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Executive Master, un terme souvent confondu avec d’autres formations dans lesquelles le mot master figure. Nous vous aidons à y voir plus clair sur cette certification appropriée aux professionnels souhaitant affiner leurs compétences, ou de se reconvertir. Découvrez tout ce qu'il faut savoir au sujet de cette formation de prestige : avantages, public concerné, salaires à la sortie.

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Executive Master : tout savoir !

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Entreprendre un Executive MBA est une démarche stratégique dans une carrière professionnelle. Et d’autant plus en période de crise sanitaire internationale, où tout change très vite. Géraldine Renaud Mairesse et Sébastien Freissinet ont choisi récemment de se former avec l’EMBA emlyon business school. Ils expliquent leur choix. Suivre un Executive MBA : c’est acquérir de nouvelles compétences, faire le point sur ses acquis et entamer, pour beaucoup une nouvelle étape de sa vie professionnelle. Mais est-ce judicieux de se lancer dans ce challenge en période de pandémie ? « Oui, c’est la période idéale », répond, sans hésitation Sébastien Freissinet. Cet ingénieur spécialisé dans l’aviation civile, travaillant chez Airbus, a débuté le programme EMBA d’emlyon business school en octobre 2020. « J’y pensais depuis de nombreuses années et le premier confinement a été un déclencheur. Les planètes se sont alignées : je venais de finir un projet ambitieux qui avait duré 5 ans et j’étais sur le marché de la mobilité interne. La crisea durement frappé l’aéronautique et les perspectives étaient incertaines. J’ai donc décidé de me lancer et de demander un congé sabbatique à Airbus pour suivre l’Executive MBA à emlyon pendant un an, en fast-track », ajoute-t-il.   Sublimer les connaissances En effet, la crise de la Covid-19 gèle certains secteurs et laisse le temps à des cadres et des dirigeants de repenser leur avenir professionnel et capitaliser sur les expériences passées. C’est ainsi le moment d’acquérir de nouvelles compétences. « L’Executive MBA me permet de sublimer mes connaissances. J’ai un autre regard sur mes précédentes missions, je prends du recul. Par exemple, la stratégie de costing à laquelle je contribuais en tant qu’ingénieur prend davantage de sens aujourd’hui. Je progresse sur le leadership et l’intelligence collective. J’acquiers des outils pour développer l’innovation dans l’entreprise et je m’initie au corporate entrepreneurship. Ce dernier volet me passionne, c’est une véritable découverte », souligne Sébastien Freissinet. Ce spécialiste de l’aviation civile voit également la formation comme une opportunité de progression de carrière à l’heure où il peut être compliqué de prétendre à de nouveaux postes dans des groupes touchés par la crise. « L’EMBA est un ascenseur. Aujourd’hui, on a du mal à monter les escaliers dans une entreprise. Avec cette formation, nous prenons directement l’ascenseur et continuons à gravir les marches car nous apportons une réelle valeur ajoutée », détaille Sébastien Freissinet. Les participants apportent un regard neuf, ils questionnent les méthodes et process en place pour proposer des démarches innovantes, au service de la performance collective. Ils développent un esprit d’early maker, qui favorise l’identification de nouveaux leviers de croissance.   Mieux gérer les crises Ce constat est partagé par Géraldine Renaud Mairesse, qui a suivi l’EMBA entre 2018 et 2020. Cette spécialiste de l’expérience client dans l’industrie a clairement mesuré les apports de sa formation pendant le premier confinement. « Je me suis lancée en 2018 dans l’EMBA avec la volonté de me challenger et d’intégrer les nouvelles méthodes de travail. Je me suis d’ailleurs beaucoup mieux adaptée aux changements liés à la crise sanitaire. J’ai su rassurer les équipes, prioriser malgré les changements permanents et donner du sens. J’ai acquis les outils et adopté la bonne posture pour être agile. Sans l’EMBA, je n’aurais pas évalué les enjeux de la même façon et n’aurais pas géré avec la même lucidité », explique Géraldine Renaud Mairesse.  Elle a également réévalué sa valeur ajoutée et a choisi d’accompagner les industries sur l’un des enjeux post crise sanitaire : la centricité client. « Je n’aurais jamais pensé porter ce projet sans l’EMBA. Je n’aurais pas osé », reconnait Géraldine Renaud Mairesse. La crise est donc un moment propice à la transformation pour les entreprises et les individus. Et l’EMBA emlyon business school prépare les leaders de demain à avancer et construire malgré le flou ambiant.

