Le samedi 20 janvier dernier, Dominique Seguin, Directeur Associé de Kestio et intervenant du service carrière d’emlyon business school, nous a fait le plaisir de venir animer une conférence sur notre campus parisien. Et oui ! En plus d’être implanté à Lyon, emlyon business school se trouve aussi à Paris ! La thématique ? Le « personal branding » Le public présent ? Plus d’une centaine de cadres et dirigeants d’entreprises de la région parisienne C’est à la suite d’un événement difficile de sa propre vie que Dominique Seguin s’est tout particulièrement intéressé à la thématique du personal branding. Voici en quelques lignes les conseils qu’il a prodigué aux personnes présentes, pendant cette intervention pour le moins très inspirante. « Avez-vous déjà vécu ce moment dans votre vie professionnelle, où vous êtes remercié ? Il est assez compliqué d’anticiper ce genre d’événement et vous ne serez pas toujours décideur. Qu’importe le nombre de décisions que vous prenez dans votre journée, au travail ou dans votre vie personnelle, celle-ci n’est pas de votre ressort. Comment le personal branding peut-il constituer un moyen d’orienter votre démarche vers le choix, et de devenir le maître de votre destin professionnel ? Il vous faut tout d’abord accepter de voir disparaître, dans une dizaine d’années, le si sécurisant contrat à durée indéterminée, de plus en plus inadapté aux nouveaux business models se voulant agiles. Le CDI à beau rassurer les deux parties en apportant une certaine stabilité, il vous empêche de vous dépasser. Ce n’est plus la structure mais l’expertise et le réseau qui seront les réponses aux nécessités d’innovation et de compétitivité des entreprises. C’est en cela que le personal branding devient un processus indispensable afin de sortir du cadre de votre entreprise et de votre secteur d’activité. L’accélération digitale en est aussi la cause comme l’illustre l’exemple du Velib, ou comment une innovation ayant nécessité des investissements et des aménagements colossaux a pu se faire dépasser par seulement deux mois de codage et un simple hashtag. Nous ne sommes pas accoutumés à ce que les choses changent de façon abrupte ni à ce que les méthodes éprouvées ne fonctionnent plus d’un jour à l’autre. L’avènement du digital ne vous permettra plus de prévoir le futur en regardant en arrière comme vous aviez l’habitude de le faire, c’est pourquoi vous devez orienter votre démarche vers le choix et vers la prise de décision, et anticiper plutôt que subir les décisions prises à votre insu. Votre réseau doit donc être au cœur de cette démarche, activé avant même que vous en ayez besoin. Comment construire votre personal branding ? La première chose à faire est de structurer votre projet autour de trois questions : Qu’est-ce que j’aime faire ? Qu’est-ce que je sais faire ? Qu’est-ce que le marché, mes clients, ma cible, attendent de moi ? Vous êtes très souvent conscient de vos compétences mais il n’est pas habituel de le lier avec ce que vous voulez et aimez vraiment faire. La difficulté du personal branding, c’est d’être clair, de rester cohérent avec son projet mais surtout d’avoir un feedback. Délivrez votre message en permanence car la constance dans la communication est primordiale. Soyez visible sur les réseaux sociaux et peaufinez votre profil car il est la porte d’entrée de votre réseau. Nourrissez-le de contenus intéressants avant d’être intéressés et engagez avec des contacts inconnus afin d’élargir votre cercle. Enfin, gérez vos relations en off-line pour créer du contact réel en participant à des événements, des rencontres d’anciens élèves et des dîners car, rien ne remplace le contact humain. »
Une douzaine de participants à l'Advanced Management Programme, à l'Executive MBA, au Executive Master Management Général et au certificat Diriger une activité ont bravé les intempéries pour se retrouver à Vizille, au cœur de la région grenobloise, pour une visite de la société « Papeteries de Vizille », papetiers depuis plus de 4 siècles et appartenant au groupe cimentier VICAT depuis 1984. Deux cœurs de métier : la production de papier pour les marchés de l’édition, de la haute sécurité, de l’emballage alimentaire et d’autres spécialités la production de sacs kraft de moyenne et grande contenance : « A chaque client son sac » Quelques chiffres concernant les capacités de production : 30 000 tonnes / an pour l’activité production de papier 80 millions de sacs pour l’activité sacherie 4700 MW .h d’électricité Dans la lignée de Louis Vicat, ingénieur du ciment artificiel en 1817, cette entreprise familiale est résolument tournée vers l’avenir, et cultive sur le long terme des relations de confiance avec ses clients et partenaires. Le Groupe s’attache au développement des territoires, à l’emploi local et au respect de l’environnement. Penser client Ouverture d’esprit Eco responsable durable Exigence technique Innovation A l’issue de la visite, le groupe s’est retrouvé autour d’un plat du jour sur la place du Château pour un moment convivial ! Merci aux Papeteries de Vizille pour cette visite !
