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Un rôle clé dans la démarche stratégique Le succès d’une stratégie ne dépend pas seulement des réflexions et des décisions prises du haut de la pyramide hiérarchique. Le déploiement de la stratégie est un élément clé pour assurer l’atteinte des objectifs à long terme. Il passe par les managers qui impulsent les nouvelles orientations et déclinent les axes stratégiques à leur niveau. Ils sont les acteurs de la transformation de l’entreprise. Pour assurer cette mission, 4 prérequis sont indispensables : Être capable de décrypter la stratégie de l’entreprise Il est fondamental que les managers intègrent complètement la stratégie retenue, sa finalité, la direction choisie et les chemins pour y parvenir. Sans cela, le risque est grand de voir un déploiement divergeant et au final, une mise en œuvre défaillante. Les managers doivent saisir le sens des orientations stratégiques pour les traduire en actions concrètes sur le terrain. Cette capacité de compréhension requiert des compétences pointues : la connaissance des fondamentaux d’une démarche stratégique d’une part et de ses déclinaisons dans le système de management, d’autre part. En particulier les liens qui unissent la stratégie d’entreprise et la stratégie marketing, ainsi que l’imbrication des différents niveaux d’objectifs. Doté de cette grille de lecture, le manager est ainsi en situation de produire des actions locales alignées sur les objectifs stratégiques. visuel-article-stratégie-finance-manager Savoir évaluer la valeur créée La pertinence des actions à mener se mesure également au travers du prisme de la création de valeur. Il incombe au manager de maîtriser les mécanismes financiers pour prendre les bonnes décisions. Il est ainsi outillé pour comparer chaque option à la lumière de son potentiel de création de valeur et apprécier, au final, si les objectifs sont bien tenus. Savoir conduire le changement La mise en œuvre d’une stratégie implique des changements individuels et collectifs : de nouvelles façons d’accomplir des tâches, de nouveaux comportements à adopter, la conquête de territoires jusque-là inconnus… La mise en œuvre de la stratégie peut nécessiter des changements structurants comme des changements d’organisation, des changements de business model… Pour accompagner et mener son équipe dans ce type de transition, le manager se doit de densifier ses compétences en matière de conduite de changement. Il est ainsi capable de mettre son collectif en ordre de marche pour migrer d’une situation actuelle à une situation projetée. Savoir piloter la performance La mise en œuvre d’un plan d’action nécessite une évaluation permanente des résultats à travers des outils de pilotage. Cette phase est très importante, car à quoi bon mener une analyse approfondie, prendre des décisions engageant l’entreprise sur le long-terme, si les actions ne font pas l’objet d’un pilotage rigoureux ? Tout commence au plus près du terrain sous la responsabilité du manager. Il est donc fortement conseillé à ce dernier de s'approprier les outils de mesure de la performance afin de suivre les résultats produits sous son périmètre de responsabilité. Comment acquérir ces compétences ? Pour tous les managers ou futurs managers souhaitant développer leurs compétences dans le cadre d’un programme diplômant (Bac +5), emlyon business school propose le Executive Master Management Général accessible sur les campus de Paris ou de Lyon. 2 rentrées par an, en septembre et en février de chaque année. Aussi, pour enrichir les savoirs et savoir-faire des managers dans le déploiement d’une stratégie d’entreprise, emlyon business school a conçu le certificat « Stratégie et finance pour managers ». La finalité de cette formation est de doter les managers des derniers outils et méthodes pour décrypter la stratégie et piloter la performance de l’entreprise dans un contexte de changement. visuel-diplome-emlyon-business-school-2018 Les objectifs du certificatsont : ● Outiller les managers pour décrypter la stratégie d’entreprise et la déployer ● Donner du sens et contribuer à la création de valeur à travers ses décisions et développer l’expérience client ● Piloter la performance et mesurer l’impact financier de ses actions Le programme est construit autour de 5 axes : ● Introduction à la stratégie ● De la stratégie à la stratégie marketing, à la mise en oeuvre opérationnelle ● Finance au service de la décision ● Mise en oeuvre de la stratégie et du changement ● Piloter la performance L’enseignement repose sur des exercices pratiques pour immerger le manager dans des problématiques concrètes. Managers ou nouveaux managers ? Ces formations (certifié par emlyon business school – Top 3 des business schools en France / Le Point 2017) vous apporteront confiance et crédibilité dans votre rôle de manager. Le certificat et le diplôme sont éligible CPF (Compte Personnel de Formation) et finançable par votre entreprise. Plus d’informations ici

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Besoin d’autonomie des salariés, quête de sens dans le travail, assouplissement des barrières hiérarchiques… impactent la vie en entreprise et incitent les managers à réinventer leur posture managériale.

