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Mercredi 9 Juillet, s’est déroulé le séminaire de clôture pour la promo 2018 du Executive Master Management Général (PGM). Les participants ont pris part à un dernier regroupement consacré à RE2009_0307 l’étude de l’IA (Intelligence Émotionnelle) et du bien-être au travail. Près de 90 diplômés, issus des campus d’Écully, ont pu participer à une conférence animée par le professeur-chercheur Christophe HAAG. Ce dernier est spécialisé dans l’étude du comportement organisationnel, une branche de la psychologie sociale. RE2009_0446 Dans un second temps, Jean-Marie FRECON, professeur d’arts martiaux a invité les participants à rejoindre son atelier. L’objectif de sa séance est d’apprendre à mieux vivre ses émotions grâce à la pratique sportive. Grâce à ce séminaire, les néo diplômés sont mieux accompagnés dans le développement de leur intelligence émotionnelle en leur transmettant des techniques de lâcher prise. Ce séminaire était aussi l’occasion pour la promotion de se réunir et de faire un bilan sur l’expérience PGM d' emlyon business school. amel touag "Il était important de marquer la fin de cette belle aventure. Cette journée sur l'intelligence émotionnelle nous a confortés dans nos nouvelles pratiques managériales acquises tout au long du programme, basées sur l'écoute active, la bienveillance et l'intelligence collective, qui nous permettront d'être le manager de demain. Il était essentiel de tous nous revoir, car l'aventure humaine qui a liée notre promo de 96 candidats a été un facteur de réussite et de satisfaction de ce programme. Je citerai juste la devise de notre promo, les Grands Crus : "Tout seul on va plus vite, ensemble, on va plus loin !" » Amel Touag, participante du PGM 2018 Comme Amel Touag, la plupart des participants du Executive Master Management Général sont des managers opérationnels/transversaux ou futurs managers. Ils participent à cette formation pour : Développer une posture managériale consolidée auprès d’interlocuteurs RE2009_0126 Découvrir des pratiques de pilotage et d'animation d'équipe innovantes Maîtrisez les outils nécessaires pour une efficacité opérationnelle sur le terrain Comprendre la stratégie de son entreprise et contribuez à son déploiement et à la création de valeur Prendre du recul et gagner en esprit critique pour favoriser l’agilité et la réactivité dans un monde en constante mutation Pour plus d’informations sur la formation, rendez-vous sur notre site.

Vos contacts Sabine Chavanelle Conseillère en formation Lyon Tel. 06 02 15 88 47 chavanelle@eml-executive.com Noémie Alves Conseillère en formation Paris et VAE Tel. 01 53 34 23 91 alves@eml-executive.com

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Comprendre les enjeux de l’entreprise et transposer sur le terrain les décisions de la direction forment les deux piliers du rôle de manager. Le Executive Master Management Général (PGM) accompagne les managers pour maîtriser cette double composante de leur mission.

En prise directe avec les transformations de l’entreprise, le manager de terrain se positionne entre la direction et les équipes opérationnelles. Pour ne pas être coincé entre le marteau et l’enclume, ce rôle actif de relais exige des compétences multiples. Il doit comprendre la vision stratégique des dirigeants pour appliquer en conscience les décisions, mais aussi donner aux collaborateurs l’autonomie et les responsabilités nécessaires pour obtenir leur engagement. Gagner en agilité Pour trouver le juste équilibre, le manager doit renforcer sa posture managériale en développant ses compétences comportementales et en s’initiant au développement personnel : apprendre à décrypter les motivations de ses équipes, anticiper les réactions et agir sur l’intelligence émotionnelle pour tirer le meilleur et faire progresser chaque collaborateur. Se former aussi aux techniques qui assoient la légitimité, mobilise l’attention et stimulent la créativité. S’il est essentiel de savoir manager les équipes, il est tout aussi important d’appréhender les objectifs de l’entreprise. Apprécier une situation dans sa globalité et mesurer l’impact de l’environnement donnent les clés d’une lecture à 360°. Comprendre, c’est être en capacité d’agir. Cette vision out of the box permet au manager de déployer efficacement la stratégie sur le terrain. Avec des compétences enrichies en management, relation clients, finance… il sait faire preuve d’esprit critique, bousculera les idées reçues, gagnera en agilité dans un monde en mutation. Ces clés de lecture pour être crédible dans le poste et développer l’employabilité, un Executive Master Management Général peut les donner. Ce diplôme Bac+5, délivré par emlyon business school à travers une formation sur 12 à 18 mois, est compatible avec une activité professionnelle. Il peut également s’obtenir par le biais d’une démarche de Validation des Acquis de l’Expérience (VAE). Pour suivre le Executive Master Management Général, un niveau Bac+2 ou équivalent est requis ainsi que 7 ans d’expérience professionnelle. emlyon encourage aussi les candidatures atypiques. Chaque dossier est étudié et un candidat qui aurait un niveau d’étude inférieur au bac+2 peut être accepté s’il dispose d’un niveau d’expérience professionnelle significatif. Si vous souhaitez en avoir plus, téléchargez la brochure du programme.