Votre contact Virginie Lafont Conseillère en formation 04 72 18 68 73 lafont@eml-executive.com

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Guide RH : Construire un projet de formation sur-mesure Visuel linkedin_1200x627_guide RH Vous souhaitez développer un programme de formation sur-mesure pour vos collaborateurs ? emlyon vous accompagne et vous apporte à travers ce guide, conseils et bonnes pratiques pour mettre en œuvre votre projet. AU SOMMAIRE DE CE GUIDE RH Pourquoi développer une formation sur-mesure ? Les parties prenantes du projet Les étapes de construction d’une formation sur-mesure Etape 1 : Identifier le besoin réel Etape 2 : Détecter le point de bascule Etape 3 : Bâtir, tester et ajuster la solution pédagogique Etape 4 : Déterminer les indicateurs de mesure d’impact Etape 5 : Suivre le programme et mesurer les impacts Points de vigilance >> TELECHARGEZ LE GUIDE

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Innover et porter des projets structurants au sein d’une organisation, c’est ce que permet l’intrapreneuriat. Cela répond à un besoin d’autonomie des collaborateurs et à la nécessité des entreprises de s’appuyer sur des profils stratégiques, fédérateurs et porteurs de valeurs. Mais cette démarche doit être accompagnée et communiquée en interne. Alors comment développer et encourager l’intrapreneuriat ? Éléments de réponse

L’intrapreneuriat, qu’est-ce que c’est ? Ce néologisme est une contraction entre le préfixe « intra » et le nom « entrepreneur ».
Il permet à un collaborateur de lancer un projet innovant, en le menant de A à Z, dans son entreprise. Il devient entrepreneur tout en restant salarié. Ainsi, la prise de risque est maîtrisée. Il peut s’appuyer sur les ressources de sa structure pour avancer ses idées et trouver des financements et des appuis. Et il assouvit sa soif d’entreprendre. Du côté de l’entreprise, l’intrapreneuriat est source d’innovation. Lancement de produit ou de service, détection d’un nouveau marché… la création de valeur est forte. Les intrapreneurs sont des profils clés sur lesquels la direction peut s’appuyer. Qui peut devenir intrapreneur ? N’importe quel collaborateur ou manager ayant une fibre entrepreneuriale. Aujourd’hui, de plus de plus de personnes ont des idées de business et souhaitent les mettre en place pour s’épanouir. Face à cela, les entreprises ont un besoin constant d’innovation, pour faire face à l’évolution rapide du marché et des concurrents. L’intrapreneuriat répond aux besoins des deux parties : l’entreprise ne voit plus partir ses talents et compte, dans ses effectifs, des porteurs de projets innovants. En développant le capital humain, elle motive ses équipes, innove et assure sa pérennité. Quant à l’intrapreneur, il met en pratique ses idées, gagne en autonomie et s’appuie sur une structure déjà installée. Attention, l’intrapreneuriat est une démarche à formaliser. Pour fonctionner, elle nécessite de l’autonomie et de la confiance mais aussi des compétences. Il faut également s’assurer d’avoir les ressources nécessaires en interne, et mettre en place des règles et un accompagnement. Comment mettre en place l’intrapreneuriat ? En commençant par encourager cette pratique. L’entreprise doit communiquer sur le fait qu’il est possible d’être intrapreneur. Pour cela, plusieurs choses peuvent être mises en place comme une boite à idées dans laquelle les salariés déposent leurs suggestions de projets, ou un concours d’idées, sur un thème prédéfini, au cours duquel les salariés pitchent leurs suggestions. Dans tous les cas, un jury doit statuer sur le/les meilleur(s) concept(s) et l’entreprise met ensuite à disposition des gagnants les moyens nécessaires à son développement. Quels moyens proposer pour favoriser l’entrepreneuriat ? Certaines entreprises formalisent l’intrapreneuriat avec la création d’incubateurs. L’intrapreneur a ainsi à disposition des professionnels et une équipe dédiée à l’accompagnement de son innovation. Une fois l’idée concrétisée, il peut reprendre son poste initial ou évoluer à un nouveau poste, en lien ou non avec son projet. Plus simplement, le salarié peut accorder une partie de son temps de travail au lancement de son concept. Il dispose des moyens humains et matériels de l’entreprise (service comptabilité, bureau d’études, développeurs, matériel informatique…). Se former à l’intrapreneuriat Outre les moyens, la question des compétences est centrale. L’intrapreneur a généralement un profil débrouillard, créatif et tenace. Il aime expérimenter et doit être capable de gérer les différentes parties prenantes d’un projet. Sa connaissance de l’entreprise est fine et il fédère un réseau. Il est également familier des méthodes agiles, comme le design thinking, qui permettent d’aboutir un projet et d’impliquer les équipes. Ces compétences comportementales se travaillent et s’acquièrent par la formation. emlyon business school propose un certificat « Intrapreneur : acteur de l’innovation ». Il permet, sur un peu plus de 10 jours, de découvrir les facteurs clés de succès pour concevoir une stratégie d'entrepreneuriat d'entreprise, d’explorer les différentes étapes de mise en place et d’accroitre son leadership pour motiver et engager les équipes.