Le 14 juillet, le Collège universitaire Glendon de l’Université York et emlyon business school ont signé un accord à Toronto créant un double diplôme de bachelor entre les deux écoles. Ce partenariat offrira l’opportunité d’être à la fois diplômés du bachelor des arts international (i.B.A.) de Glendon et du bachelor en administration des affaires(B.A.A.) d’emlyon business school.
Les étudiants de Glendon et d’emlyon business school, qui suivront ce programme, réaliseront leurs troisième et quatrième années d’étude au sein de l’école partenaire. Ce partenariat leur permettra de combiner une formation en arts libéraux avec des études de commerce et de bénéficier de programmes d’échanges en France, au Canada ou dans d’autres pays dont le français est la langue officielle. Les étudiants travailleront sur les questions relatives au commerce interculturel lors de deux stages obligatoires, qui pourront notamment se dérouler au sein d’entreprises françaises affiliées à la Chambre de Commerce France-Canada. Chef de file canadien dans le domaine de la formation bilingue, Glendon a été reconnu en 2008 par le gouvernement de l’Ontario comme le Centre d’excellence pour l’enseignement post secondaire francophone et bilingue dans le sud de l’Ontario. Plus tôt cette année, il s’est vu accorder la désignation partielle en vertu de la Loi sur les services en français, ce qui a consacré l’engagement de l’université en faveur de la formation francophone et bilingue. « Ce partenariat unique permettra aux étudiants du programme en Études internationales de Glendon d’unir leur formation en arts libéraux à des études de commerce avec l’école de renommée internationale emlyon business school. Il ne répondra pas seulement au besoin de l’Ontario en formation commerciale bilingue, mais fournira aussi aux étudiants, à travers leurs stages, de formidables occasions d’examiner les questions ayant trait au commerce interculturel » souligne Donald Ipperciel, Principal du Collège universitaire Glendon. « À travers cet accord, le campus Glendon de l’Université York et emlyon business school préparent leurs étudiants à devenir des acteurs de la mondialisation. La prochaine génération de dirigeants, de cadres et d’entrepreneurs doit apprendre à opérer dans des environnements internationaux, multiculturels et digitaux. La collaboration entre les deux écoles sera assurée sur les deux campus, ainsi que dans un cadre numérique », indique Bernard Belletante, Directeur général d’emlyon business school. L’Université de York propose à ses 52 000 étudiants un programme d’enseignement interdisciplinaire et d’apprentissage basé sur l’expérience. Ses 11 facultés et 24 centres de recherche ont des partenariats avec plus de 200 universités de premier plan dans le monde. Avec ses classes de petite taille et sa localisation avantageuse au cœur de Toronto, le Campus Glendon de l’Université York propose à ses 2 700 étudiants 20 programmes de bachelors ès arts, deux programmes de bachelors ès sciences (Psychologie et Biologie), deux programmes professionnels (Éducation et Traduction), sept Certificats, quatre programmes de Maîtrise (Études françaises, Traduction, Interprétation de conférence et Affaires publiques et internationales) et un programme de Doctorat en Études francophones.
Fabienne Autier, Marie-Rachel Jacob et Mar Pérezts, toutes trois professeurs de management et RH à EMLYON Business School publient «Des ressources ou des hommes ?» aux éditions Pearson.
