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Emmener tout le monde sur le même bateau et faire en sorte que la croisière soit la plus longue et la plus épanouissante possible… C’est en quelque sorte la mission de Claire Cavallucci. Cette spécialiste des ressources humaines se concentre sur le management des talents, toujours avec un angle international. Portrait.

Partir de zéro, constituer des équipes… Voici les challenges qui animent au quotidien Claire Cavallucci. Un goût de l’aventure acquis à l’international puisque la carrière de cette spécialiste des ressources humaines a commencé en Australie, puis en Chine et aux Etats-Unis. « C’est à la Chambre de commerce franco-chinoise de Pékin que j’ai découvert la fonction RH. J’ai tout de suite accroché avec cette mission qui consiste à s’assurer qu’il y a les bonnes personnes dans les bons postes et avec les bonnes compétences. Le tout dans un environnement épanouissant », raconte-t-elle. Cette vision, axée sur le management des talents, ne la quittera jamais et conditionnera toutes ses expériences professionnelles.  La page blanche De retour en France, elle s’immerge dans l’univers industriel et ses spécificités en rejoignant FCI, une filiale d’Areva dédiée à la connectique automobile. Puis déménage en région lyonnaise pour le secteur des services et l’entreprise dunnhumby. Cette joint-venture avec le groupe Casino vient d’être créée. Il faut donc recruter toute l’équipe. Une page blanche à remplir, comme les aime Claire Cavallucci. « Cela a été une réussite et Casino nous a demandé de développer notre business model au Brésil puis en Colombie », détaille-t-elle. Elle rejoint ensuite le groupe Regus en tant que directrice des ressources humaines Europe. Là, il ne s’agit pas de créer une équipe mais de mobiliser les talents, dans un contexte particulier : le poste de DRH Europe est resté vacant pendant deux ans et demi. Et il faut tout réorganiser. « De gros projets ont été mis en place à l’image d’un nouveau système d’information RH ou d’un programme de coaching », détaille Claire Cavallucci.   Business partner Au bout de deux années intenses, l’envie de faire le point se fait sentir. Claire Cavallucci quitte le groupe Regus et entame l’Executive MBA emlyon business school, en fast-track - soit à temps complet pendant 10 mois. Ce qui lui permet de concilier vie de famille - Claire Cavallucci est mère de trois enfants - et reprise d’études. « J’avais besoin d’une pause dans ma carrière et de m’ouvrir aux autres pans de l’entreprise : la stratégie, le commercial, les questions financières… Afin d’être plus pertinente dans mon rôle de DRH», ajoute-t-elle. Les apports théoriques des enseignants-chercheurs, les cas concrets étudiés et les échanges avec les autres participants lui ont permis d’envisager différemment sa fonction. « J’ai aujourd’hui des compétences nouvelles, en plus de ma casquette RH, qui me permettent de me positionner comme un business partner des dirigeants, au service du développement de l’entreprise et des équipes. Je me sens confortée et crédible, notamment dans les comités de direction », explique Claire Cavallucci. Cette expertise lui a permis, une fois diplômée, de rejoindre le Groupe ABÉO où elle a construit toute la politique RH. « C’était une création de poste avec une dimension stratégique très forte qui m’a permis d’utiliser concrètement les enseignements de l’EMBA », détaille Claire Cavallucci. En effet, ce groupe international était en fort développement et menait des opérations de croissance externe sur lesquelles Claire Cavallucci pouvait apporter un avis encore plus pertinent. « J’étais en mesure de questionner le CODIR sur la cible, l’analyse financière, les conditions de l’intégration dans la stratégie du groupe… C’est essentiel pour bien accompagner le dirigeant et les salariés », ajoute-t-elle. L’expérience a duré deux ans. Aujourd’hui en recherche d’une nouvelle page blanche à remplir, Claire Cavallucci s’investit et rejoint l’executive board de l’EMBA. Ainsi que le programme de mentoring féminin emlyon business school dédié aux diplômées. Un vivier de talent qu’elle saura accompagner sur le long terme… L’Executive MBA emlyon business school, l’allier de la progression de carrière Progresser au sein de son entreprise, augmenter sa rémunération, se tourner vers l’entrepreneuriat… Suivre l’EMBA emlyon business school est une garantie d’évolution professionnelle significative. Le diplôme a ainsi été classé 5e mondial par le Financial Times, en termes de progression de carrière en 2018. Proposé en fast-track ou en part-time, il s’adresse aux « makers » : dirigeants et cadres expérimentés qui portent un projet ou cherchent à se challenger en acquérant de nouvelles compétences autour des enjeux business d’aujourd’hui. L’Executive MBA approfondit aussi bien la finance, la stratégie, la prise de décision, le management, les data que le développement personnel et la posture.   Pour plus d'information, téléchargez la plaquette