VOTRE CONTACT Marion DORDOR Conseillère en formation Tel. 07 88 05 11 27 dordor@eml-executive.com

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Responsable marketing ou commercial, chef de produit ou consultant e-marketing… vous contribuez - voire êtes totalement impliqué - dans le développement du marketing digital au sein de votre structure. Baignée quotidiennement dans le numérique, votre culture est conséquente dans ce domaine. Vous possédez un compte Facebook, utilisez twitter et en tant que professionnel, votre profil est visible sur LinkedIn. Vous animez peut-être un blog personnel ou, mieux encore, vous gérez le site vitrine de votre entreprise. Ces pratiques sont essentielles, mais pour tirer pleinement parti du potentiel offert par le digital, il est indispensable d’aller plus loin et véritablement se professionnaliser. Alors comment acquérir de véritables compétences dans le marketing digital pour prendre le train en marche et, mieux encore, anticiper les tendances à venir ?  Ces savoirs et savoir-faire reposent sur la maîtrise des bases du marketing digital, la connaissance affûtée du fonctionnement des réseaux sociaux, des spécificités du mobile et la capacité de définir une stratégie de marketing digital en cohérence avec la stratégie marketing. Savoir définir une stratégie de marketing digitale : de la connaissance des comportements au choix des leviers pertinents Pour construire une stratégie efficace, il convient en premier lieu de bien connaître sa cible - il est essentiel de comprendre les comportements des consommateurs de son marché.
Par exemple, connaissez-vous le ROPO ? Cela signifie Research On ligne, Purchase Off Line. Ce type de comportement implique une stratégie cross-canal reposant sur la construction d’un parcours client adapté, avec une mise en avant du site internet et une connexion avec le magasin physique pour guider le prospect jusqu’à l’acte d’achat.
Cette connaissance client alliée à la maîtrise des méthodes et des outils permettent d’élaborer des dispositifs digitaux cohérents et efficaces à travers l’ensemble des points de contact. Avec, en ligne de mire, une expérience client maximisée. Acquérir les bases du marketing digital, un préalable indispensable Pour mener des actions pertinentes et efficaces sur le web, il convient de bien connaître les méthodes et les outils du numérique, leur finalité, les modalités de mise en place et leurs limites. Fort de cette maîtrise, vous serez à même de choisir les leviers les plus adaptés pour atteindre les résultats escomptés. Même si vous ne mettez pas en œuvre vous-mêmes ces outils et que vous recourez aux services d’une agence digitale, cette connaissance vous offre les clés pour évaluer ce que vous propose votre partenaire. Ce point est central, car vous seul maîtrisez votre métier et vos marchés. Face à des experts du digital, vous êtes à même d’échanger sur les dispositifs numériques les plus appropriés pour atteindre vos objectifs.
Référencement naturel, payant, e-publicité, affiliation, inbound marketing… Que vous souhaitiez faire connaître votre site, aimer votre marque, fidéliser vos clients, en conquérir de nouveaux ou encore vendre directement sur le web, la parfaite connaissance des outils du marketing digital est une étape clé pour opérer des choix judicieux.
Ne pas oublier l’apprentissage des dispositifs de mesure de performance. Sans cela, il est impossible d’évaluer en aval la pertinence des actions retenues et la maîtrise de leur déploiement. Un retour d’expérience indispensable pour s’améliorer en permanence et gagner en agilité. Maîtriser les réseaux sociaux et le mobile, une compétence déterminante Un plan marketing peut difficilement aujourd’hui faire l’impasse sur les réseaux sociaux. Ces médias où les réputations se font et se défont, sont plus que jamais un axe majeur pour développer et asseoir sa marque. Il s’agit d’un lieu de conversation privilégié avec ses clients et prospects.
Les réseaux sociaux ont chacun leurs propres codes et leurs spécificités, tout professionnel œuvrant dans le digital se doit de les maîtriser.
Autre domaine incontournable : le marketing mobile. La forte évolution du trafic à partir des appareils mobiles structure les usages. Ils offrent de nouvelles opportunités pour commercialiser des services innovants, mais engendrent également de nouvelles exigences : temps de chargement minimal, dispositifs de navigation et d’interaction optimisés (notamment avec la prise en compte des principes de l’UX Design pour créer des interfaces agréables à utiliser, la conception « Mobile First » pour penser « Mobile » dès les premières lignes de code), etc.