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Vous êtes dirigeant d’entreprise ou Directeur de BU et souhaitez challenger la stratégie de votre entité ? Vous n’avez pas le temps de prendre le recul nécessaire pour réfléchir à des voies de diversification ? Vous voulez instaurer la culture de l’innovation dans votre entreprise ? 

Vous êtes dirigeant d’entreprise ou Directeur de BU et souhaitez challenger la stratégie de votre entité ? Vous n’avez pas le temps de prendre le recul nécessaire pour réfléchir à des voies de diversification ? Vous voulez instaurer la culture de l’innovation dans votre entreprise ? Confiez cette réflexion à des cadres expérimentés en rejoignant le programme d’Action Learning développé par EMLYON et la AirBusiness Academy (Groupe Airbus). visuel airbus 1 Depuis 3 ans, plus d'une soixantaine d’entreprises telles que la vôtre (grands groupes du CAC 40, PME, ETI, start-ups, ONG, tous secteurs confondus hors aéronautique) ont déjà ouvert leurs portes aux seniors managers d’Airbus pour échanger sur leurs pratiques et améliorer leur performance. Comment ça marche ? Après avoir sélectionné une problématique stratégique, les entreprises partenaires travaillent avec une équipe de cinq cadres expérimentés d’Airbus qui l’accompagne pour concevoir et développer des solutions. Ce processus ne requiert que quatre rencontres formelles d’une demi-journée sur une période de dix mois, complétées par une série d’échanges à distance. Cette mission de consulting est GRATUITE mais exige une forte motivation de la part des entreprises pour travailler de manière coopérative sur une mission stratégique avec des cadres externes, et s’engager dans un processus pédagogique gagnant-gagnant. Après une troisième session réussie en 2015, la 4ème session du programme démarre en janvier 2016. Nous recherchons actuellement des entreprises qui souhaiteraient profiter de cette opportunité d’apprendre et de développer leur performance organisationnelle. Prenez part à l’aventure 2016 et bénéficiez de l’expertise de cadres expérimentés d’Airbus pour vous accompagner dans la transformation de votre entreprise ou devotre BU. Airbus SWITCH Program Prenez part à l'aventure 2018 ! Si vous êtes intéressé(e)s, ou connaissez une personne ou une entreprise intéressées, contactez: Sidonie CHEMLA : chemla@eml-executive.com/ 01 53 34 16 42 ou 06 32 26 34 16 Plus d’infos sur le projet

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Premiers jours de classe pour les participants du Executive Master Management Général à Lyon ! 46 participants se sont réunis dès le mardi 20 février 2018 pour 4 jours de rencontre et de partage, autour de plusieurs thématiques : Apprendre à entreprendre, créer un esprit réseau… par l’intermédiaire d’un business game lors de ce séminaire introductif. Pour en savoir davantage sur les motivations de chacun à suivre un diplôme en management, nous avons décidé de leur poser une question simple : Pourquoi avez-vous décidé de vous former ? Pierre, 30 ans, manager comptable chez Schneider Electric « Je me forme car je suis dans un métier qui change beaucoup et que mon BAC +3 ne me permet pas d’évoluer. En effet, la réalité ici en France, c’est qu’un BAC +5 est nécessaire. » Soumya, 36 ans, conseillère à la Macif depuis 10 ans « Je fais le PGM dans le cadre d’une réorientation professionnelle pour me repositionner sur le marché, me challenger et relever de nouveaux défis. » Cédric, 35 ans, responsable production à La Poste « Je me forme pour acquérir toutes les compétences nécessaires à mon futur poste de cadre stratégique, afin d’être efficace tout de suite après ma prise de fonction en tant que directeur d’unité opérationnelle. » Anne, 31 ans, à la recherche d’un emploi après avoir occupé le poste de coordinatrice d’essai clinique « J’étais déjà manager dans l’entreprise pour laquelle je travaillais auparavant. Je me forme car je souhaite légitimer mon poste auprès de mes potentiels employeurs, mais aussi pour avoir une meilleure posture et être un meilleur manager. » Bienvenue à l'ensemble des participants du programme !

