt scientifique dans l’âme ; j’ai un esprit cartésien”. Dès la sortie du lycée, Sandra a une conscience assez aiguisée de ce qu’elle veut faire professionnellement. Scientifique, mais aussi humaine, et attachée à l’activité de soin : “Je ne voulais pas d’un métier que technique, ni, à l‘inverse, d’un métier purement de soins comme infirmière. Manipulateur radio est le parfait équilibre entre technique et soins.” Elle rentre alors à l’Institut de formation de manipulateur d'électroradiologie médicale de Lyon. 3 ans plu tard, Sandra débute sa carrière comme manipulatrice radio dans un hôpital privé lyonnais : accueillir et rassurer les patients, préparer l’examen, paramétrer l’IRM ou le scanner, injecter le produit de contraste… Pendant 17 ans, Sandra réalise ces opérations quotidiennement, toujours avec le même engagement. En 2010, elle devient référente des IRM du service de radiologie et se forme pour cela : “Techniques et physique de l’IRM… Mon bagage scientifique s’est petit à petit étoffé” témoigne Sandra. Le management, comme une évidence Progressivement, elle s’impose comme intermédiaire entre toutes les professions du service (15 radiologues, une vingtaine de manipulateurs et une vingtaine de secrétaires médicales), dans un rôle de coordination et quasiment de management. Portée par cette activité qui s’ajoute à sa mission de manipulatrice, Sandra demande d'accéder à un poste de manager. Mais sa direction refuse. Nullement découragée, Sandra se décide alors à se former pour pouvoir évoluer plus facilement. Sandra collecte et rassemble les informations sur les différentes écoles et programmes en management et échange beaucoup avec différents interlocuteurs sur son projet. Elle va tirer de cette recherche deux enseignements précieux : la renommée de l’école est déterminante pour le CV, et le réseau est capital pour la carrière. Fort de ce constat, Sandra débute donc en septembre 2017 l'Executive Master Management Général proposé par emlyon business school, école qui pour Sandra “était la plus reconnue dans tous les milieux : médical, ingénierie et commercial”. Pendant 18 mois, Sandra va suivre ce programme parallèlement à son métier de manipulatrice. Aidée par son employeur qui lui permet d’être flexible dans ses congés, elle utilise ses jours de congés pour étudier, travaille les soirs et souvent les week-ends : une période aussi éprouvante que structurante. Recrutée avant d’être diplômée 21 juin 2019, emlyon business school, campus de Lyon. Sandra soutient son mémoire devant sa tutrice et deux radiologues. Le sujet : “Intelligence artificielle et imagerie médicale : mythe ou réalité ? Un sujet qui passionne Sandra : “L’impact de la digitalisation sur les métiers est très fort, par exemple sur celui de secrétaire médical : aujourd'hui, de plus en plus d'activités sont dématérialisées : prise de rendez-vous en ligne, accueil par des patients par des bornes, radiologue qui dicte ses comptes-rendus…” Un sujet qui la concerne directement, car Sandra a été recrutée en mai 2019 par la startup lyonnaise Deeplink-Medical, en tant que référente en solutions téléradiologiques. Sa mission : déployer une solution de téléradiologie et former les manipulateurs et les médecins afin qu’ils utilisent la téléradiologie. En effet, beaucoup d’hôpitaux publics notamment dans les zones rurales, ne possèdent plus de radiologues. Les examens de radiologie sont donc réalisés sur place et envoyés à des centres de traitement où des radiologues analysent et interprètent les images. l'Executive Master Management Général, facilitateur de son évolution En mars 2020, l’expérience prouve à Sandra que le réseau est déterminant dans une carrière : elle est approchée par une ancienne connaissance qui travaille chez Siemens et qui lui propose un poste de manager d’une équipe d’ingénieurs d’application IRM dans la société allemande. Un véritable aboutissement pour Sandra : “C’est le type d’opportunités dont j’ai toujours rêvé, pour moi c’est le poste parfait !”, se réjouit-elle. “Et c’est clairement l’étiquette Executive Master Management Général et emlyon business school qui a fait la différence !”. Dans ce nouveau poste, Sandra va suivre l’évolution des IRM du leader mondial dans ce domaine et encadrer une équipe de 20 personnes. Cette nouvelle page constitue une récompense de l’investissement et des sacrifices qu’elle a fait pour reprendre les études : “La charge de travail est importante et demande un investissement en temps et un engagement fort… Quand on a une vie de famille, ce n’est pas toujours facile ! L'Executive Master Management Général est aussi une grosse remise en cause. Ça remet les idées en place !”, témoigne Sandra. Manager d’équipe, de projet, futur manager, expert ou en reconversion, l'Executive Master Management Général vous permet d’adopter une posture managériale consolidée, de développer des pratiques de pilotage et d'animation d'équipe innovantes, d’acquérir une vision globale de l'entreprise et de son environnement et de maîtriser les fondamentaux pour plus d'efficacité opérationnelle.