Suffit-il de considérer les personnes comme des « ressources » pour déterminer leur place et leur mission au sein d’une entreprise ? Les politiques de gestion des ressources humaines déployées aujourd’hui dans les organisations sont loin d’être satisfaisantes. Il suffit d’écouter les conversations entre collègues pour mesurer à quel point le décalage est grand entre leurs attentes et les pratiques des employeurs. En suivant le cycle de vie du salarié dans l’entreprise et en s’appuyant sur des cas concrets, l’ouvrage passe au crible les thématiques majeures de la gestion des ressources humaines (GRH) : comment optimiser la gestion des recrutements de demain ? Comment mieux évaluer la performance individuelle et collective ? Peut-on faire de la formation un levier stratégique pour l’entreprise ? Comment accompagner efficacement les salariés vers une mobilité réfléchie ? Qu’en est-il du management RH à l’international ? Avec cet ouvrage, les auteurs bousculent les idées reçues en offrant une approche alternative à la vision traditionnelle de la GRH. Elles analysent ses tensions actuelles, fournissent des pistes d’action pertinentes et des clés de compréhension pour tous : dirigeants, responsables RH, managers et salariés. Le livre est enrichi d’une enquête sur les politiques et les pratiques RH accompagnée d’un éclairage sur la réforme de la loi sur la formation en France (2015). Des Ressources ou des hommes? Fabienne Autier, Marie-Rachel Jacob et Mar Perezts Pearson 2016 A propos des auteurs Les trois auteurs de l’ouvrage enseignent à EMLYON Business School dans le département management, droit et ressources humaines. Les recherches de Fabienne Autier portent sur les stratégies de gestion des ressources humaines, la motivation et le travail. Les travaux de Marie-Rachel Jacob portent sur les transformations de l’emploi et du travail dans les organisations, avec un accent porté sur les possibilités de carrières flexibles et les relations de travail. Mar Pérezts poursuit une recherche transversale, en croisant les problématiques gestionnaires et organisationnelles avec des approches qui puisent dans la philosophie, l’anthropologie et la sociologie.
Olivier Bachelard, professeur àemlyon business school publie Le bien-être au travail. Concepteur et coordinateur de l’ouvrage, Olivier Bachelard a réuni chercheurs et praticiens pour analyser, à travers huit études de cas, les notions de bien-être et de bienveillance au travail dans le secteur public.
Préfacé par Nathalie Loiseau, directrice de l’ENA, l’ouvrage interroge l’introduction de la notion de bien-être au travail dans le service public. La révolution numérique et l’évolution des attentes en matière de qualité de service n’épargnent pas le secteur public. Sans tomber dans l’écueil du « happy washing »,Le bien-être au travaila pour objet d’accompagner ces transformations pour un service public performant et bienveillant. Huit études de cas- de l’hôpital à la marine en passant par les policiers d’élite -, sont décortiquées par des praticiens et des chercheurs qui les abordent chacun sous un angle différent. Les parties éclairages et mises en perspective traitent notamment les problématiques de gouvernance et dialogue social, de prévention de la souffrance et du stress ou de l’impact de l’injustice organisationnelle. Au service d’une approche pluridisciplinaire, nous pouvons citer à titre d’exemple, Pierre-Yves Gomez, professeur d’économie à emlyon business schoolet auteur deIntelligence du travail(DDB 2016), qui analyse la perte de sens au travail qui touche le service public comme les entreprises privées. Maurice Thévenet, professeur de gestion au CNAM et à l’ESSEC, examine quant à lui, la dimension collective du bien-être au travail. Max Masse, directeur adjoint du travail, Institut national du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle (INTEFP), aborde la dimension juridique. Michel Debout, professeur émérite de médecine légale et de droit de la santé, président du Groupement d’études et de prévention du suicide (GEPS), nous éclaire sur la dimension médicale. Pour Olivier Bachelard, « Ce livre a pour objectif de proposer des clés concrètes pour un fonctionnement optimisé du service public favorisant l’innovation et l’engagement. Accompagner les agents, les aider à évoluer dans leurs pratiques, mieux gérer leurs émotions et développer des logiques coopératives transversales sont autant de clés pour éviter que l’urgence et les problèmes du quotidien ne s’imposent au détriment d’une logique plus solidaire ». À propos Olivier Bachelard est professeur affilié à emlyon business school et directeur du campus de Saint-Étienne. Il est psychologue, docteur et titulaire d’une Habilitation à Diriger des Recherches (HDR) en sciences de gestion. Avec les contributions de : J. Bernon, J.-L. Berthier, O. Bodhuin, N. Commeiras,M. Debout, J.-L. Ducrocq, A. Gautier, P.-Y. Gomez, M. Le Clainche, A. Loubès, M. Masse, F. Miny, H. Monier, T. Nadisic, G. Poilpot-Rocaboy, A. Rivière, G. Soenen, M. Thévenet, P. Traversaz. Contact presse emlyon business school www.em-lyon.com -@EMLYON Franck Bizet 04 78 33 78 15 - bizet@em-lyon.com - @FranckBizet Valérie Jobard 04 78 33 78 29 - jobard@em-lyon.com