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La finance n’est pas une compétence exclusive des services financiers. Dans son périmètre de responsabilité, le manager s’appuie, lui aussi, sur des données et raisonnements financiers pour piloter son activité. Il doit être capable d’arbitrer entre plusieurs options, projets ou investissements, sur la base de critères économiques et de création de valeur. Ces compétences sont également requises pour échanger efficacement avec les équipes comptables et financières en parlant le même langage. La maîtrise des mécanismes financiers tient donc une place importante dans les missions du manager. Visuel-1-Article-Certificat-Finance-décision Il doit maîtriser ses coûts En tant que gestionnaire, il incombe au manager de maîtriser les coûts de son unité. Au-delà de l’observation factuelle des chiffres, la compréhension de la formation des coûts permet au manager de connaître ses marges de manœuvre et d’identifier les leviers pour optimiser ses charges. De précieuses informations pour améliorer la performance économique de son activité. Il doit maximiser la création de valeur Il est impératif que le manager comprenne comment s’évalue et se crée la valeur - équilibre complexe entre différentes variables - afin de prendre les meilleures décisions. Par exemple, il doit acquérir cette compétence afin de mesurer l’impact sur la marge nette opérationnelle de la réorganisation de son service et l’automatisation de certaines tâches. Ou encore déterminer comment, en sous-traitant des tâches non stratégiques, il peut ré-allouer des ressources sur des activités pointues à forte valeur ajoutée. Il doit choisir ses investissements Le manager doit être en mesure de choisir les investissements les plus en phase avec les objectifs qui lui sont assignés, décisions engageantes et souvent complexes à prendre. Notamment lorsqu’il s’agit d’estimer et de tenir compte des gains échelonnés dans le temps. Pour évaluer la rentabilité et la pertinence de chaque projet, la connaissance de plusieurs techniques financières est un préalable indispensable : délai de récupération du capital investi, taux de rentabilité interne, etc. Visuel-1-Article-Certificat-Finance-décisi2n Il doit piloter la performance La mise en œuvre des décisions requiert l’élaboration d’un système de pilotage. Ce dernier repose sur des indicateurs financiers et non financiers pertinents. La mesure de la performance permet au manager de piloter son activité avec agilité pour atteindre les objectifs fixés. L’information financière tient, là aussi, un rôle prépondérant en alimentant des tableaux de bord de pilotage. Pour les entreprises les plus avancées, les managers interviennent dans le processus d’élaboration des balanced scorcard et utilisent cet outil pour piloter la performance de leur propre entité. Il doit communiquer avec les parties prenantes La maîtrise des bases de la décision financière est importante pour être en mesure de communiquer efficacement avec les parties prenantes : défendre la rentabilité d’un projet auprès de sa direction, présenter un budget de fonctionnement ou encore échanger avec la direction financière sur le calcul des coûts de son service. Cette compétence conforte la crédibilité du manager aux yeux des décideurs de l’entreprise. Il s’agit ainsi d’un véritable atout pour obtenir des financements ou moyens supplémentaires dans le but de développer l’entité dont il est responsable. Article-4-Certificat-Finance-decision Comment monter en compétence dans ce domaine ? Une formation de 4 jours « Finance au service de la décision », proposée par emlyon business school, permet de comprendre et maîtriser les mécanismes financiers et les fondamentaux du processus de création de valeur. La finalité de cette formation est d’apporter aux managers opérationnels et primo managers de toute fonction les compétences nécessaires pour la prise de décision financière. Les objectifs sont : Mesurer l’impact de ses décisions sur la création de valeurs Construire une démarche prévisionnelle pour appuyer la validité des projets Comprendre le langage financier pour communiquer avec les parties prenantes Le programme s’organise en 2 étapes : 2 jours en distanciel pour acquérir les fondamentaux de l’information financière, des mécanismes financiers et de la démarche de création de valeur financière 2 jours en présentiel focalisés sur la mise en oeuvre des acquis de la première étape Cette formation de 4 jours (certifié par emlyon business school – Top 3 des business schools en France / Le Point 2017) vous apportera confiance et crédibilité dans votre rôle de manager. Le certificat est éligible CPF (Compte Personnel de Formation) et finançable par votre entreprise.