 

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Devenir manager constitue une étape importante et fondatrice dans une carrière. Dans de nombreuses entreprises, une promotion équivaut forcément à une position de manager, ce qui pourtant n’est pas inné et réclame une formation qui n’est pas toujours fournie par l’entreprise. Alors, comment passer de collègue à responsable ? Comment faire évoluer son propre style de management, tout en sachant écouter ses collaborateurs ? Ce sont les questions auxquelles répondra Ubaldo Della Guerra dans la formation « Réussir ses nouvelles fonctions de manager » d’emlyon business school. Bien se connaitre pour mieux manager EMlyon-reportage-paris-web-7 Diplômé en Sciences de l’éducation - Université Lyon2 et également de l’Académie Nationales des Arts Dramatique de Rome, Ubaldo Della Guerra utilise les métaphores de la musique et la comédie comme fils conducteurs de la formation « Réussir ses nouvelles fonctions de manager », afin d’introduire son audience à diverses techniques de communication, d’affirmation de soi et de gestion des conflits. Être nommé manager implique forcément un changement d’identité professionnel : passer de collègue à responsable, donc de changer de posture sans pour autant perdre en authenticité. En effet, même en voulant bien faire, une posture de leadership qui n’est pas naturelle deviendra vite intenable dans des situations managériales difficiles. La formation « Réussir ses nouvelles fonctions de manager » permet aux participants, via des exercices issus de techniques théâtrales, musicales et créatives de sortir de leur zone de confort. Ils seront alors capables de prendre conscience de leur fonctionnement, de leurs biais, et d’être ainsi de modifier leur perception des autres. Management : La boite à outils emlyon formation continue Savoir poser les bonnes questions, écouter ses collaborateurs, avoir une attitude positive envers son équipe, communiquer clairement sa vision, être disponible pour son équipe… Sur le papier, toutes ces actions paraissent logiques, et même évidentes en tant que manager. Et pourtant, chacun dans sa carrière a rencontré des managers parfois négatifs, peu clairs oumême indécis ; qu’est ce qui les sépare alors des autres managers, ceux pour qui les équipes ont envie de travailler ? Certainement une méthodologie, une boite à outils, des règles essentielles qui ont été fixées au début de la relation de travail et surtout une appréciation inconditionnelle des autres personnes. C’est ce que propose Ubaldo della Guerra dans la formation « Réussir ses nouvelles fonctions de manager » : accompagner au mieux les nouveaux managers, partager avec eux des clés de succès, un fil conducteur à suivre pour trouver l’équilibre avec ses équipes. Être manager au quotidien Vous êtes désormais un manager éclairé, capable de suivre et d’écouter vos équipes, de prendre des décisions claires et de les assumer. Un autre défi s’offre alors à vous : comment faire face à la routine, à la lassitude ? Comment motiver et manager ses équipes au quotidien ? La formation « Réussir ses nouvelles fonctions de manager » vous permettra de mettre en place de nouvelles actions pour motiver vos équipes au quotidien, telles que fixer des objectifs mais aussi de travailler sur des indicateurs de performance. Il est également primordial de comprendre les critères de motivation de chacun, puisqu’une équipe est composé de personnalités parfois diamétralement différentes qui n’ont ni les mêmes attentes ni les mêmes motivations. A vous de trouver la clé pour les embarquer ! Quand le conflit s’invite dans la vie professionnelle C’est arrivé à tout le monde : un conflit, une tension au sein d’une même entreprise, voire de l’équipe… Et c’est tout l’équilibre de l’équipe qui vacille. La formation « Réussir ses nouvelles fonctions de manager » vous aidera à distinguer les raisons justes d’un conflit, son point de départ et vous aidera à le résoudre ; grâce notamment à la méthode DESC. Découvrez la formation « Réussir ses nouvelles fonctions de manager » : 3 jours 2100€ HT Formation délivrée en présentiel Prochaines sessions : Lyon - 22/05/2024 - 29/05/2024 Lyon - 09/09/2024 - 11/09/2024 Paris - 14/10/2024 - 16/10/2024

 

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Executive Master, un terme souvent confondu avec d’autres formations dans lesquelles le mot master figure. Nous vous aidons à y voir plus clair sur cette certification appropriée aux professionnels souhaitant affiner leurs compétences, ou de se reconvertir. Découvrez tout ce qu'il faut savoir au sujet de cette formation de prestige : avantages, public concerné, salaires à la sortie.