Le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation et Bpifrance lancent l’accélérateur agroalimentaire avec emlyon : 19 PME accompagnées pour accélérer leur croissance et les accompagner face aux défis qui les attendent
Pour accroître la compétitivité des entreprises de la filière agroalimentaire et les accompagner face aux défis de demain, le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation et Bpifrance lancent la première promotion de l’accélérateur agroalimentaire, composée de 19 membres. La France compte près de 18 000 entreprises agroalimentaires, dont 98% sont des TPE/PME, qui emploient plus de 380 000 équivalents temps plein et réalisent 167 Md€ de chiffre d’affaires. Les consommateurs demandent une alimentation toujours plus saine, plus sûre et plus durable et les entreprises agroalimentaires doivent répondre à de nouveaux défis : montée en gamme des produits, sécurisation des approvisionnements, diversification des débouchés, durabilité, internationalisation, digitalisation, responsabilité environnementale et sociale, etc. Pour accompagner les entreprises face à ces défis, le volet agricole du grand plan d’investissement prévoit la mise en place d’un accélérateur agroalimentaire. Ciblé et personnalisé, ce programme de 24 mois est destiné aux PME de la 1ère et 2ème transformation. Il apporte un accompagnement à la fois individuel et collectif : Un diagnostic individuel visant à identifier les relais de croissance prioritaires et à accompagner l’entreprise dans sa réflexion stratégique en identifiant les freins. Il sera réalisé sous la forme d’audits, effectués par des consultants sélectionnés par Bpifrance ; Deux modules d’approfondissement qui seront définis en fonction des résultats de ce diagnostic pour permettre le déploiement d’un plan d’actions concret sur la thématique retenue par l’entreprise (internationalisation, innovation, numérique…) ; Des séances de formation collectives, assurées par emlyon et Agreenium sur les thématiques spécifiques pour nourrir la réflexion stratégique des dirigeants ; Des mises en relations pour concrétiser les opportunités de croissance. IMG_20190402_090431 Les PME de la promotion pourront bénéficier d’un programme qui a fait ses preuves : Fin 2018, 650 entreprises étaient passées par un Accélérateur de Bpifrance, déployé en propre par Bpifrance ou en partenariat avec les filières et les conseils régionaux. Cette première promotion de l’Accélérateur agroalimentaire est parrainée par Loïc Hénaff, président du directoire de la société Jean Hénaff et président de l’association Produit en Bretagne. « Les entreprises agroalimentaires françaises font face à de nombreux défis et travaillent chaque jour pour apporter une alimentation plus saine, plus sûre et plus durable aux consommateurs » indique Didier Guillaume, ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation. « L’accélérateur agroalimentaire est un outil ciblé et personnalisé pour les accompagner et accélérer leur croissance. Les 19 entreprises sélectionnées incarnent l’excellence du savoir-faire de la filière agroalimentaire française et son potentiel de croissance ». « Bpifrance place l’accompagnement au cœur de sa stratégie et propose aux dirigeants d’entreprises un programme sur mesure visant à leur donner tous les outils pour les aider à se développer et à s’internationaliser. Ce nouvel accélérateur permettra aux entreprises de la filière agroalimentaire de bénéficier d’un accompagnement personnalisé pour faire face aux nouveaux défis du secteur » déclare Guillaume Mortelier, Directeur exécutif en charge de l’Accompagnement et du Fonds Build-up chez Bpifrance Liste des 19 entreprises de la première promotion : AGRO'NOVAE, L'ANGELYS, ALPES BISCUITS, LeChef, Conserverie Gonidec, Ferme des peupliers, PALC, PHILIBERT SAVOURS, Prunier, SAS MYTILIMER, Les Jardins de l'Orbrie, Schneider Food, Sud Agro, Roucadil, VITALAC, GEORGES VIGOUROUX, Les 3 Laboureurs, Les Crudettes, France Cacao.