Les entreprises sont en pleine (r)évolution. Bousculées par les générations hyper-connectées, questionnées dans leur schéma organisationnel, déstabilisées par les nouvelles aspirations des salariés, elles connaissent de profondes mutations. Les managers sont en première ligne face à cette transformation qui nécessite de s’adapter. Pour générer l’engagement des collaborateurs et faire émerger la créativité, le manager doit comprendre les fondamentaux du management sous l’aspect comportemental. Entre des seniors parfois installés dans une routine, des millenials désireux de trouver un équilibre vie privée-vie professionnelle et des quadras en plein questionnement sur leur parcours, le manager a fort à faire pour gérer les problématiques générationnelles. Composer avec la diversité des personnalités, appréhender la complexité des relations managériales, donner un cadre sans brider l’innovation, générer l’engagement, gérer les éventuelles tensions… la mission d’un supérieur hiérarchique, qu’il soit manager d’équipe ou manager de projet, ne relève pas d’une sinécure. Décoder les comportements C’est en travaillant sa posture managériale, en sachant être à l’écoute et en apprenant à décoder les comportements que le manager gagnera la confiance de ses équipes. Il sera alors en position idéale pour rassembler autour d’un projet et développer la co-construction. Car favoriser le travail collaboratif et faire naître l’intelligence collective sont les clés de la performance. Pour inscrire dans la durée cette relation de confiance et ce mode de fonctionnement collectif, le manager doit aussi parfois devenir un peu coach et DRH. Contribuer à l’épanouissement de chaque collaborateur et lui permettre d’exprimer tout son potentiel entre dans cette logique d’empowerment. Les salariés veulent être en capacité d’agir, donner toute la mesure de leurs talents, apporter leur pierre à l’édifice commun. Le manager devient alors le garant de l’équilibre général qui participe à la réussite de tous. Adopter un management innovant Mais composer avec différents talents et additionner les forces ne s’improvise pas. Des outils et des méthodes existent pour aider le manager à gagner en robustesse et en efficience. Pour ces défis qui placent (tous) l’humain au cœur du dispositif, emlyon business school a pris le parti de créer un certificat dédié afin de prendre le temps d’approfondir et d’expérimenter les nouvelles méthodes de management. Le certificat "Enjeux du management des hommes", intégré dans le "Executive Master Management Général", repose sur quatre modules. Rapidement, vous apprendrez à décrypter les attitudes de vos collaborateurs et à comprendre leurs réactions pour être en capacité de vous adapter au comportement de chaque individu. Mis en confiance, chaque membre de votre équipe pourra donner le meilleur de lui-même pour atteindre l’objectif : l’agilité au service de la performance de l’entreprise. En partenariat avec BFM Business Ces clés de lecture pour être crédible dans le poste et développer l’employabilité, un Executive Master Management Général peut les donner. Ce diplôme Bac+5, délivré par emlyon business school à travers une formation sur 12 à 18 mois, est compatible avec une activité professionnelle. Il peut également s’obtenir par le biais d’une démarche de Validation des Acquis de l’Expérience (VAE). Pour suivre le Executive Master Management Général, un niveau Bac+2 ou équivalent est requis ainsi que 7 ans d’expérience professionnelle. emlyon encourage aussi les candidatures atypiques. Chaque dossier est étudié et un candidat qui aurait un niveau d’étude inférieur au bac+2 peut être accepté s’il dispose d’un niveau d’expérience professionnelle significatif. Si vous souhaitez en avoir plus, téléchargez la brochure du programme.

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Développer le sens de l’innovation, gagner en agilité et même fidéliser ses talents : permettre à ses collaborateurs d’agir en entrepreneurs au sein même de l’entreprise ne manque pas d’avantages ! Mais l’intrapreneuriat n’est pas une évidence pour toutes les entreprises et nécessite parfois un changement culturel au sein de l’organisation. Pour répondre à ces nouveaux enjeux, emlyon business school propose des programmes sur-mesure autour de l’intrapreneuriat basés sur l’apprentissage par l’action.

Transformer l’entreprise de l’intérieur par l’intrapreneuriat Des produits aussi emblématiques que le post-it (chez 3M) ou la Playstation (chez Sony) sont nés via l’intrapreneuriat ! Chez Google, les salariés sont encouragés à consacrer 20% de leur temps de travail à des projets ne figurant pas sur leur fiche de poste. Pas de doute, l’intrapreneuriat a le vent en poupe. C’est logique, car cette démarche intervient au carrefour de deux aspirations : les grandes entreprises sont constamment en quête d’innovation et de « désilotage », quand les collaborateurs ont besoin de projets qui ont du sens pour eux. Autant les laisser développer leurs propres idées ! L’intrapreneuriat ne manque pas d’avantages. Pour l’entreprise, il s’agit de casser les silos traditionnels, de gagner en agilité et de bénéficier de nouvelles innovations. Côté collaborateurs, les bénéfices sont aussi très importants : ils gagnent en autonomie, en compétence et en créativité, et inventent les produits et services de demain. Sans risque, puisqu’ils peuvent compter sur les moyens, les ressources et le réseau d’un grand groupe ! Challenges stimulants, risque limité : d’après une étude Deloitte de 2017, 72% des sondés se disent séduits. Cette démarche gagnante-gagnante permet à l’entreprise de suivre le tempo des start-up, avec une meilleure fidélisation de ses talents, tout en développant son attractivité. C’est aussi un excellent moyen pour redessiner et renforcer la coopération entre des collaborateurs évoluant dans différentes strates de l’entreprise. L’engouement se traduit en chiffres : selon l’étude Deloitte, 88% des intrapreneurs interrogés souhaiteraient renouveler l’expérience et 66% assurent que les projets développés ont été adoptés. Faire naître des intrapreneurs intrapreneuriat Conscient de ces nouveaux enjeux, emlyon propose aux entreprises des programmes sur-mesure qui offrent aux collaborateurs la possibilité de faire émerger de nouvelles idées et de les concrétiser au sein des organisations. Si c’est en forgeant qu’on devient forgeron, alors c’est en entreprenant qu’on devient innovant. Tout au long de la formation, les participants travaillent par petits groupes sur des projets en phase avec les grandes orientations stratégiques de l’entreprise. L’apprentissage par l’action (« action learning ») est au cœur du processus éducatif : 70 % de la formation est orientée vers l’action, en complément des 10% d’apports théoriques dispensés par des experts de haut niveau. Les 20% restants prennent la forme de « feedbacks » individuels et collectifs conduits par le responsable pédagogique du programme ou un coach emlyon. Car le principe même de l’entrepreneuriat, c’est d’avancer pas à pas, en apprenant de ses erreurs. A l’issue du programme, des propositions d’actions concrètes seront portées par les collaborateurs auprès de la direction générale qui décideront de poursuivre et de concrétiser les projets. Vecteur d’innovation à plusieurs niveaux de l’entreprise, la démarche intrapreneuriale place les collaborateurs au centre de la dynamique de transformation des entreprises. « Break Through » : la mue du géant pharmaceutique par l’intrapreneuriat De nombreuses entreprises de secteurs variés ont ainsi fait confiance à emlyon pour les accompagner dans la mise en place de programmes d’intrapreneuriat. Parmi elles, Bristol-Myers Squibb. Chaque année depuis 2013, la filiale française du géant biopharmaceutique propose à ses collaborateurs un programme de développement des compétences basé sur l’intrapreneuriat, élaboré conjointement avec emlyon. Baptisé « Break Through », ce parcours entend « percer » les silos, en renforçant agilité et innovation chez les collaborateurs. Concrètement, chaque promotion, composée d’une vingtaine de managers, travaille tout au long de l’année sur un thème défini en phase avec les trois piliers stratégiques de l’entreprise : excellence opérationnelle, connectivité et esprit pionnier. Répartis en groupes de six, les collaborateurs sont invités à présenter un projet devant le Comité de Direction, qui sera mis en application dans l’entreprise à l’issue du programme. Tout au long de l’année, les participants suivent des modules stratégiques et des ateliers pratiques sur l’innovation dans l’entreprise, pour les aider à répondre à la problématique business définie en amont. Depuis la mise en place de « Break Through », plusieurs idées présentées dans le cadre du programme ont déjà été couronnées de succès : la deuxième promotion a développé une ambitieuse plateforme d’Open Innovation, qui a déjà permis à 10% des idées émises d’être incubées dans l’entreprise. De son côté, la promotion 2015 a été à l’initiative du programme VIK-E (Victory in Innovation for Kids- electronic). Il permet aux jeunes malades du cancer, placés en chambre stérile, de participer à leur vie familiale grâce à des robots de télé-présence. Cette année, « Break Through » a fait des émules avec le lancement du programme « Break Through Terrain » dédié aux talents issus des métiers de terrain (forces de vente, médical, accès marché...). Un bel hommage rendu au théoricien du management Peter Drucker : « La raison d’être d’une organisation est de permettre à des gens ordinaires de faire des choses extraordinaires ».