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Sylvain de Campou est professeur à emlyon business school pour le parcours de 9 jours en Marketing Digital. Il gagne sa vie grâce au web depuis l'an 2000. Consultant indépendant en marketing internet, il accompagne ses clients pour les aider à optimiser leurs investissements E-marketing. Il a conçu nombre de programmes de formation que ce soit en inter-entreprise ou sur-mesure, en fonction de l’entreprise.

D'abord qu'est ce que le "Digital" ? Si la réponse la plus évidente, de prime abord, peut-être « site internet », « application mobile », « web », le mot de digital recouvre un nombre infini de concepts, d’outils, d’agences ou d’entreprises… Mais il se définit surtout par une réalité ! Au contact d'Internet, nos usages ont profondément évolué. Il suffit pour s’en convaincre de s'observer quelques instants avec notre smartphone ou notre tablette. Alors si nos usages ont évolué, pourquoi nos clients continueraient-ils à se comporter de la même manière ? Comme nous, ils baignent chaque jour dans ce nouvel environnement. Comme nous, ils utilisent au quotidien des applications mobiles, s’informent sur des sites internet ou des réseaux sociaux, comme nous ils sont submergés de mails. Effectivement le « Digital » est omniprésent. Que je sois touriste ou homme d’affaire, parfois pendant la même journée. Pour ma part ce qui m’intéresse c’est le marketing digital. Revenons sur quelques points fondamentaux. Le marketing n’est ni plus ni moins que l’organisation des points de contacts entre l’offre et la demande. Avec le Web, nous avons découvert de nouveaux canaux pour être au contact de nos clients ; pensez ici client dans son acception la plus large, incluez vos suspects et vos prospects. Toujours dans une approche traditionnelle (je vous rappelle que l’on m’a forcé à acheter un livre sur la Mercatique au début des années 90 !) on parle de zone de chalandise. Cette notion est toujours d’actualité. Alors comment penser la zone de chalandise à travers le prisme du marketing digital ? Voilà une question passionnante à laquelle nombre d’entreprises n’ont pas encore répondu. Une autre question fondamentale se pose aux managers et aux entrepreneurs : comment s’orienter dans cet écosystème mouvant ? Comment mesurer la performance des actions mises en œuvre, quelles métriques utiliser, présenter ? analysis-1841158_1920 Un début de réponse est simple. S’il existe UNE unité de mesure et par conséquent de valeur à laquelle vous devez porter attention la voilà c’est : le clic. C’est avec des clics que Google gagne des milliards. Donc il est aujourd’hui fondamental de compter les clics ! Nous sommes dans l’ère du marketing et non plus à l’ère de la communication mass media dont les grilles de lecture sont devenues illisibles. Le marketing digital est mesurable et permet d’avoir un retour net sur son investissement. Toute entreprise est aujourd’hui consciente des enjeux du digital Alors avant de vous lancer, apprenez ! Oui apprenez à poser les bonnes questions à vos interlocuteurs, apprenez à mieux piloter vos prestataires comme vos ressources internes. Parce qu’en posant les bonnes questions on obtient les bonnes réponses. Puis, au fil du temps continuez à vous former, vous n‘avez guère le choix : chaque jour apparaissent de nouveaux services, de nouveaux outils. Comment pouvez-vous simplement vous faire une idée de la manière dont vous pourriez en tirer parti si vous ne les testez pas ? Il existe des clés de lecture aujourd’hui. Nous avons accès à des Framework de travail, d’analyse. Nous disposons de méthodologies de travail éprouvées. Et c’est bien cela que nous essayons de transmettre à emlyon business school à Paris et à Lyon: rendre aussi autonomes que possible les participants et les entreprises qui suivent les parcours de marketing digital. Nous vivons une époque passionnante profitez-en ! => Pour plus d'informations : EXEC CORPO avc logo 2048x2048 Découvrez le parcours en marketing digital sur le campus de Paris ou de Lyon pour optimiser la visibilité de votre entreprise sur le web (9 jours) Aussi, les formations courtes sur les campus emlyon de Paris et de Lyon : E-marketing : les leviers d’acquisition de trafic (3 jours) Le marketing digital dans une stratégie multicanal (3 jours) SMO : Tirer parti des médias sociaux pour augmenter sa visibilité (3 jours)