Les métiers d’aujourd’hui sont directement impactés par le digital. Que vous travailliez dans les domaines du commerce, du marketing ou que vous soyez entrepreneur, vous souhaitez acquérir de nouvelles compétences et être opérationnel rapidement . En formation continue, l’emlyon business school propose un certificat marketing digital en neuf jours.
Se former au marketing digital pour en comprendre les enjeux D’après l’étude Ernst & Young sur la révolution des métiers, 70% des dirigeants français considèrent que le manque de compétence est un frein au développement de leur entreprise, La formation est citée par l’ensemble des dirigeants interrogés comme la priorité pour adapter les compétences partout dans le monde, Parmi les métiers les plus susceptibles de muter dans les cinq années à venir figurent ceux de l’informatique et du digital. Se former au digital est nécessaire pour en comprendre les enjeux, chaque métier est impacté. L’emlyon business school a développé un certificat en marketing digital qui vous assure des compétences requises dans ce domaine. E-marketing, marketing cross canal, et SMO : ces trois modules vous donneront les clés pour étudier les comportements et prévoir les leviers à actionner. Un certificat pour valoriser de nouvelles compétences Reprendre des études n’est pas toujours envisageable. Dans ce cadre, les certificats prennent tout leur sens. Il s’agit d’une validation de compétences acquises à l’issue d’une formation souvent courte. Passer un certificat marketing digital, c’est : découvrir le champ des possibles en marketing digital l’opportunité d’avoir une autre vision de son poste, être force de proposition vis-à-vis de ses collaborateurs. Acquérir ces nouvelles compétence, c’est autant de perspectives permettant d’évoluer en interne. Définir ses objectifs et optimiser les leviers du marketing digital La stratégie digitale est-elle déjà lancée, ou votre mission est-elle de la proposer ? Prenez le temps pour réfléchir à vos objectifs professionnels : visibilité, notoriété ou conversion. Et optez pour les outils les plus adaptés pour répondre à vos objectifs : Inbound marketing, SMO, SEA… Etudier la concurrence et comprendre les attentes des consommateurs, c’est un bon moyen de trouver des idées, d’innover pour réorienter sa politique marketing et commerciale. Un certificat marketing digital en 9 jours pour aller à l’essentiel et être opérationnel Par quoi et par où commencer, comment se former rapidement ? L’emlyon business school a prévu un cursus dédié, permettant d’obtenir un certificat marketing digital. Trois modules pour comprendre les enjeux du digital, réfléchir à la stratégie de l’entreprise, et avoir les clefs pour la mettre en place. – E-marketing : les leviers d’acquisition de trafic. – La stratégie multicanal ou comment optimiser les interactions entre les différents canaux. – Tirer parti des Médias Sociaux pour augmenter sa visibilité (SMO). En 9 jours, le certificat apprend à faire une veille efficace, identifier les bons leviers, choisir les canaux et médias appropriés pour mettre en place la stratégie digitale de votre entreprise. L’assurance d’une formation de qualité et le prestige d’une école renommée L’emlyon business school fait partie du Top 3 des écoles de commerce en France. Son positionnement mixte (formation initiale et formation continue) assure un contenu pédagogique de qualité, adapté aux exigences du marché. Un intervenant spécialiste de la stratégie digitale Sylvain de Campou est professionnel du web depuis plus de quinze ans, spécialiste SEO. Initiateur du programme, il donne les clés pour chercher/trouver de l’information en ligne sur son marché et ses concurrents, faire une veille active de son secteur. Sa formation pousse à mettre en pratique chacun des sujets abordés en cours. Se remettre en question, réfléchir