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Executive Master : tout savoir !

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Fonction ou formation du témoin

Diplômé de l'Executive MBA en 2013, Cofondateur de Dooxy

Témoignage de

Thomas Boisson

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Thomas Boisson diplômé de l'Executive MBA en 2013
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1. Pour quelles raisons avez-vous décidé de rejoindre le programme Executive MBA à emlyon business school ? Que cherchiez-vous à accomplir ? 

Après 15 ans passés en tant que directeur de projet et sur des fonctions managériales en environnement technique (télécommunications), je sentais que je manquais de compétences en stratégie, marketing, finances. Cela a atteint un point qui m’a posé problème pour expliquer des décisions de l’entreprise à mes équipes. Peu à peu je souhaitais aussi prendre part à des décisions plus structurantes de l’entreprise, et commençais à me projeter dans une société de taille plus petite mais à une position plus globale. Je voulais aussi confronter ma manière de voir le management avec d’autres pratiques. 

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Devenue cogérante d’une clinique vétérinaire sans formation particulière à la gestion d’entreprise, elle a suivi la formation Diriger Une Activité (DUA) d’emlyon business school qui lui a donné une assise managériale. Elle poursuit maintenant l’Executive MBA pour mener à bien les différents projets de son entreprise. Vétérinaire associée depuis 2008 au sein d’une clinique de 30 personnes dans le Nord-Isère, Céline Porret se lance en 2012 dans une formation de management vétérinaire, le DEMV(1) de l’Ecole Vétérinaire de Toulouse, qui s’avèrera déterminante dans la vision de son entreprise et de son poste. "Mes premiers cours de management ont été une révélation, se souvient-elle ; dans notre cursus vétérinaire, nous sommes formés à devenir des médecins, pas des chefs d’entreprise. Notre clinique a toujours été gérée assez instinctivement et grâce aux acquis de l’expérience, ce qui a bien fonctionné jusqu’ à ce qu’elle atteigne une taille critique. Mais son développement rapide et les changements importants dans l’organisation rendaient ce mode de fonctionnement caduc ; il nous fallait absolument professionnaliser notre management. " Rendez-vous est donc pris avec emlyon business school dans le but d’approfondir ces connaissances managériales. Son choix se porte alors sur le certificat Diriger Une Activité. Professions libérales : des problématiques communes à d’autres domaines d’activité "Ma formation initiale étant exclusivement médicale, mes attentes étaient multiples, souligne la vétérinaire. En prenant part à la gérance de notre clinique, j’ai vite senti qu’il y avait plusieurs domaines pour lesquels je manquais de formation théorique, que ce soit en finance, en management des équipes ou en stratégie." Mais la formation comporte aussi bon nombre d’aspects pratiques : "Le tronc commun comporte beaucoup d’exercices en petits groupes. Il est très intéressant de se confronter à d’autres domaines d’activité, de voir que nous avons des problématiques communes." L’autre partie de l’enseignement est constituée d'électifs, choisis en fonction du projet professionnel. "Sur ces modules, le contenu est choisi en fonction de domaines qui nous sont propres, l’entrepreneuriat pour ce qui me concerne, et nous rencontrons des participants d’autres formations, notamment Executive Master of Business Administration (EMBA) et Executive Master Management Général (PGM)." Jugeant la formation adaptée aux professions libérales et notamment médicales, la dirigeante estime avoir gagné le recul et les bases indispensables à une meilleure gestion d’entreprise : "C’est une expérience professionnellement et humainement très enrichissante. Pour une clinique, la formation a vraiment sa place et fait gagner en performance." Passerelle vers un EMBA Pendant tout le DUA, les projets de la clinique ont suivi leur cours et conduit les associés à soutenir Céline Porret dans son projet de poursuivre la passerelle Executive MBA. "Au moment du choix du DUA, la clinique n’était pas encore mûre pour investir dans un EMBA, et moi-même, je n’étais pas certaine de pouvoir fournir un tel travail, d’où ce choix de la formation la plus courte, explique la chef d’entreprise. Mais à la fi n de l’année, nos projets avaient avancé et un EMBA prenait tout son sens pour aller plus loin dans le développement de mes compétences." (1) Diplôme d’Ecole de Management Vétérinaire. Article rédigé par Bruno Mortgat pour Bref éco Bio express : 2003 : Diplôme de l’Ecole Vétérinaire de Lyon, 2008 : Association dans la Clinique Vétérinaire, 2014 : DEMV Ecole Vétérinaire de Toulouse, 2016-2017 : Certificat DUA à emlyon business school, 2017-2019 : Executive MBA à emlyon business school. En savoir plus sur le CERTIFICAT DIRIGER UNE ACTIVITÉ: Certificat pour cadres de direction expérimentés Maîtrisez les fondamentaux : Finance, Stratégie et Leadership Prenez du recul pour optimiser votre impact 22 jours de formation de 8 à 14 mois 2 Rentrées à Lyon : octobre & mars 1 Rentrée à Paris : février ELIGIBLE CPF Téléchargez la plaquette DIRIGER UNE ACTIVITÉ