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L’intrapreneuriat, c’est créer une « entreprise dans l’entreprise ». Un concept qui permet de déceler des opportunités, investir de nouveaux marchés tout en capitalisant sur son activité initiale. C’est aussi une source de motivation pour les équipes et une culture à diffuser au sein des organisations. Présentation.

« La démarche intrapreneuriale connaît un très fort développement ces dernières années, suscité par la performance de son modèle face au besoin d’innover sans cesse grandissant des sociétés. Ce n’est pas qu’une mode », annonce Véronique Bouchard, professeur de stratégie et pionnière dans le domaine de l’intrapreneuriat dès le début des années 2000. Elle a créé et dirige l’Institut de l’Intrapreneuriat, qui vise à accélérer l’apprentissage et l’émergence des conditions favorables au succès des intrapreneurs en croisant pratique, recherche et formation. En effet, les atouts de l’intrapreneuriat sont nombreux pour les structures comme pour les collaborateurs. C’est le moyen de développer de nouveaux services ou produits, d’investir des marchés à fort potentiel, d’innover. L’entreprise croît sous l’impulsion de ses collaborateurs porteurs de projets. Ils gagnent en autonomie, adoptent une posture d’entrepreneur. L’intrapreneuriat dans le secteur public Après une formation dédiée à l’intrapreneuriat à emlyon business school, la directrice Sarah Videcoq Aubert a ainsi pu mettre en œuvre ses apprentissages pendant la crise sanitaire. Tous les secteurs sont concernés. Même le secteur public. « En tant que directrice de la Caisse primaire d’assurance maladie de Meurthe-et-Moselle, je suis à la tête d’une petite PME du secteur public. La démarche d’intrapreneuriat est essentielle. Elle est source d’innovation, de prises d’initiatives internes afin de replacer le client – l’assuré – au cœur de nos réflexions », explique Sarah Videcoq. Après une formation dédiée à l’intrapreneuriat à emlyon business school, la directrice a ainsi pu mettre en œuvre ses apprentissages pendant la crise sanitaire, ce qui a permis à ses équipes de s’organiser, en très peu de temps, en télétravail et de déployer des outils technologiques au service du suivi des patients. Dernier lancement en date ? La création d’un Lab Innov prévue début 2021 au sein de la CPAM de Meurthe-et-Moselle. « Ce type de projet sollicite tout l’écosystème et impose une organisation, une structure pour avancer. La formation était indispensable car sans méthodologie, on bricole autour d’idées et on n’avance pas », met en garde Sarah Videcoq. La nécessité d’une méthodologie En effet, l’intrapreneuriat repose sur une organisation. C’est un fonctionnement structuré qui vise aussi à motiver et à engager les membres de l'équipe et les parties prenantes. « Attention, la mise en œuvre de l’intrapreneuriat constitue un vrai défi. Mal conduite, la démarche est vouée à l’échec avec des effets négatifs sur l’organisation et les équipes impliquées », précise Véronique Bouchard. Laurent Champiot, aujourd'hui Directeur de la BU Life Sciences au sein du groupe Shift Consulting, a expérimenté plusieurs des challenges typiques de l’intrapreneuriat. En 2018, alors consultant chez Shift, il porte une vision novatrice qu’il souhaite concrétiser : développer une offre et une équipe spécialisée de consultants combinant des méthodes de gestion de projet et d’innovation (le coeur de métier de Shift), avec des expertises digitales et métier spécifiques au secteur santé-pharma. Laurent Champiot, aujourd'hui Directeur de la BU Life Sciences au sein du groupe Shift Consulting, a expérimenté plusieurs des challenges typiques de l’intrapreneuriat. La phase d’incubation a conduit à un solide projet intrapreneurial malgré quelques écueils : "Certes,Shift offre un contexte favorable à ce type d’initiative (société issue de l’incubateur emlyon) cependant l’articulation de mon intraprise avec l’activité historique fut délicate. Il a fallu par exemple embarquer des collaborateurs ciblés afin de créer un collectif intrapreneurial à l'intérieur de l’entreprise, ou encore négocier l’évolution du modèle commercial global. J’avais d'ailleurs sous-estimé ces aspects me focalisant (le biais de l’expert) sur la création de valeur pour les clients. J’avais pourtant exploré la littérature sur le sujet… mais cela ne suffisait pas. J’avais donc besoin d'équilibrer ma vision d’offre avec mon écosystème”, explique Laurent Champiot. Il se tourne alors vers la formation avec le Certificat Intrapreneur : acteur de l'innovation proposé par emlyon business school. Ce parcours de formation le dote de méthodes, l'enrichit de partages croisés d’expériences et l’aide à prendre du recul. “L’intrapreunariat a accéléré ma carrière et m’a positionné en responsabilité d’un périmètre innovant qui représente désormais un tiers du chiffre d’affaires de Shift, soit 3,5M€ en 2020” partage Laurent Champiot. Il ajoute que "la formation m’a permis de clarifier une trajectoire personnelle entre salariat et entreprenariat, et de sécuriser le passage à l’échelle de mon projet”. Un savoir- faire qu’il est aujourd'hui prêt à transmettre afin d’explorer de nouveaux axes porteurs. Découvrir l’Institut de l’Intrapreneuriat créé et dirigé par Veronique Bouchard, responsable du certificat Intrapreneur : acteur de l'innovation.