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Cet article s’appuie sur les travaux menés par Thierry Nadisic pour son livre « Le management juste » (UGA Éditions), publié le 18 octobre 2018. Thierry Nadisic est chercheur à emlyon business school, docteur en comportement organisationnel et professeur agrégé. Ses recherches explorent le sentiment du juste, les émotions et l’épanouissement au travail et dans la vie quotidienne. Il a reçu le prix AGRH de la meilleure recherche francophone en 2016 et le prix de la fondation HEC de la thèse de l’année en 2008. Il intervient régulièrement dans Formation intra-entreprise et sur-mesure d'emlyon business school telle que Atos excellence programme.

De même que les peuples anciens avaient besoin, avant toute chose, d’une foi commune pour vivre ensemble, nous avons de nos jours un besoin primordial de justice. Les recherches en justice organisationnelle ont montré qu’être juste consiste non seulement à rémunérer les personnes de façon équitable, mais aussi et surtout à leur donner voix au chapitre lorsque l’on prend des décisions qui les concernent, puis expliquer et justifier les décisions prises tout en faisant preuve de respect et d’empathie. adult-american-blond-1282268 Un manager a intérêt à intégrer cet impératif de justice dans sa manière de gérer. C’est bien sûr une question d’éthique. Il s’agit aussi de professionnalisme. À l’avènement de la troisième révolution industrielle, un responsable qui veut permettre à ses salariés de réussir leur mission doit de plus en plus souvent chercher à satisfaire leurs besoins fondamentaux. Et il s’avère qu’être juste est la manière la plus efficace de répondre à ces besoins. Une légitimité à prouver Pendant longtemps dans l’entreprise, jusqu’à la fin des années 1960 en France, la légitimité des responsables découlait naturellement de leur position dans un système d’autorité. La satisfaction des besoins des salariés était considérée comme étant une propriété naturelle de ce système. Des sentiments de justice et d’injustice pouvaient être ressentis par des salariés mais ils avaient peu d’impact sur leur comportement au travail. Les salariés obéissaient aux normes sociales et aux ordres de leur chef. Depuis, la société s’est profondément transformée. Aujourd’hui, la légitimité d’une autorité pose question. Elle n’est plus ressentie comme naturelle. Elle doit être prouvée. On ne fait plus spontanément confiance à un professeur, un prêtre, un expert diplômé, un homme politique, un père de famille. De même, un manager doit montrer sa compétence pour être considéré comme digne de confiance par ses collaborateurs. Et la capacité à être juste fait partie des attendus pour un poste de responsable. Les comportements des collaborateurs sont devenus plus sensibles, en positif comme en négatif : ils vont bien en deçà et au-delà de l’obéissance. Des sentiments d’injustice sont à la source de négligences, de démissions voire de sabotages. En revanche, se sentir justement traité entraîne de la coopération, de l’innovation et de l’engagement. Ces réactions permettent à leur tour à l’entreprise de mieux faire face aux nouvelles incertitudes qu’elles soient technologiques, sociétales, concurrentielles ou de marché. Comment cette nouvelle compétence sociale de production de sentiments de justice permet-elle au manager de construire une légitimité favorable à ces comportements ? Trois mécanismes ont à cet égard été identifiés. D’abord, les salariés respectent un lien de subordination dans l’entreprise car c’est le cadre habituel d’échange de leur travail contre une rémunération à la fois monétaire et symbolique. Ce faisant, ils courent le risque d’une exploitation économique, mais aussi relationnelle. Leur responsable peut utiliser sa position dominante dans la relation pour ne pas rémunérer leur travail à sa juste valeur, ou pour ne pas les considérer comme membres à part entière du collectif de travail. Le sentiment d’être justement traités leur permet d’avoir confiance dans le fait que l’organisation et ses responsables continueront à leur donner l’argent et la considération qu’ils méritent. Dépasser une vision utilitariste de la justice file-20181127-76737-1xr68tm Ensuite, les membres d’une organisation ont un besoin intrinsèque de travailler dans un environnement qui respecte la morale, les droits des personnes et leur dignité. Cette motivation, dite déontique, indépendante des bénéfices matériels et relationnels que leur procure la justice, a été mise en évidence tardivement, ce qui a permis de dépasser une vision longtemps restée uniquement utilitariste de la justice. La justice est aussi une fin en soi. Enfin, les salariés préfèrent des systèmes et des responsables justes car ceux-ci leur assurent une meilleure maîtrise de l’incertitude dans l’organisation. Être traités justement leur permet de mieux prévoir le lien entre ce qui leur arrivera dans l’entreprise et ce qu’ils ont réalisé concrètement. Cela favorise donc un meilleur pilotage social de leurs comportements. Il est à noter que ce dernier motif est compatible avec les trois précédents qu’il inclut : un environnement de travail juste diminue l’incertitude concernant à la fois les récompenses matérielles, la satisfaction des besoins de reconnaissance sociale et le respect des normes morales. file-20181127-76737-gvdvka Ce sont ces trois mécanismes psychosociaux qui permettent à un manager juste de répondre aux besoins fondamentaux des salariés au travail. Être juste est ainsi devenu une compétence sociale cruciale à la fois pour construire sa légitimité comme responsable et pour favoriser des comportements d’autonomie permettant de faire face aux enjeux d’une économie en transformation rapide. Source : The conversation - 29 novembre 2018

