Candidater en EMBA est une victoire en soi
« IL EST PLUS DIFFICILE DE BRISER UN PRÉJUGÉ QU’UN ATOME ». Einstein a prouvé - s’il en était besoin - que le génie scientifique n’était pas incompatible avec le génie humaniste. Difficile n’est pas impossible. Les préjugés se combattent. Et, il faut mener ce combat sur plusieurs fronts. Une bataille contre soi-même. Une bataille contre les autres et la vision faussée (ou inexacte) qu’ils ont de vous-même. CHANGER DE CAP ÇA SE DÉCIDE ET ÇA SE PRÉPARE ! Faire un EMBA c’est décider de changer de stature professionnelle. Changer c’est sortir de sa zone de confort, faire bouger les lignes. Mais avant de décrocher son bâton de maréchal, le stratège habile aura reconnu le parcours et pris la mesure de ses obstacles invisibles. Il aura transformé ces montagnes de préjugés en objectifs atteignables. POSER SON DOSSIER DE CANDIDATURE EN EMBA EST UNE VICTOIRE. Le candidat doit d’abord dépasser ses freins internes. Se convaincre lui même de la nécessité d’un appui académique. Ne pas céder au leurre d’une possible progression linéaire... « Je n’ai pas besoin de ça, mes supérieurs savent bien ce que je vaux ». Le candidat doit ensuite convaincre sa famille qu’il a les ressources « tu sais je peux le faire “le moment c’est maintenant » Le candidat doit enfin convaincre son employeur de nourrir des ambitions communes « je souhaite passer au management et j’aimerais qu’on le fasse ensemble » SE CONVAINCRE ET ÊTRE SOUTENU DE LA VALIDITÉ D’UN PROJET EMBA EST LA PREMIÈRE PREUVE DES CAPACITÉS DE LEADERSHIP ET D’INTRAPRENEURIAT D’UN CANDIDAT. Si le cheminement est intime, l’étape invisible est néanmoins décisive. C’est le prélude à un bon dossier de candidature en Business School. « Le plus difficile avec l’EMBA c’est de monter le projet pour y entrer » affirme Céline Esquenet, Head of Executive MBA recruitment à EMLYON. « Ensuite c’est que du travail et du bonheur, 10 ou 20 mois de partage et de coopération ». C’est une parenthèse hors avec d’autres règles que celles du monde du travail. Il n’y a pas de compétition pendant l’EMBA. Les diplômés gardent d’ailleurs une certaine nostalgie de cette transition et un réel attachement à leur promotion et à l’école ». La grande cérémonie de remise des diplômes marque le retour au monde réel. Intérieurement et extérieurement, le candidat gagne au passage l’arme absolue anti-préjugés. Il a le diplôme d’EMBA en poche avec la certitude de l’excellence du label et la reconnaissance de ses pairs. Les postes de leaders entrepreneurs sont rares, ceux qui les décrochent n’ont pas laissé libre cours au hasard.