Les consommateurs utilisent leur appareil pour satisfaire des micros besoins tout au long de la journée : se renseigner sur un produit, localiser un lieu, réaliser un achat, etc. Des usages à identifier impérativement pour adapter sa stratégie. Développez maintenant vos compétences dans le marketing digital ! En réponse aux exigences détaillées dans cet article, emlyon business school propose un certificat de 9 jours pour parfaire ses compétences en matière de marketing digital.  L'enseignement s’appuie sur des cas concrets comme la mise en place de campagnes de création de trafic avec mesure des résultats en temps réel. La formation permet également un partage d’expérience entre les participants sur les problématiques rencontrées par chacun. Ces nombreux échanges sont précieux pour façonner des réponses originales à des situations très concrètes. La confrontation des concepts et de leur mise en pratique facilite une prise de recul très enrichissante sur son métier.
Les objectifs de ce certificat sont :  Intégrer avec succès la communication digitale dans la stratégie marketing Comprendre et optimiser les techniques de création de trafic sur un site web Optimiser les interactions entre canaux en évitant la cannibalisation Définir une stratégie SMO et mesurer sa pertinence Cette formation de 9  jours (certifiée par emlyon business school – Top 3 des business schools en France / Le Point 2017) vous apportera les compétences nécessaires pour prendre en main le marketing digital de votre entreprise et vous imposer en tant qu’interlocuteur crédible aux yeux de vos fournisseurs, de vos collaborateurs et de votre direction.
Le certificat est éligible CPF (Compte Personnel de Formation) et finançable par votre entreprise.
Découvrez le certificat en marketing digital de emlyon business school ici

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Qu’est-ce que le talent ? Le talent représente l’ensemble de ces formidables ressources plus ou moins innées – intellectuelles, techniques, créatives, humaines, etc. – que tout un chacun possède, validées par un diplôme quelconque ou non. Le talent, c’est ce que fait une personne sans effort, avec plaisir, convenablement. Parfois sans avoir appris à le faire, quelquefois même mieux que celles et ceux ayant suivi une formation sur le sujet. La gestion des talents en entreprise consiste à repérer les profils dotés de ces compétences pour créer un environnement favorable à leur épanouissement et leur développement. L’objectif est de tirer profit de ces collaborateurs dotés d’une potentialité affirmée et les conserver au sein de la structure. Une démarche qui représente un enjeu crucial, tant pour le manager que l’entreprise. RE1902_0534_bis Pourquoi est-ce un enjeu crucial pour le manager ? Les talents, s’ils ne sont pas décelés et pleinement stimulés, finissent finalement par s’éteindre. Lassitude, démotivation, baisse de productivité, etc. sont alors de mise. Par ailleurs, ils deviennent particulièrement réceptifs aux opportunités… externes. A l’inverse, lorsque repérés et bien managés, ils sont un réel gage de réussite, de compétitivité et d’innovation entrainant l’équipe et l’entreprise toute entière. Ces profils posent le socle d’une différenciation certaine d’avec la concurrence. Managers, quels leviers actionner avec les talents de votre équipe ? Pour gérer efficacement vos collaborateurs dotés d’un solide potentiel, vous devez, en tant que manager, agir sur 3 axes : Repérer : identification au sein de votre équipe des individus talentueux Stimuler : création des conditions pour permettre aux collaborateurs repérés de pleinement s’épanouir en exploitant leurs talents. Valoriser : savoir placer les talents au bon endroit et faire preuve d‘une reconnaissance protéiforme RE1902_0448bis Repérer les talents Pour détecter vos collaborateurs à fort potentiel, vous pouvez vous appuyer sur l’identification chez eux de différentes aptitudes communes au talent, telles que : une forte capacité d’adaptation, un excellent relationnel, une flexibilité accrue, un engagement et un sens aigu des responsabilités, un sens du collectif fortement développé, un enthousiasme vis-à-vis du changement. S’il existe pour cela une panoplie d’outils qu’il est intéressant de maîtriser, ne négligez toutefois pas votre intuition qui saura être un bon guide. Observez, écoutez… bref , déployez toutes vos antennes pour détecter les profils hors du commun. L’entretien annuel d’évaluation est aussi une opportunité pour affiner votre jugement au regard des performances de l’année écoulée et des échanges avec les intéressés. Soyez vigilant : les talents sont parfois bien cachés par crainte de ne pas être à la hauteur ou par syndrome de l’imposteur. Stimuler les talents Pour ne pas voir vos talents fuir vers de plus vertes contrées ou tout simplement s’éteindre, il est important de les garder impliqués : Échangez régulièrement avec eux : stand-up meetings, feedbacks