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Réussir dans ces nouveaux mondes implique d’aller vite, d’être agile, flexible et d’élargir ses réseaux de coopération. Les entreprises sont de plus en plus à la recherche de ces nouveaux talents pour repenser leur mode de fonctionnement, développer de nouvelles activités et explorer des terres inconnues. emlyon business school est devenue l’école la plus engagée dans la formation et l’accompagnement d’early makers. Le dernier palmarès mondial de l’employabilité du Times Higher Education est venu confirmer ce positionnement : 2 500 employeurs et 3 500 managers internationaux nous classent parmi les 3 écoles françaises du TOP 30 mondial. Ce résultat récompense notre stratégie de mettre l’employabilité au cœur de notre dispositif pédagogique. Découvrez nos actions majeures en vidéo ainsi que le rapport d’activité annuel 2016-2017 via notre site corporate.em-lyon.com.

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Plus diplômées, les femmes accèdent pourtant moins que les hommes aux postes à responsabilités. De plus les écarts de salaire se maintiennent. Alors où en sommes-nous des progrès en matière de mixité dans les gouvernances d'entreprises ?

L’évolution du cadre législatif a permis de faire progresser la parité au sein des organes de gouvernance dans les grandes entreprises et les entreprises cotées. La loi Copé-Zimmermann a fait bouger les choses au niveau des Conseils de Surveillance et d’Administration ; ainsi, on a maintenant dépassé les 40% de femmes dans ces instances du CAC 40. Des progrès restent toutefois nécessaires dans les entreprises non couvertes par ce texte. C’est pourquoi en 2020, la loi Copé-Zimmermann s’étendra aux entreprises de plus de 250 salariés dont le chiffre d’affaires atteint au minimum 50 millions d’euros. Des évolutions seraient également à envisager pour favoriser l’équilibre femmes-hommes dans la composition des équipes d’encadrement et de direction. De nouvelles réglementations pourraient être efficaces telles que l’a été la Loi Copé-Zimmerman. La loi PACTE destinée à rendre l'économie française plus compétitive présentera quelques amendements favorables pour rétablir l'égalité salariale. Par exemple, un amendement "pose l'obligation pour les entreprises, de plus de 5000 salariés dans le monde ou de 1000 salariés en France, de publier dans leur rapport annuel un ratio mesurant l'écart entre la rémunération la plus haute et la rémunération médiane et de justifier des écarts de salaires d'année en année". Dans cette question de l'accessibilité aux postes de dirigeantes et à des niveaux de salaires supérieurs, la formation reste un élément décisif. Elle apporte un bagage supplémentaire aux femmes pour qu'elles se sentent légitimes et encore plus armées pour intégrer des Conseils d'administration, des Comités exécutifs ou des Comités de direction, mais aussi pour négocier leurs rémunérations. Le certificat Objectif Administratrice, en collaboration avec le cabinet Her Value, accompagne ainsi les femmes qui souhaitent prendre des sièges dans des conseils d'administration. Le parcours propose d'acquérir ou de revisiter des compétences techniques, stratégiques et comportementales afin de porter des mandats dans tous types de structures. Pour en savoir plus sur ce programme dispensé sur les campus de Lyon et de Paris, vous pouvez assister au prochain webinaire le 16 novembre à 12h JE M'INSCRIS