Votre contact Ingrid yakouben Ingrid Yakouben Conseillère en formation 06 07 86 04 49 yakouben@eml-executive.com

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Intrapreneuriat : « une démarche par laquelle un ou plusieurs employés, en association avec leur organisation, s’engagent et portent à leur initiative des activités innovantes et créatrices de valeur. » Open Lab Intrapreneuriat (DGE)*.

Il existe aujourd’hui en France un riche écosystème dédié à l’intrapreneuriat. Il regroupe les entreprises toujours plus nombreuses qui mettent, ou ont mis, en place un dispositif intrapreneurial ; des prestataires — ex-intrapreneurs ou entrepreneurs — s’offrant d’accompagner ces entreprises et de « coacher » leurs intrapreneurs ; des incubateurs prêts à les héberger ; des communautés d’intrapreneurs ; des organismes privés et des écoles reconnues proposant des formations, des certificats et des diplômes en intrapreneuriat ; des groupes de chercheurs et des agences gouvernementales dont les travaux portent sur l’intrapreneuriat … Une telle ferveur aurait été inimaginable il y a seulement cinq ans. En France, l’intrapreneuriat était alors réservé à quelques entreprises pionnières. Après trois décennies d’expérimentation, ce bilan décevant résultait de plusieurs facteurs : un engagement en pointillé de la haute direction, des attentes peu réalistes et contradictoires de la part des différentes parties prenantes, des dispositifs intrapreneuriaux « défectueux » d’un point de vue structurel ou opérationnel et, très souvent, une « gestion RH » des intrapreneurs inadaptée. Que s’est-il passé ces dernières années pour qu’en dépit de ces retours d’expérience peu engageants, l’intrapreneuriat connaisse une telle popularité ? La révolution digitale est passée par là ! Le besoin d’innover éprouvé par les grands groupes n’est pas récent mais la révolution digitale l’a transformé en un impératif. Tout va très vite. Les grands groupes assistent à l’émergence d’acteurs innovants, agiles et digitaux. Si la plupart n’iront pas au-delà de la première levée de fond, certains deviendront de formidables opposants. Ils doivent assurer la performance de leurs activités de base (parfois avec difficulté), miser sur de nouvelles technologies (lesquelles choisir ?), satisfaire de nouveaux besoins (lesquels ?, pour quels clients ?), expérimenter (comment ?) et se transformer (en quoi ? et pour quelles fins ?). C’est beaucoup, même pour un grand groupe ! Pour affronter ces défis, deux modalités d’innovation connaissent depuis récemment une certaine faveur : l’open innovation et le corporate venturing. Mais la première n’est pas facile à mettre en œuvre. Le cloisonnement interne des entreprises constitue souvent une barrière qui limite fortement l’impact de la démarche. Le corporate venturing quant à lui consiste à acquérir de petites entreprises innovantes ou à s’en rapprocher par des prises de participation. En pratique, l’écart culturel entre grands groupes et startups rend problématique une collaboration efficace. C’est dans ce contexte que ré-émerge avec force la modalité d’innovation « intrapreneuriat ». L’intrapreneur est quelqu’un de l’entreprise qui connait son mode de fonctionnement et que l’entreprise connait. Contrairement aux équipes internes dédiées à l’innovation, il porte un projet à son initiative, de bout en bout, et s’y engage d’autant plus vigoureusement qu’il l’a choisi. Grâce à son accès aux ressources et aux informations de l’écosystème-entreprise, l’intrapreneur est bien placé pour identifier des besoins émergents, élaborer des réponses originales mais alignées stratégiquement. Il incarne la compétence « innovation » au sein de son organisation avec ce qu’elle implique de créativité, de prise de risque et d’itérations multiples. En outre, de par son mode de fonctionnement informel, collaboratif et transversal, l’intrapreneur est un champion naturel de l’open innovation, qu’il contribue à initier en interne. L’attraction et la rétention des talents sont devenus des enjeux stratégiques A l’impératif « innovation », s’adjoint aujourd’hui l’impératif « talents ». Le recrutement des meilleurs profils et leur rétention ne vont plus de soi pour les grands groupes. Ainsi, selon une enquête récente, près de 67% des étudiants interrogés affirment qu’ils seront plus sensibles aux entreprises proposant une démarche d’intrapreneuriat et 58% se disent partant pour se lancer dans une démarche d’intrapreneuriat une fois embauchés. Certains grands groupes l’ont compris et mettent des moyens conséquents à la disposition des intrapreneurs. Ceux-ci bénéficient de formations très complètes, sont coachés par les meilleurs experts du design