réguliers, Accompagnez-les dans leur développement : formations, coaching, validation d’acquis, etc. Encouragez les prises de risque : vantez la résilience, impliquez vos collaborateurs dans les prises de décision – encouragez les prises d’initiative et l’autonomie. Confiez-leur des responsabilités élargies, lancez-leur de nouveaux challenges… Faites preuve de bienveillance: donnez la parole à vos talents, écoutez-les activement. Boostez leur créativité : impliquez-les dans vos séances de résolution de problèmes, sollicitez-les pour recueillir leur avis sur une situation donnée. Mais n’oubliez pas : soyez vous-même flexible et inspirant : un leader ouvert et inspirant est source de motivation et d’engagement – adaptez votre mode de management aux différentes personnalités, situations, contextes, etc. Valoriser les talents Il est de votre rôle de valoriser ces talents afin qu’ils s’épanouissent pleinement et que l’équipe – et l’entreprise – en tire profit : En cohérence avec la stratégie de l’entreprise, offrez la possibilité à chacun de donner le meilleur de lui-même en faisant avec plaisir ce qu’il sait faire de mieux et avec les meilleurs résultats possible, même si cela ne rentrait pas originellement dans sa mission. Donnez du sens : offrez une vision globale de l’utilisation des différents talents au sein de l’équipe et de toute l’entreprise. Anticipez et accompagnez les évolutions : coachings, mentorings, etc. Reconnaissez les talents : plan de formation, validation des acquis, perspectives d’évolution, augmentation des responsabilités, reconnaissance financière, etc. La gestion des talents au sein de votre équipe requiert de votre part une grande finesse pour activer les profils à fort potentiel. Le risque étant de faire la part belle aux individus de valeur en négligeant quelque peu les autres. Chacun a sa place et sa valeur pour un collectif performant. Le métier de manager est avant tout une recherche permanente d’un équilibre optimal pour maximiser la réussite collective. ———————- Comment faire de son talent un allié dans un collectif? Comment un Manager peut parfaire son approche de gestion des talents au sein de son équipe ? emlyon business school propose des parcours spécifiquement dédiés aux Managers et aux collaborateurs : « Développement Personnel et Performance Managériale» – formation certifiante de 9 jours qui s’adresse aux Managers souhaitant renforcer ou acquérir, en toute confiance, les compétences personnelles indispensables pour assurer le bien-être collectif. « Booster ses talents » : une formation courte de 3 jours visant tout collaborateur désireux de mieux se connaître et mieux travailler avec les autres. Article réalisé en partenariat avec Manager Go!

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L'innovation est le mantra des entreprises pour se développer et s'ouvrir de nouveaux marchés. La démarche est pourtant longue et incertaine. Éclairages avec Nicolas Osanno du Groupe O2 et Lionel Sitz de l'emlyon, lors de la conférence "Innovation : développez de nouveaux marchés !" organisée au Lyinc par Acteurs de l'économie - La Tribune avec le programme Advanced Management Programme de l'emlyon business school.

Nicolas Osanno, directeur exécutif du GroupeO2 NextPool/SoKool et diplômé Advanced Management Programme de l'emlyon business school, a su mettre à profit cette formation pour conduire hardiment son groupe sur le chemin de l'innovation. Spécialisé dans l'équipement des piscines privées et familiales, le Groupe O2 est une fédération de PME qui fabrique, commercialise et distribue des équipements de piscine auprès de 2 500 professionnels du secteur. A travers 6 marques, elle emploie 270 personnes et s'appuie sur 6 unités de fabrication. "La réglementation en France concernant la sécurité des piscines est très stricte mais il y avait un trou : que faire quand les dispositifs, barrières, volets, sont levés ? Comment assurer la sécurité des jeunes enfants quand la piscine est ouverte à la baignade ?" "Has been avant d'être lancé" Dès 2004, le groupe se lance et co-développe un outil. Celui-ci rencontre le succès auprès des pisciniers mais des problèmes techniques imposent le retrait du produit du marché. En 2007, la société retire son innovation du marché. Puis après des discussions qui se soldent par un procès avec les fabricants, décide de repartir seule en 2010. Un million et demi d'euros d'investissements et quatre ans plus tard, en 2014, une nouvelle version est prête. "Mais elle était 'has been' avant même d'être lancée, on parlait déjà d'objets connectés et nous n'étions pas dans ce format". Aide à la surveillance En novembre 2016, le Groupe O2 arrive enfin à bon port en présentant d’abord aux particuliers via un site de vente en ligne dédié au produit puis aux professionnels de la piscine lors du Salon de la Piscine de Lyon son produit No Stress, assistant connecté contre les risques de noyade. Celui-ci