Vos contacts Astrid Loi - 2023 Paris Astrid LOI 01 53 34 23 82 06 07 35 21 98 aloi@eml-executive.com Sans titre (2) LYON Claire RUFFIN 04 72 18 29 46 06 07 86 20 89 ruffin@eml-executive.com

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Le samedi 20 janvier dernier, Dominique Seguin, Directeur Associé de Kestio et intervenant du service carrière d’emlyon business school, nous a fait le plaisir de venir animer une conférence sur notre campus parisien. Et oui ! En plus d’être implanté à Lyon, emlyon business school se trouve aussi à Paris ! La thématique ? Le « personal branding » Le public présent ? Plus d’une centaine de cadres et dirigeants d’entreprises de la région parisienne C’est à la suite d’un événement difficile de sa propre vie que Dominique Seguin s’est tout particulièrement intéressé à la thématique du personal branding. Voici en quelques lignes les conseils qu’il a prodigué aux personnes présentes, pendant cette intervention pour le moins très inspirante. « Avez-vous déjà vécu ce moment dans votre vie professionnelle, où vous êtes remercié ? Il est assez compliqué d’anticiper ce genre d’événement et vous ne serez pas toujours décideur. Qu’importe le nombre de décisions que vous prenez dans votre journée, au travail ou dans votre vie personnelle, celle-ci n’est pas de votre ressort. Comment le personal branding peut-il constituer un moyen d’orienter votre démarche vers le choix, et de devenir le maître de votre destin professionnel ? Il vous faut tout d’abord accepter de voir disparaître, dans une dizaine d’années, le si sécurisant contrat à durée indéterminée, de plus en plus inadapté aux nouveaux business models se voulant agiles. Le CDI à beau rassurer les deux parties en apportant une certaine stabilité, il vous empêche de vous dépasser. Ce n’est plus la structure mais l’expertise et le réseau qui seront les réponses aux nécessités d’innovation et de compétitivité des entreprises. C’est en cela que le personal branding devient un processus indispensable afin de sortir du cadre de votre entreprise et de votre secteur d’activité. L’accélération digitale en est aussi la cause comme l’illustre l’exemple du Velib, ou comment une innovation ayant nécessité des investissements et des aménagements colossaux a pu se faire dépasser par seulement deux mois de codage et un simple hashtag. Nous ne sommes pas accoutumés à ce que les choses changent de façon abrupte ni à ce que les méthodes éprouvées ne fonctionnent plus d’un jour à l’autre. L’avènement du digital ne vous permettra plus de prévoir le futur en regardant en arrière comme vous aviez l’habitude de le faire, c’est pourquoi vous devez orienter votre démarche vers le choix et vers la prise de décision, et anticiper plutôt que subir les décisions prises à votre insu. Votre réseau doit donc être au cœur de cette démarche, activé avant même que vous en ayez besoin. Comment construire votre personal branding ? La première chose à faire est de structurer votre projet autour de trois questions : Qu’est-ce que j’aime faire ? Qu’est-ce que je sais faire ? Qu’est-ce que le marché, mes clients, ma cible, attendent de moi ? Vous êtes très souvent conscient de vos compétences mais il n’est pas habituel de le lier avec ce que vous voulez et aimez vraiment faire. La difficulté du personal branding, c’est d’être clair, de rester cohérent avec son projet mais surtout d’avoir un feedback. Délivrez votre message en permanence car la constance dans la communication est primordiale. Soyez visible sur les réseaux sociaux et peaufinez votre profil car il est la porte d’entrée de votre réseau. Nourrissez-le de contenus intéressants avant d’être intéressés et engagez avec des contacts inconnus afin d’élargir votre cercle. Enfin, gérez vos relations en off-line pour créer du contact réel en participant à des événements, des rencontres d’anciens élèves et des dîners car, rien ne remplace le contact humain. »

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