thinking, des méthodes agiles et du management d’ équipe, disposent d’un budget temps conséquent, sont incubés ou « excubés » dans des lieux bouillonnants d’idées et d’activités. Cependant, pour espérer attirer et retenir des talents par ce biais, les grands groupes doivent s’engager dans la durée, veiller à ce que l’engagement des dirigeants soit authentique et le comportement de leurs managers compatible avec les valeurs et les principes de l’intrapreneuriat (l’autonomie et le droit à l’erreur en particulier). Les intrapreneurs ne sont plus isolés Les récits d’intrapreneurs des décennies passées mettent souvent en relief leur relatif isolement et les difficultés qui en découlent. A l’ère des réseaux sociaux et des outils digitaux, les intrapreneurs ont désormais accès à des communautés de pratiques et d’apprentissage dans l’entreprise, sur le net ou dans des tiers lieux. Ils peuvent ainsi échanger, recharger leur batterie, conseiller et être conseillés. Ils ont face à eux des managers mieux informés et plus sensibles à leurs besoins et difficultés.C’est une avancée majeure qui contribue fortement à l’épanouissement et aux chances de succès des intrapreneurs. On compte également un nombre significatif de professionnels compétents et bien décidés à promouvoir l’intrapreneuriat. L’écosystème actuel comprend même de véritables spécialistes de l’intrapreneuriat qui, grâce à une longue expérience en tant que praticiens, formateurs et chercheurs, sont en mesure d’aider les entreprises à effectuer un audit stratégique et à mettre en place des dispositifs et formations adaptés à leurs objectifs et contexte propres. L’intrapreneuriat ou le futur du travail ? Malgré cette popularité croissante, il reste des conditions à réunir afin de consolider le statut de l’intrapreneuriat et éviter que le boom actuel ne finisse en bulle. Trois points nous paraissent importants : L’émergence et l’adoption d’un vocabulaire commun — Les divers travaux sur l’intrapreneuriat menés depuis plus d’un an dans le cadre de l’Open Lab Intrapreneuriat pourraient contribuer à l’émergence d’un vocabulaire commun. Le développement et la diffusion des compétences et savoirs intrapreneuriaux dans l’ensemble de l’écosystème — Il est essentiel que les dirigeants et managers de grands groupes soient formés pour comprendre les enjeux de l’intrapreneuriat, faire des choix éclairés et appuyer efficacement les intrapreneurs. Le recueil et le partage d’expérience à grande échelle — Dans une optique d’apprentissage par les pairs et d’amélioration continue, les tentatives de mise en œuvre de programmes intrapreneuriaux devraient être systématiquement documentées, partagées et discutées. Au final, il nous semble que les ambiguïtés et difficultés associées à l’intrapreneuriat résultent notamment du fait qu’il préfigure les pratiques de travail à venir. Qu’il s’agisse de l’exigence de sens et d’autonomie, du désir de relever des défis très différents au cours d’une même carrière ou de l’évolution du statut de l’employé, de plus en plus « partenaire » de l’entreprise, l’intrapreneuriat place les grandes entreprises face à de nouvelles exigences. Y répondre de façon constructive, faire évoluer les mentalités et les pratiques en conséquence, c’est déjà inventer le travail de demain. * L’Open Lab Intrapreneuriat est une initiative lancée par la DGE (Direction Générale de l’Entreprise) en Avril 2018. Elle a conduit à la création en Juin 2018 de trois groupes de travail dont les efforts portent sur, respectivement, l’élaboration d’un label, la rédaction d’un guide d’inspiration et l’identification de KPI innovants. Titulaire d’un Ph.D. in management sciences de la Wharton School, Véronique Bouchard enseigne et consacre ses activités de recherche à la stratégie et l’intrapreneuriat, autrement appelé entrepreneuriat organisationnel. Elle effectue régulièrement des interventions en entreprise sur ces thématiques. Avant de rejoindre la faculté d’emlyon business school, elle a pratiqué le conseil en stratégie, notamment au sein du Boston Consulting Group. Elle s’intéresse également à l’innovation pédagogique et à la conception de cours « blended ».

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L’aventure pédagogique immersive Making leaders vient d’être récompensée par les Trophées du Digital Learning dans la catégorie Blended Learning & accompagnement. En quoi ce parcours de leadership, élaboré par les équipes emlyon executive education pour Capgemini France, est-il singulier ? Quels sont ses apports pour les managers du leader mondial dans le conseil en nouvelles technologies ? Les acteurs de cette aventure ; participants, concepteurs ou intervenants y répondent !