relie un bracelet ou un collier équipant le jeune baigneur à un smartphone ou un phare. "Ce n'est pas une amarre mais une aide à la surveillance". Pour son produit, le groupe s'est doté d'une petite filiale dédiée, allant chercher en externe des compétences en plasturgie, design, smartphone. "Une petite startup en interne en somme. Seuls les grands groupes industriels peuvent internaliser leurs ressources pour innover", décrypte Lionel Sitz, professeur Marchés et Innovations à emlyon business school. Il ajoute, au vu du parcours complexe du Groupe O2 : "une innovation de rupture passe par des hauts et des bas. Il y faut du courage, de la persévérance et des moyens financiers. On avance souvent sans savoir. On ne saura que rétrospectivement si l'innovation est légitime." Le produit, et la vie qui va avec Lionel Sitz précise aussi qu'il faut bien différencier le développement technique et le commercial, "on n'achète pas une technologie mais un service, une solution. L'innovation doit s'insérer dans une pratique de consommation. il faut inventer le produit et la vie qui va avec." La commercialisation de No Stress est passée par le lancement en interne d'un site internet dédié, avec création des équipes adéquates concomitamment au rachat par le groupe de Sokool, société spécialisée dans les abris de piscines, confortant la position du groupe sur le canal de la vente directe aux particuliers. DSC_7399 De nouveaux marchés Déjà présent dans 57 pays, le groupe fait une pause avant de commercialiser No Stress à l'international. "Nous sommes très attendus en Europe mais nous irons doucement. Nous allons d'abord nous concentrer sur le marché français pour asseoir la notoriété de No Stress. En revanche nous pensons déjà à une nouvelle version. Nous sommes très sollicités pour aller sur de nouveaux marchés comme par exemple celui des personnes handicapées, celles atteintes d'Alzheimer ou les plaisanciers." Lionel Sitz conclut : "les marchés se saturent très vite. Il faut se différencier en innovant." Article publié dans Acteurs de l'économie, rédigé par Laurence Jaillard Photos : Laurent Cerino/ADE

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Que vous soyez salarié, à la recherche d’un emploi ou indépendant, il existe des aides et des dispositifs de financement qui peuvent être mobilisés pour votre projet formation. Les dispositifs de financement à l’initiative du salarié Le Compte Personnel de Formation – CPF Le Compte Personnel de Formation est un dispositif qui permet d’acquérir des droits à la formation mobilisables tout au long de sa vie professionnelle : 500 €/an (plafonné à 5 000 €) et 800 €/an (plafonné à 8 000€) Pour les salariés peu ou pas qualifiés qui n’auraient pas atteint un niveau de formation sanctionné par un diplôme classé au niveau 3 (CAP, BEP), le montant annuel du crédit CPF est majoré à 800 euros (plafonné à 8 000 euros). La formation peut se dérouler : Sur le temps de travail : accord de l’employeur obligatoire Hors temps de travail : ne nécessite pas l’accord de l’employeur Les Travailleurs non-salariés (travailleur indépendant, membre des professions libérales et des professions non-salariés, artiste auteur ou conjoint collaborateur), peuvent également bénéficier du CPF, à condition d’être à jour du paiement de la contribution à la formation professionnelle (CFP). Pour connaître les droits que vous avez acquis, c’est-à-dire le montant disponible pour financer votre formation dans le cadre du CPF, il convient de créer un compte sur le site internet dédié : Mon compte formation. Les formations doivent être certifiantes, éligibles au Compte Personnel de Formation et inscrites au RNCP (Répertoire national des certifications professionnelles). Le Projet de Transition Professionnelle – PTP Le projet de transition professionnelle (PTP), ou CPF de transition, permet au salarié de s'absenter pour suivre une formation certifiante lui permettant de changer de métier ou de profession. Il remplace le congé individuel de formation (Cif). Le salarié bénéficie d'un congé spécifique lorsqu'il suit cette formation en tout ou partie durant son temps de travail. La formation demandée n'a pas besoin d'être en rapport avec l'activité du salarié. Tout salarié peut demander à en bénéficier. Le salarié doit justifier d'une activité salariée d'au moins 2 ans consécutifs ou non, dont 1 an dans la même entreprise, quelle que soit la nature des contrats successifs. Les formations doivent être certifiantes, éligibles au Compte Personnel de Formation et inscrites au RNCP (Répertoire national des certifications professionnelles). Pour aller plus loin : Le Projet de Transition Professionnelle Prêt étudiant Les partenaires bancaires d'emlyon business school vous proposent des prêts à taux préférentiels. Pour plus de renseignements, se rapprocher de son Conseiller en formation. Bourse En tant qu’organisation socialement responsable, emlyon business school propose des bourses