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A l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, Cadremploi à décidé de consacrer un article à ces femmes qui parviennent à accéder à des conseils d'administration et autres instances de gouvernance. Elle ne sont que trop peu nombreuses et le parcours pour en arriver là est semé d’embûches. Carine Vinardi, participante du certificat Objectif Administratrice emlyon business school témoigne de son expérience. « C’est vrai, le premier mandat est toujours le plus compliqué à obtenir. J’étais par exemple souvent en short list face à des candidats ayant déjà un mandat et/ou plus âgés et je n’étais pas sélectionnée », analyse-t-elle. Lors d’une courte période de transition professionnelle, Carine Vinardi décide de se former au rôle d’administratrice à l’emlyon business school. « Cette formation m’a permis de cibler au mieux le type de conseil que je souhaitais rejoindre.  Je n’avais pas envie d’un simple rôle de représentation mais de jouer un vrai rôle de conseil sur le long terme en lien avec mon expérience international, en lean, et en supply chain. Une PME familiale à taille humaine paraissait mieux adaptée à mes attentes », récapitule-t-elle. C’est donc tout naturellement qu’elle accepte de postuler au mandat chez Forlam que lui propose Sidonie Mérieux, dirigeante du cabinet de chasse HeR value. « Pour un premier mandat, mieux vaut ne pas se précipiter. La sélection doit être réciproque », insiste-t-elle. Témoignage par Cadremploi Le certificat Objectif Administratrice Le certificat Objectif Administratrice, en partenariat avec le cabinet HeR Value, est un programme dédié à des femmes qui détiennent un mandat d'administratrice ou qui souhaitent en obtenir un. Les participantes sont amenées à avoir une véritable réflexion sur la posture d'administratrice grâce, notamment, à des témoignages de différents acteurs de la gouvernance et à des simulations. Les objectifs de ce certificat: Renforcer la confiance, l’assurance et l’assertivité avec lesquelles ce rôle d’administratrice est abordé Favoriser une réflexion sur le rôle de l’entreprise dans la société Fournir les méthodes pour challenger les raisonnements stratégiques proposés par l’équipe dirigeante Rencontrer et échanger avec des membres de conseils d’administration Prochaines rentrées: le 10 avril 2018 à Paris et le 5 juin 2018 à Lyon Télécharger la plaquette

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Issu d'une formation d'ingénieur généraliste en méthodologie de gestion industrielle, Benoît Cottel a fait le choix de ne pas devenir expert dans un domaine, mais plutôt d'être un « couteau suisse », d’être « l’huile dans les rouages » d’une entreprise et d’en avoir une vision globale. Ses deux premières expériences professionnelles, chez Louis Vuitton puis au sein de la PME SEDEM, lui ont permis de « chercher la culture d’entreprise » qui lui correspond le plus et dans laquelle il se sent à l’aise : celle des grands groupes familiaux ou à gouvernance familiale. C’est dans cette optique qu’il poursuit son parcours, des produits d’hygiène pour bébé à l’industrie du packaging, de postes opérationnels à des responsabilités de plus en plus larges.