Le leadership comme relation à l’autre En quoi le parcours Making leaders a-t-il facilité et accompagné votre transformation personnelle ? A cette question, les participants, tous seniors managers de Capgemini France, répondent de manière quasi-unanime : ce qui a changé en eux c’est d’abord la relation à l’autre. “J’ai gagné en bienveillance”, “Mieux faire confiance à mes équipes”, “Changer le regard que je porte sur moi et prendre du temps pour la relation avec les autres”, “Ce programme a changé ma façon d’aborder les gens et le regard que je peux avoir sur les autres”. Le parcours, qui puise sa source notamment dans les apports de la psychologie positive et humaniste, met en effet l’accent sur le rôle central de la relation à l’autre en matière de leadership. Au-delà de l’empathie, considérer la relation à l’autre, c’est également être pleinement acteur dans la dynamique relationnelle, avec toute l’introspection, la remise en cause et la prise en compte des émotions que cela implique. Une approche assumée dans Making Leaders, qui met l’homme au cœur de l’entreprise là où, parfois, la tentation existe de reléguer les émotions et la profondeur de l’être à la sphère privée. Leaders dans un monde d’incertitude Les facteurs clés de succès d’un tel dispositif hybride, entre formation et développement organisationnel, tiennent au caractère continu de l’expérience participant. Un autre élément clé du parcours, le décentrage. L’objectif est de permettre aux leaders de faire évoluer leur mode de pensée pour faciliter l’émergence de nouvelles pratiques, plus adaptée à la complexité́ et à l’incertitude permanentes de l’environnement VUCA (volatile, incertain, complexe, et ambigu). “Nous créons les conditions dans lesquelles les participants sont invités à faire bouger leurs lignes intérieures, à prendre réellement conscience qu’ils ont la capacité́ de faire face à l’incertitude avec leurs équipes, en qui ils peuvent avoir confiance pour donner le meilleur d’elles-mêmes” explique Claire Moreau, directrice pédagogique du parcours, coach et formatrice, emlyonexecutive education. Les facteurs clés de succès d’un tel dispositif hybride, entre formation et développement organisationnel, tiennent au caractère continu de l’expérience participant : le temps est ici un allié de poids pour faciliter les changements de pratiques, de croyances et de comportements. “Participer au parcours « Making Leaders » est pour moi l’occasion de vivre une expérience complètement immersive de 10 mois dont la dynamique nous apporte un très grand soutien en raison de l’engagement des intervenants, de la diversité des interactions, des apports théoriques pertinents fondés sur la recherche, des exercices de mise en pratique, du croisement de regards (intervenants et plateforme Philonomist©) et de la réalisation de projets collaboratifs ”, témoigne Nicolas Carayon, Global EDF Delivery Partner chez Capgemini France. C’est cette dynamique cohérente et immersive qu’a souhaité récompenser le jury des Trophées du Digital Learning 2020. Des effets qui infusent dans l’organisation Cette approche innovante est notamment impulsée par le travail de capitalisation des expérimentations pédagogiques réalisé au sein du Leadership & Change Lab (LCL) porté au sein de l’executive education emlyon. Les bénéfices de l’expérience participant, conçue pour et avec les managers de Capgemini France vont au-delà des participants… et c’est bien l’enjeu. “Au-delà de proposer des modalités diverses aux participants pour faciliter leur développement (plateforme, session, contenu, missions de co-construction…), une approche innovante de « blended learning augmenté » est déployée pour toucher les équipes des managers participant au programme. Dès que les leaders intègrent réellement les émotions dans leur management, incluent délibérément leurs collaborateurs en sollicitant leur input, valorisent régulièrement les succès et les essais sincères de leurs équipes, tiennent compte des effets de groupe pour stimuler la créativité et faciliter l’acceptation de la divergence… les équipes sont impactées de manière tangible et observable” explique Thomas Misslin, client project manager emlyon executive education. Cette approche innovante est notamment impulsée par le travail de capitalisation des expérimentations pédagogiques réalisé au sein du Leadership & Change Lab (LCL) porté au sein de l’executive education emlyon. “Les équipes emlyon se challengent constamment pour déployer des dispositifs réellement fondés sur le modèle 70-20-10 qui illustre l’importance de l’apprentissage informel, réalisé sur le terrain et en se confrontant à de véritables situations. Le Lab incarne cet engagement sincère de concevoir des dispositifs qui ambitionnent d’accompagner la (trans)formation des collectifs au service de la performance durable de nos clients et partenaires” analyse Thomas. Présentiel, distanciel et résilience Le parcours Making leaders est passé en 100% distanciel et le niveau d’engagement est le même. Cette ambition et ce niveau d’engagement, largement partagés par les leaders participant au programme, ont démontré leur résilience face aux contraintes induites par la crise sanitaire : “La crise le montre : alors que le parcours est passé en 100% distanciel, le niveau d’engagement est le même, les sessions distancielles synchrones sont suivies à près de 95% des managers, et ce en dépit d’une charge plus lourde que jamais pour eux. Le programme apporte alors un vrai plus, un espace de respiration, de prise de hauteur et de ressourcement pour les leaders de Capgemini France, qui continuent ainsi à développer l’authenticité et l’exemplarité de leur leadership dont les équipes et les clients ont plus que jamais besoin ” se félicite Claire. Cette adaptation du dispositif aux circonstances exceptionnelles pour passer en 100% distanciel valide l’importance de pouvoir gérer l'incertitude de manière « offensive ». Elle ouvre également la porte à de nouvelles pratiques chez Capgemini : “Totalement aligné avec les nouveaux modes de travail, ce dispositif nous interpelle à titre individuel et collectif quant aux transformations déjà engagées et à poursuivre sur nos métiers de demain » témoigne Nicolas Carayon, Global EDF Delivery Partner chez Capgemini. >> Pour en savoir plus sur les Trophées du Digital Learning 2020 et écouter les témoignages des participants à Making Leaders : https://t-dl.fr/index.php/les-laureats-2020/ >> Pour en savoir plus sur les dispositifs de formation sur-mesure proposés par emlyon business school