VOTRE CONTACT LYON Gonzague WERQUIN Conseiller en formation werquin@eml-executive.com +33 (0)4 72 18 29 46

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Dans son dernier livre, Pierre-Yves Gomez, directeur de l’Institut français de gouvernement des entreprises, définit la gouvernance d’entreprise comme « un ensemble de dispositions légales, réglementaires ou pratiques qui délimitent l’étendue du pouvoir et des responsabilités de ceux qui sont chargés d’orienter durablement l’entreprise. » Mais surtout, elle suppose d’« être légitime pour assurer les choix stratégiques. » Une légitimité qui n’a cessé d’évoluer en parallèle de la société. Cadre juridique, nouveaux usages, si difficile parité : la conférence « Gouvernance d’entreprise : après 20 ans de transformation, de nouveaux enjeux », organisée au campus parisien d’emlyon business school, le 13 décembre 2018 (replay de la conférence), a mis en lumière ces transformations de la prise de décisions au plus haut niveau des organisations. Explications Distinguer le rôle du conseil d’administration et de la direction générale Si le conseil d’administration (CA) est la tête pensante d’une entreprise, le comité de direction serait ses mains pour mettre en œuvre de sa stratégie. Une juste répartition des tâches est ainsi le secret d’une structure en bonne santé et d’une information qui circule. In fine, le CA interviendra seulement sur le choix de la stratégie et le contrôle des résultats. La gestion opérationnelle de l’entreprise peut être orchestrée autour d’un directoire et d’un DG. Si le DG n’est autre que le Président du conseil, il pourra prendre le titre de Président-directeur général, le fameux « PDG ». « Ici, la confiance et la transparence sont fondamentales, partage Frédéric Oudea, DG de la Société Générale. Si l’administrateur doit connaître la stratégie de l’entreprise sur le bout des doigts, il doit éviter l’écueil de se substituer au manager, « de ‘faire à la place de’ ou de court-circuiter la Direction générale ». Administrateur externe : le spécialiste de service ? Cela ne doit pas l’empêcher de s’impliquer au maximum. « Pour prendre part au business stratégique, il ne faut pas avoir de scrupules à poser des questions, à évaluer le conseil, à s’investir, à recueillir les feedbacks… ce qui est essentiel pour grandir et se former », note Frédéric Oudea. Avec un bémol : ne pas tomber dans le rôle exclusif du « spécialiste », d’une compétence ou d’un marché, qui limiterait sa progression au sein de l’entreprise. « C’est un formidable exercice intellectuel ! s’enthousiasme Justine Ryst, southern Europe content partnerships director chez YouTube, qui suite à sa certification au programme « Objectif Administratrice », a intégré le conseil d’administration de la Compagnie du Mont Blanc. N’ayez pas peur d’aller sur un terrain qui n’est pas le votre, d’avoir un regard neuf, cela peut être un vrai atout ! » Des conseils en quête de féminisation Une remarque qui fait écho aux parcours des femmes au sein des postes à haute fonction . La plupart souffrent trop souvent du complexe de l’imposteur. Alors le succès dépend-il seulement de la capacité des femmes à se saisir des opportunités qui se présentent à elles ? Le débat fait rage et les stéréotypes ont la vie dure : les femmes représentent seulement 15% des effectifs des comités exécutifs des 120 plus grosses entreprises françaises. Seules Sophie Bellon, présidente du Conseil d’administration de Sodexo et Isabelle Kocher, DG d’Engie ont des postes au plus haut niveau dans le CAC 40, qui compte toujours 100% de PDG hommes. « Les hommes naissent administrateurs, les femmes se forment ! plaisante Marie-Jo Zimmermann, ancienne député et co-auteur de la loi Copé Zimmermann. Beaucoup reste donc encore à faire pour que le genre ne détermine plus la trajectoire d’une carrière.   