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Benoît Cottel a fait le choix de ne pas devenir expert dans un domaine, mais plutôt d'être un « couteau suisse », d’être « l’huile dans les rouages » d’une entreprise

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Fonction ou formation du témoin

Diplômé de l'Executive MBA

Témoignage de

Arnaud Douet

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Passionné par les sciences depuis sa jeunesse et d'un naturel curieux, Arnaud Douet a construit sa carrière dans l'industrie de la chimie, « la mère de toutes les industries », celle qu'on retrouve partout, de l'agriculture au nucléaire, en passant par la médecine ou encore l'alimentation. Un choix guidé par sa curiosité et son désir de mettre sa méthode et ses connaissances scientifiques au profit du progrès, que ce soit pour développer des ingrédients naturels ou des alternatives au pétrole.

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Arnaud Douet, du génie chimique à la gouvernance d’entreprise grâce à l’Executive MBA

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Le 9 octobre, 12 entreprises sont venues défendre leurs couleurs lors de la soirée des 1ers Trophées start-ups Auvergne Rhône-Alpes organisés à l’Hôtel de Région de Lyon-Confluence. 4 d’entre elles ont été distinguées, dont Lactips qui repart avec le coup de cœur du public.  

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La success story de LACTIPS

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Réussir à enclencher une croissance exponentielle avec un minimum de ressources… la promesse du Growth Hacking fait rêver de nombreuses entreprises. Pour les accompagner dans cette démarche, emlyon business school lance une formation courte, proposée en distanciel. Présentation avec Sébastien Elion, responsable pédagogique.

Qu’est-ce que le Growth Hacking ? Sébastien Elion : Le Growth Hacking consiste à générer une croissance exponentielle, avec un minimum de ressources. C’est un état d’esprit qui pousse à sortir du cadre conventionnel pour aller chercher des choses malines, qui ont un impact fort. Cette stratégie s’appuie impérativement sur de la data et des indicateurs de performance. Les actions à mener sont chiffrées afin d’en tirer des leçons. Sans data, il n’y a pas de Growth Hacking. Quelle est la différence avec le marketing digital ? Le Growth Hacking est un état d’esprit très tourné vers le terrain, et moins vers l’image de marque. Nous sommes davantage dans l’agilité avec l’objectif de mieux cibler pour transformer les prospects en clients. En Growth Hacking, il faut aller vite, expérimenter sous forme de sprint pendant quelques semaines, même si le test n’est pas parfait. L’amélioration se fait au fur et à mesure. C’est aussi une démarche très analytique, qui s’intéresse à l’ensemble du cycle de vie client. Le Growth Hacking repose sur une méthode structurée et touche tout le tunnel de conversion.  Comment cette fonction se positionne-t-elle dans l’entreprise ? Elle est difficile à positionner. Elle relève du marketing mais pas que. C’est aussi lié aux services commerciaux. Certaines structures créent même des services, des « Growth team », dédiées à la croissance de l’entreprise. Quel budget l’entreprise doit-elle prévoir ? Les expérimentations doivent être mesurées dans une approche ROIste. L’objectif est d’avoir le droit de se tromper afin de retirer des enseignements et de documenter ce qui est fait. Le Growth Hacking analyse la data pour trouver des segments inexploités, des opportunités à investir très vite.   Toutes les entreprises peuvent-elles se lancer dans le Growth Hacking ? Les start-ups l’utilisent beaucoup, cela correspond à leur culture. C’est plus complexe pour les grands groupes, où l’organisation peut être silotée et l’accès à la donnée difficile. Mais je vois de plus en plus d’entreprises se tourner vers cette stratégie. Apple, Dropbox, Airbnb, Hotmail… font partie des pionniers.  Quel est le profil du Growth Hacker ? C’est un profil qui maîtrise les outils tech’, qui est débrouillard, flexible et rigoureux. Il faut également être créatif pour imaginer des angles d’attaques différents et sortir des sentiers battus. Enfin, le Growth Hacking exige un esprit analytique car l’utilisation de la data est prédominante. Généralement, les postulants sont issus du marketing ou plus récemment du développement web. Pourquoi emlyon business school crée-t-elle une formation courte sur ce sujet ? Le Growth Hacking arrive en tête des métiers marketing les plus demandés, d’après le Report 2020  du World Economic Forum. Cette démarche impacte profondément les entreprises et offre de nouvelles perspectives de développement. Il est donc indispensable de former les collaborateurs à cet état d’esprit. Comment est organisé ce cursus ? La formation est proposée en distanciel, sur 12 heures, réparties en 6 semaines. Elle permet aux participants d’acquérir l’état d’esprit du Growth Hacking, l’organisation et les process. Des exercices concrets jalonnent la formation et permettent de mettre en pratique les méthodologies et les frameworks. Ils sont ainsi capables de les réutiliser en entreprise. A la fin de la formation, ils disposent d’une « tool-box » qui recense tous les outils du marketing connecté. A qui cette formation s’adresse-t-elle ? Aux managers, responsables marketing, sales manager ou CEO qui souhaitent diffuser la culture du Growth Hacking dans leur équipe et recruter des talents dans ce domaine. La formation s’adresse également à  des profils opérationnels, amenés à conduire ces stratégies.