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Destiné aux dirigeants et managers expérimentés, avec au minimum 7 années d’expérience professionnelle, l’Executive MBA d’emlyon business school, classé 47ème mondial par le Financial Times, offre un ensemble d’expériences d’apprentissages permettant de développer des compétences pertinentes pour être mieux à même de diriger dans un monde en pleine évolution. Proposé prochainement sur le campus de l’École Centrale à Casablanca, le parcours relie les apports pédagogiques, leur mise en pratique dans des projets réels et la transformation professionnelle des participants. Outre les modules fondamentaux du management (Stratégie, Finance, Gouvernance de l’entreprise, Marketing, Supply Chain, RH...), le programme aborde les enjeux actuels auxquels sont confrontés les leaders aujourd’hui, comme la Responsabilité Sociale des Entreprises, les enjeux climatiques, ou la conduite du changement. Un voyage d’étude en Europe et un projet stratégique individuel complètent le programme. Pour Nassef Hmimda, Directeur de la Formation Continue et Directeur de l'Innovation Pédagogique, Fondation École Centrale Casablanca : « L’École Centrale Casablanca remplit depuis sa création les trois missions fondamentales d’une Grande école : la formation d’ingénieurs à travers sa formation initiale, la recherche et la formation continue pour accompagner le développement des compétences des cadres et des dirigeants au Maroc et d’une manière plus large en Afrique. Le partenariat que nous venons de signer avec emlyon business school pour le déploiement des offres Exed au Maroc pour l’Afrique nous permet de compléter notre offre de formation au service des cadres et des dirigeants en proposant une formation mondialement reconnue et distinguée et qui sera portée par 3 grandes institutions de formation : emlyon business school, CentraleSupélec et l’École Centrale Casablanca. » Pour Céline Précis, Directrice Executive Education, CentraleSupélec Exed : « Dans le contexte d’urgence actuel, à l’ère du leadership sociétal où la recherche d'un impact positif sur nos sociétés est de plus en plus prégnante, les dirigeants et managers jouent un rôle primordial. Leur capacité à fédérer les hommes et les femmes des organisations autour d’une vision commune est cruciale pour réussir les transitions d’aujourd’hui et de demain. A travers une approche systémique des enjeux, l’Executive MBA permet d’acquérir les connaissances, les compétences et les attitudes nécessaires pour mettre en œuvre les stratégies efficaces et durables. » Pour Dr. Christine Baldy-Ngayo, Doyenne Associée Executive education, emlyon business school : « Dans un monde en profonde transformation, où il est crucial d’anticiper les défis à venir, l’Executive MBA est adapté aux dirigeants qui souhaitent se former aux nouveaux enjeux du monde des affaires pour les comprendre, y faire face de manière responsable, et toujours garder un temps d’avance. C’est un programme exigeant, au contenu académique de grande qualité. » À propos d’emlyon business school : Fondée en 1872 par la CCI de Lyon, emlyon business school accueille 9 020 étudiantes et étudiants de 125 nationalités sur 6 campus dans le monde (Lyon-Écully, Saint-Étienne, Shanghai, Paris, Bhubaneswar et Mumbai). emlyon s'appuie sur une Faculté de 172 professeures et professeurs-chercheurs internationaux et un réseau de 190 partenaires académiques à travers le globe pour proposer des parcours d’apprentissage d’excellence et ouverts sur le monde. L’École compte une communauté de 38 600 diplômées et diplômés dans 130 pays. Société à Mission depuis juillet 2021, emlyon a pour raison d’être de : « former et accompagner tout au long de leur vie des personnes éclairées qui transforment les organisations avec efficacité pour une société plus juste, solidaire et respectueuse de la planète ». Sa pédagogie early makers relie étroitement action et réflexion. Elle place l’hybridation des compétences et la responsabilité sociale au cœur de ses programmes de formation pour faire se rencontrer le meilleur des mondes socio-économique et académique. www.em-lyon.com À propos de CentraleSupélec Exed : CentraleSupélec Exed est la filiale de formation continue de CentraleSupélec, 2e École d’ingénieur en France. Acteur majeur de la formation continue qui propose des formations à des cadres et dirigeants dans les domaines du management de la transformation, des technologies du digital, de l’excellence opérationnelle et des grands systèmes technologiques. Ses formations certifiantes sont accréditées par France compétences. Elle a également obtenu la certification Qualiopi pour les actions de formations et est certifiée Iso 9001. Sa spécificité, au-delà de l'excellence qui fait partie du code génétique de l'École, est d'associer étroitement les formations aux compétences techniques les plus pointues, avec les postures et les soft skills qui permettent la réussite. Son ambition est d’accompagner ses clients aux étapes-clés de leur carrière, en leur apportant les outils pour se former, mais aussi les certifications qui leur permettent d’attester de la progression réelle de leurs compétences tout au long de la vie. https://exed.centralesupelec.fr/ À propos de la Fondation École centrale Casablanca : La Fondation École Centrale Casablanca abrite l’École Centrale Casablanca (ECC), une école de plein exercice qui propose à la fois la formation initiale, formation continue et recherche. La conception et la réalisation de l’ECC est conforme aux exigences du groupe des écoles Centrale (GEC) en France et à l’international qui compte l’Inde et la Chine. A ce titre, l’ECC bénéficie du support du GEC notamment en matière de mise à disposition de professeurs, d’ingénieries, de programmes pédagogiques et de mobilités des élèves à l’international. L’ECC se positionne en hub de formation d’ingénieurs de dimension panafricaine avec l’objectif affirmé de contribuer à l’émergence de l’élite dirigeante de l’Afrique de demain. http://www.centrale-casablanca.ma/fr/ Contacts presse : KBZ Corporate pour emlyon : Laurence Martin - lmartin@kbzcorporate.com - 06 47 69 85 99 Karine Zimeray - kzimeray@kbzcorporate.com - 06 09 15 65 14 Pour CentraleSupelec Exed: Virginie PATI - virginie.patil@centralesupelec.fr - 01 75 31 68 47 Pour la Fondation École Centrale Casablanca : Omar LAYACHI - omar.layachi@centrale-casablanca.ma - +212 (0) 6 69 72 01 66