pour les participants à l’Executive MBA et l’Executive Master Management Général. Ces bourses étant limitées en nombre, se rapprocher de son Conseiller en formation pour plus d’information. Les aides fiscales Vous avez la possibilité de déduire de l’Impôt sur le Revenu les frais pédagogiques et/ou les dépenses annexes (déduction des frais réels sur l’année de règlement des frais de formation au titre des « Autres frais déductibles »). Crédit d'impôt pour la formation des dirigeants d'entreprise Déduction des frais de formation pour les salariés Pour plus de renseignements, se rapprocher de son centre des Impôts. Facilités de paiement Prélèvements possibles en plusieurs mensualités. Pour plus de renseignements, se rapprocher de son Conseiller en formation. Les dispositifs de financement à l’initiative de l’entreprise Plan de développement des compétences Les entreprises ont obligation de former et de veiller à l’employabilité des salariés. L'employeur est libre de choisir les salariés qu'il souhaite faire bénéficier d'une formation. Le salarié peut exprimer son besoin en formation lors des entretiens annuels d’évaluation par exemple. Les formations concernées sont celles qui permettent : une adaptation au poste de travail ou qui sont liées à l’évolution ou maintien dans l’emploi, l’acquisition de compétences pour évoluer professionnellement. Pour aller plus loin : Plan de développement des compétences Possibilité pour l’entreprise d’être facturée sur 2 années civiles différentes. Pro-A Reconversion ou promotion par alternance Ce dispositif vise à : favoriser l’évolution professionnelle et le maintien dans l’emploi des salariés les moins qualifiés, faciliter un changement de métier ou de profession, ou une promotion sociale ou professionnelle Pour aller plus loin : Reconversion ou promotion par alternance (Pro-A) Contrat de professionnalisation Ce contrat permet l’acquisition – dans le cadre de la formation continue – d’une qualification professionnelle (diplôme, titre, certificat de qualification professionnelle…) reconnue par l’État et/ou la branche professionnelle avec une alternance entre enseignements et périodes de travail en entreprise. Ce contrat est accessible aux jeunes âgés de 16 à 25 ans révolus afin de compléter leur formation initiale et aux demandeurs d’emploi âgés de 26 ans et plus. Pour aller plus loin : Contrat de professionnalisation D’autres dispositifs sont portés par les OPCO avec des co-financements régionaux, nationaux, voire européens. Pour les connaître, prenez directement contact avec votre OPCO, par l’intermédiaire de votre service RH ou formation. Comment faire valoir mon droit de rétractation ? Vous vous êtes inscrit à une session de formation mais vous ne pouvez pas y assister et vous êtes inscrit à cette formation depuis moins de 14 jours et votre formation n'a pas commencé. Le délai de rétractation permet aux consommateurs de disposer d’un délai de 14 jours pour changer d’avis en cas d’achat par internet. Jusqu’à quand pouvez-vous utiliser votre droit de rétractation ? L'article L221-18 du code de la Consommation dispose que le délai de 14 jours court à compter du jour de validation de votre dossier de formation. Comment exercer votre droit de rétractation ? Pour faire valoir votre droit de rétractation, vous devez annuler votre dossier de formation sur le site mon compte formation. L'identité numérique La poste a mis en place l’identité numérique, les utilisateurs peuvent accéder à plusieurs sites web à l'aide d'un identifiant unique. L'identité numérique protège contre l'usurpation d'identité en informant les utilisateurs de toute tentative de connexion et en leur permettant de bloquer l'accès s'ils soupçonnent une fraude. Pour obtenir une identité numérique, les utilisateurs doivent s'inscrire en ligne, faire vérifier leur identité soit à domicile par un facteur, soit dans un bureau de poste, puis télécharger l'application et choisir un code secret. > En savoir plus > Créer son identité numérique

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Beaucoup de dirigeants sont confrontés, à un moment ou un autre de leur carrière, à une problématique qui met à mal leur légitimité ou leur système de valeur. Souvent isolés, subissant fréquemment des injonctions paradoxales, ils doivent très souvent satisfaire des objectifs qui semblent, au premier abord, difficiles à concilier : atteindre cet objectif commercial en respectant le bien être au travail de ses équipes, augmenter la production tout en respectant des standards environnementaux de plus en plus contraignants,... Comment apprendre à gérer ces problématiques complexes dans un monde qui évolue sans cesse ? Comment ne pas renoncer à son plan d’action tout en prenant en compte les circuits et process de gouvernance ? Comment gérer l’incertitude ? 