VOTRE CONTACT Julie AGUERO Conseillère en formation Tel. 06 70 31 16 80 aguero@eml-executive.com

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Adopter le Growth Hacking dans toutes les entreprises

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Depuis le 1er janvier 2017, la loi Copé-Zimmermann impose aux grandes entreprises et ETI de compter au moins 40 % de femmes dans leurs conseils d’administration. Cette exigence n’est pas encore totalement respectée mais elle a permis une prise de conscience des dirigeants. Et les femmes sont de plus en plus nombreuses à intégrer des CA. Portrait d’une d’entre elles.

Emmanuelle Sarrabay, Directrice Générale Adjointe Finance & SI d’OL Groupe, Administratrice au Conseil d’observation et de surveillance (COS) du Crédit municipal de Lyon. Challenge et création animent le parcours professionnel d’Emmanuelle Sarrabay. Intéressée par la finance et l’audit, la jeune femme s’est formée à l’ESC Dijon (aujourd’hui Burgundy School of Business) et se prédestinait à devenir expert-comptable. Mais son stage de fin d’études chez PWC, ensuite converti en CDI, l’a convaincue de se tourner vers l’audit externe, un moyen d’être, au quotidien, au contact d’entreprises très variées. C’est pendant cette première expérience professionnelle qu’elle découvre Merial, la division santé animale à l’époque du groupe Sanofi. Elle intègre le Groupe en 1997 et y restera 14 ans. « L’audit externe me frustrait. Je n’allais pas au bout des préconisations et des points soulevés », détaille Emmanuelle Sarrabay. Projet ambitieux Pendant ces années, elle évolue sur différents postes à dimension internationale autour de la finance, de l’audit interne et de la conformité. « J’ai toujours aimé arriver sur des projets en lancement, participer à créer quelque chose ex nihilo. Ce challenge me motive et chez Merial j’ai ainsi participé à la création d’une structure de consulting interne spécialisée en amélioration des processus et du contrôle interne, puis à la direction de la conformité financière et enfin à la direction de l’audit interne… C’était passionnant », explique Emmanuelle Sarrabay. Elle parcourt le monde, à la rencontre des différents métiers du Groupe. En 2011, une nouvelle opportunité se présente à elle : les dirigeants d’OL Groupe lui proposent la direction financière. Le club lyonnais nourrit un projet ambitieux : celui du Grand Stade (aujourd’hui Groupama Stadium). « Ils avaient besoin d’un profil pour préparer et porter le projet de financement du stade. J’ai été attirée par le défi, l’ampleur de l’ambition, la structure qui est cotée en Bourse. À l’aube de la quarantaine, c’était un projet stimulant, auprès d’un dirigeant inspirant et visionnaire: Jean-Michel Aulas », se rappelle la directrice générale adjointe. Prise de recul Habituée à faire des reportings et des présentations aux conseils d’administration et comité d’audit d’OL Groupe, Emmanuelle Sarrabay a souhaité ajouter une nouvelle compétence à son parcours en intégrant le certificat Objectif Administratrice d’emlyon en 2016. « Je côtoie les instances de gouvernance d’OL Groupe en tant que