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Vous sortez d’une grande école citée dans le classement d'employabilité du Times Higher Education ? Vous avez alors toutes les chances de votre côté pour attirer les employeurs ! C’est la conclusion du palmarès publié le 16 novembre et qui place emlyon business school 27e, la faisant ainsi rentrer dans le cercle très fermé du TOP 30. C’est une fierté, oui, mais une fierté surtout pour celles et ceux qui suivent un parcours à emlyon business school et qui expérimentent tous les jours la philosophie early makers : faite d’entraide, expérimentation, travail en mode projet, anticipation, petits échecs et grandes réussites. CAP SUR LE DIGITAL Avec le poids croissant du digital dans le quotidien des entreprises, les managers, les cadres et les dirigeants doivent être en mesure d’embrasser pleinement cette nouvelle tendance. Cette culture digitale est vécue au quotidien par les étudiants d’emlyon business school à travers d’expériences multiples et disruptives parmi lesquelles: Les Smarter Business School : offre de formation globale et digitale via la technologie Cloud d’IBM, Les Creativity & Learning Hub : des espaces inventifs d’apprentissage et de connectivité ouverts à tous les étudiants, diplômés et partenaires d’emlyon business school, Les Makers’ Lab : des lieux dédiés à la créativité et au prototypage numérique. LA PAROLE AUX RECRUTEURS, PAS AUX STATISTIQUES ! Le palmares Times Higher Education a été réalisé à partir des préférences des entreprises nationales qui recrutent des diplômés dans leur propre pays. « Nous avons trente personnes à l’école qui travaillent sur l’employabilité », indique Bernard Belletante, Directeur Général d’emlyon business school, dans un article du Figaro.fr. « Nous ne travaillons pas expressément pour un classement en particulier, mais celui-ci est important car on constate ce que les employeurs pensent d’elle ».

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Le programme International MBA est à la recherche de projets business dans le cadre du cours Entrepreneurial Leadership Project (ELP).

Un ELP est une mission de consulting intensive sur 6 mois lors de laquelle des groupes de participants expérimentés recherchent des solutions à des problématiques stratégiques. EMBA Entrepreunariat Leadership Project Dans le cadre de l’ELP, une équipe de consultants multiculturelle et multi-disciplinaire se chargera d’apporter une vision nouvelle à votre business. Chaque équipe sera suivie par un membre de la faculté emlyon ayant une expérience du consulting. Vous pouvez vous attendre à une analyse de qualité, à des techniques de management de pointe, et à des recommandations claires. Les projets peuvent concerner différentes problématiques, l’entrée sur un nouveau marché, la digitalisation, les bonnes pratiques, l’analyse des tendances, le développement … Nos participants sont prêts à se plonger dans les questions clés, à rechercher des options stratégiques, à proposer des solutions ou encore à préconiser des plannings. L’ELP a déjà aidé des organisations telles que la vôtre à accélerer la résolution d’importantes problématiques stratégiques. Nous sommes fiers de générer un tel retour sur le temps que nous passons à travailler avec nos équipes. En bref : - Une équipe d’lnternational MBA expérimentés (soit au total 35 ans d’expérience) - 7 mois de travail en part-time sur votre problématique (soit 350 heures) - Une équipe supervisée de près par un membre de la faculté emlyon - Des techniques de consulting de pointe. Date limite pour soumettre votre projet : Début octobre à Stéphanie Ousaci (ousaci@em-lyon.com) Déroulement du projet : De novembre à juin

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Les MBA et l’entreprise sont aujourd’hui totalement en phase. Suivre un MBA facilite la compréhension de notions nouvelles et permet surtout de les expérimenter. Souvent, le monde économique et l’enseignement semblent en décalage. Avec les MBA, c’est tout le contraire. Cette formation s’appuie sur votre vécu pour vous aider à décrypter l’environnement du business, les méthodes de management, le travail collaboratif... Les MBA ont donc tout naturellement adopté le même langage que les entreprises. Ce vocabulaire que vous avez sans doute entendu sans toujours bien en mesurer tout le sens, la formation vous permettra de les comprendre et d’appliquer leurs principes. Les mots de la transformation Ubérisation, disruption, agilité, vision out of the box ou encore hybridation sont bien plus que des mots. Ce sont avant tout de nouvelles manières d’appréhender le monde, de penser, d’apprendre, de travailler que les meilleures écoles de commerce ont intégré. Anticiper les changements, construire de nouveaux business, faire appel à l’intelligence collective, donner du sens, révéler les talents, proposer des ruptures, vous questionner pour relever de nouveaux challenges, développer une approche lean startup… le langage des MBA prouve que la formation répond et accompagne la transformation des entreprises. Alors que les anciens modèles ne fonctionnement plus et que les marchés traditionnels doivent se réinventer, une formation MBA doit guider votre progression dans une société complexe et mouvante. C’est le parti pris du MBA d’emlyon business school qui décortiquent et donnent à expérimenter les nouvelles voies du business mediation. Il sera question d’accélération, de collaboration, de décentrage, de prototypes, de design thinking, de diligence, de do it together… Vous éprouverez et comparerez ces nouvelles façons d’appréhender le business et de mener les équipes à l’aune de votre expérience. Vous partagerez également vos ressentis et vos questionnements avec les autres participants. Face à l’incertitude et à la transformation, la meilleure préparation c’est sans aucun doute de suivre un MBA. En partenariat avec BFM Business Executive MBA Un diplôme pour managers senior, cadres de direction ou entrepreneurs avec a minima 7 ans d'expérience professionnelle qui permet de : Renforcer ou se préparer à une position de cadre dirigeant Améliorer sa prise de décision en situation complexe Prendre du recul, s'ouvrir à d’autres idées et confronter ses pratiques Consolider un projet de création d'entreprise Apporter à son entreprise une nouvelle vision, des solutions innovantes Full-Time MBA Un diplôme pour jeunes professionnels de tous pays (24 nationalités dans la classe 2015-2016) avec a minima 3 ans d'expérience professionnelle qui permet de bénéficier de nombreux avantages : L’entrepreneuriat au cœur du programme Des promotions à forte diversité, limitées en taille L’apprentissage par projet : Entrepreneurial Leadership Project Votre carrière pour objectif principal De nombreuses opportunités d’échanges internationaux Des voyages d'étude en Europe, Asie et Moyen-Orient

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