La législation évolue, l’entreprise s’adapte Pourtant le législateur est intervenu sur la question pour lever les freins. En janvier 2011, la loi Copé-Zimmermann tente d’ouvrir la voie en instaurant un principe relatif « à la représentation équilibrée des femmes et des hommes au sein des conseils d’administration et de surveillance et à l’égalité professionnelle ».Concrètement, après un palier de 20% en 2014, la loi incite depuis 2017, à recruter des administrateurs du sexe le moins représenté à hauteur de 40% des effectifs pour une représentation équilibrée des femmes et des hommes au sein des conseils d’administration et des conseils de surveillance des entreprises. Une accélération du processus qui nécessite des formations parfois spécifiques aux femmes, à l’image du programme Objectif Administratrice. Associant emlyon business school et HeR value, cette formation pour encourager les femmes à devenir « actrice de la gouvernance » vient de fêter sa 15e promotion. Autre sujet où le législateur a joué un rôle déterminant : la loi de 1987 sur la représentation des travailleurs dans les conseils d’administration. Elle vise à mieux associer les salariés dans les conseils pour favoriser une meilleure représentativité de toutes les parties prenantes de l’entreprise. La loi autorise ainsi les syndicats à désigner parmi les collaborateurs deux membres titulaires et deux membres suppléants au CA des entreprises d’au moins 25 salariés. Une prise de décision basée sur une réflexion collégiale Plus la structure de l’entreprise est importante plus le cadre réglementaire est conséquent et les parties prenantes nombreuses. Aussi, le CA peut faire le choix de s’appuyer sur la création de comités pour faciliter sa prise de décision. « Un comité ne fait qu’instruire, il ne décide pas. Il instruit et soumet sa réflexion au CA », précise Frédéric Oudea. De nombreuses recommandations sont émises à ce sujet par l’Association française des entreprises privées (AFEP) et le Mouvement des Entreprises de France (MEDEF) au sein d’un rapport annuel commun. Les plus prioritaires ? Les comités d’audit, de nominations et de rémunérations. A noter que la période est propice à la création de comités dédiés à la technologique, au digital ou à l’environnement pour faire face aux enjeux de demain. Évolution de la gouvernance dans le temps Il ne faut pas croire qu’un conseil d’administration est complètement déconnecté de la société. Au contraire. « L’évolution de l’entreprise et du CA est le miroir de notre société », estime Pierre-Yves Gomez, qui dégage trois grandes phases de transformation, en reprenant l’exemple du CA de la Société Générale. Avant les années 90, l’idée même d’administrateur indépendant n’était pas une option : « Il était alors impensable qu’une personne non-actionnaire porte un jugement sur la stratégie. » Le CA est alors composé à 74% de l’exécutif de l’entreprise ! Avec seulement 1% d’administrateurs externes indépendants et 4% de salariés, l’entreprise est un alors espace fermé. Un état qui va être remis en cause à partir de 1985, suite à la financiarisation et à la globalisation de l’économie. A partir de 1990, « L’international rentre au cœur de l’entreprise. » L’expertise financière se développe : « Pour devenir directeur général, il faut alors être financier ». La structure du CA commence à s’ouvrir : la part d’administrateurs externes indépendants explose à 46% et les salariés doublent leur présence en passant à 9% des effectifs. Depuis 2010, la digitalisation accrue de l’économie trouve son prolongement dans la création de CA bien plus équilibrés. On compte désormais environ 30% d’administrateurs externes indépendants, 15% de représentants des parties prenantes, 30% de membres exécutifs et 25% de salariés. Mais attention toutefois… Cette part importante des administrateurs représente néanmoins un risque si l’administrateur est trop déconnecté de l’exécutif. La gouvernance, c’est le mouvement perpétuel !   Pour en savoir plus : téléchargez la plaquette

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