24 jours pour passer un cap dans son activité de dirigeant et prendre de la hauteur Il est souvent très complexe d’analyser correctement une situation tout en exerçant une activité très exigeante en temps et en engagement. Surtout lorsqu’on a pas les outils et la prise de recul nécessaire pour pouvoir le faire. Le certificat “Diriger une activité”, proposé aux dirigeants par emlyon business school, permet d’adresser ces problématiques fréquemment rencontrées et de leur faire passer un cap dans leur pratique de management. La formation se déroule sur 24 jours à Lyon et bientôt sur le campus de Paris, répartis sur une durée de 9 mois à raison de 2 à 3 jours par mois pour pouvoir être menée avec une activité professionnelle. Elle permet aux participants à la fois de se doter d’outils et de méthodes de stratégie, et de développer leurs soft-skills. Comme le résume bien Pierre Pariente, responsable de la formation, «le manager doit d’une part définir la voie, et d’autre part entraîner les collaborateurs à le suivre : être à la fois un leader et exercer son leadership”. Une dialectique Stratégie / Implémentation que peu de dirigeants ont par nature, mais qui peut s’acquérir, pour peu que le dirigeants accepte de prendre du temps pour travailler sur ces axes. Piloter la performance et le risque, appréhender le contexte juridique Le certificat “Diriger une activité” est un programme généraliste destiné aux leaders qui souhaitent passer un cap, sous un format condensé. A la rentrée 2020, le programme est partiellement modifié pour s’adapter à deux besoins-clés : “piloter la performance et le risque”, et “appréhender le contexte juridique de l’action du dirigeant”. Les organisations et les personnes qui les composent rencontrent beaucoup de difficultés à faire face au risque et à l’incertitude, comme le prouvent les hésitations, inactions ou manques d’anticipation de nombreux acteurs dans la crise sanitaire du Covid19. Or, comme le souligne Pierre Pariente, “diriger, c’est anticiper”, et le dirigeant doit impérativement pouvoir aujourd'hui piloter le risque et anticiper au mieux les situations d’incertitude. Il doit donc d’une part piloter la performance, en établissant une stratégie et des indicateurs qui permettent de mesurer son efficacité et son efficience, et d’autre part piloter le risque et l’incertitude. Deuxième axe du nouveau programme du certificat, la maîtrise du contexte juridique : avec le développement des réglementations locales, nationales, ou extra étatiques, le dirigeant doit parvenir à maîtriser le contexte juridique de l’action. Le certificat intègre ainsi un module dédié aux aspects juridiques, notamment en droit des affaires, droit des contrats mais aussi droit du travail. Un format et un rythme adaptés Entre un MBA et une formation courte, le format du programme “Diriger une activité” permet d’apporter aux dirigeants les compétences clés en stratégie, finance, droit et marketing mais aussi les soft skills nécessaires (postures du leader : fédérer, mobiliser…). Il permet d’aller à l’essentiel sans exclure de poursuivre et d’approfondir en suivant un MBA. Le programme comprend 24 jours de formations en journées pleines (souvent en fin de semaine), sur un rythme de 2 à 3 jours par mois.Cette formation est un certificat d’emlyon business school et permet la validation de deux blocs de compétences du certificat Dirigeant d’entreprise de niveau 7 inscrit au RNCP, auquel conduit le programme Executive MBA. “C’est bien de se poser et de donner un peu de structure, de donner des réponses aux questions que l’on se pose ; le certificat m’a aidé à me positionner en terme de stratégie et à avoir une vision assez large de notre activité et de notre marché”, témoigne Pierre Neveux, directeur général délégué du groupe Maïa. “Ce qui est intéressant, c’est de partager notre expérience avec des cadres de secteurs différents. Et quel plaisir de se poser pour apprendre de nouveau !”. Une formation qui permet donc aux dirigeants d’appréhender les problématiques vécues dans leur entreprise de manière différente, et de piloter leur activité avec une assise méthodologique et une assurance en leadership qui changent clairement la donne. Directeur d’une PME qui se trouvait à une période-clé de son existence, Cédric Laffont témoigne : “Je devais concrétiser une réflexion sur la croissance externe de ma structure, et le certificat "Diriger une activité" a permis de m’apporter les réponses et de débuter le processus. Le format permet une relative souplesse, une adaptation assez simple dans un emploi du temps d’un dirigeant, le rythme mensuel est facile à intégrer et l’environnement proposé est très favorable”. Que vous soyez dirigeant de PME ou d’ETI, directeur de Business Unit, directeur fonctionnel ou entrepreneur, le programme “Diriger une Activité” vous permet en 24 jours de passer un cap en stratégie d'entreprise mais aussi en mise en oeuvre opérationnelle et en aptitude à mobiliser les hommes et les équipes et à conduire le changement.

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