dirigeant opérationnel. La formation m’a permis de mieux appréhender la mission de ceux que j’ai en face de moi », souligne Emmanuelle Sarrabay. La richesse des profils rencontrés et la qualité des intervenants ont séduit la directrice générale adjointe. En octobre 2017, elle est contactée par le Crédit municipal de Lyon pour intégrer le Conseil d’observation et de surveillance (COS) en tant qu’administratrice. La mission sociale de l’institution, qui a le monopole du prêt sur gage, intéresse grandement Emmanuelle Sarrabay qui accepte. Hauteur, prise de recul… la position d’administratrice est bien différente de celle induite par ses fonctions habituelles. Et cela lui plaît. « C’est un équilibre que j’apprécie. Je connais la réalité opérationnelle du terrain et je peux appréhender les situations de façon plus large et stratégique car je ne suis pas aux manettes », précise Emmanuelle Sarrabay. Pour l’instant, la recherche d’autres mandats n’est pas à l’ordre du jour. Emmanuelle Sarrabay souhaite réussir à mener de front ses nombreuses missions. D’autant que ses fonctions, au sein d’OL Groupe, se sont également récemment étendues à la partie juridique Corporate. Emmanuelle Sarrabay, engagée en faveur du fair-play financier Rejoindre le groupe OL était une évidence pour cette fan de sport. Supportrice du club lyonnais, elle s’est naturellement engagée dans le monde du football professionnel en rejoignant le groupe de travail Finance de l’ECA, l’association des clubs européens. Son action porte notamment sur les questions du fair-play financier en tant que membre du « Panel Technique » du Fair Play Financier. Ainsi, aux côtés d’autres directeurs financiers de clubs européens, elle travaille à définir les grandes lignes de la réglementation qui s’impose aux clubs européens, en collaboration avec les équipes du Fair Play Financier de l’UEFA. « C’était une façon pour moi de garder le volet international, que j’appréciais beaucoup chez Merial », explique Emmanuelle Sarrabay. Encore un challenge de taille, qui ne semble en rien l’effrayer ! Objectif Administratrice Favoriser la place des femmes dans les conseils d’administration : tel est l’objectif du certificat Objectif Administratrice, proposé par emlyon. Réparti sur 8 jours, il est destiné aux femmes qui souhaitent devenir administratrices ou améliorer leur posture d’actrices de la gouvernance. Confiance en soi, méthodes de raisonnement stratégique, échanges avec des membres de CA… Les participantes bénéficient d’apports théoriques, d’études de cas, de mise en pratique et de témoignages. Comme Emmanuelle Sarrabay, vous-aussi vous souhaitez vous préparer aux nouvelles règles de gouvernance? Intégrez le programme certifiant " Objectif Administratrice " pour devenir actrice active de la gouvernance d’entreprise. • Un programme certifiant de 8 jours de formation • PROCHAINE RENTRÉE : Juin 2018 à Lyon et Avril 2019 à Paris Téléchargez la plaquette : cliquez ici Pour plus d’informations, contactez Astrid LOI à Paris aloi@eml-executive.com ou Gonzague Werquin à Lyon werquin@eml-executive.com

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