différemment et intégrer les trois volets : trafic, cross canal, médias sociaux. Un certificat adapté au commerce, marketing et aux entrepreneurs Toutes les personnes pouvant justifier d’une expérience professionnelle de cinq ans peuvent suivre la formation et passer le certificat marketing digital. Parmi les participants, des personnes au profil commercial ou marketing qui souhaitent acquérir de nouvelles compétences ou des dirigeants d’entreprises soucieux de leur stratégie sont souvent des bons profils pour ce certificat. En termes de format, ce certificat est décomposé en trois fois trois jours. Le public étant composé principalement de personnes en poste, les questions sont précises et les échanges constructifs. De nombreux exercices en groupe sont autant de cas pratiques. Tarif : 4 900 €HT. Pour les salariés en formation continue, possibilité de financement avec les organismes de formation. La formation peut également être prise en charge par Pôle Emploi. #Blog digital est né à l’issue de cette formation# Lorsque j’ai cherché une formation en marketing digital, je souhaitais un format court pour être rapidement opérationnelle. Le contenu m’a convaincue. J’avais des idées mais rien de précis au départ. Échanger avec les autres participants (en poste, entrepreneurs, en reconversion) et solliciter Sylvain de Campou sur des points spécifiques, m’ont permis de trouver le bon axe pour lancer mon site web. J’ai ainsi choisi de créer mon site sur wordpress, de travailler le contenu pour faire du référencement naturel, et de m’appuyer sur les réseaux sociaux pour développer la notoriété du Blog Digital . La formation en marketing digital, initialement intégré au Executive Master Management Général (PGM), est accessible indépendamment. Sources : Etude Ernst & Young Classement écoles de commerce 2017 Certificat Marketing digital Article rédigé par Anne-Claire Girard sur le site blogdigital.fr
L'environnement économique d'aujourd'hui requiert des profils de manager différents, agiles, inspirants. Leurs missions vont au-delà de la seule application des directives provenant du sommet. Ils se muent en leaders à l’affût de la moindre opportunité à saisir pour progresser individuellement et collectivement. Plus que jamais leur légitimité se construit dans leurs actes.
Qui sont les managers "early makers" ? Femme ou homme d'écoute, toutes les situations sont pour eux riches d'informations. Ils vont au-delà des apparences pour s'attacher au sens profond des choses. Ils savent exploiter les signaux faibles en tirant les ficelles jusqu'à l'émergence de la solution. Ces facultés leur confèrent une capacité à prendre un temps d'avance. Leurs compétences multiples les dotent d'un esprit d'analyse affûté. Ils savent relier des sujets à première vue sans rapport pour en tirer des conclusions pragmatiques. Conclusions qu'ils transforment en actions. Les managers "early makers" sont des caméléons. Adaptables, ils sont capables de puiser dans leur vaste expertise au gré des sujets abordés. Ils ajustent sans cesse leur posture pour tirer profit des nouvelles donnes façonnées par les multiples ruptures. Pourquoi se former en ligne ? RE1902_0568_min On ne devient pas un "early maker" du jour au lendemain. Un fort investissement personnel est nécessaire afin d'acquérir le champ de compétences indispensables pour obtenir une telle capacité d'analyse et d'action. Or pour bon nombre d'entre nous, il est bien souvent difficile d'intégrer une formation de longue durée dans son parcours professionnel. La formation en ligne présente l'avantage de laisser à chacun le soin de s'organiser dans son apprentissage. Elle possède, en outre, une autre vertu qui fait sens avec l'esprit "early maker" : apprendre et faire simultanément. En effet, les aller-retour incessants entre acquisitions de savoir, savoir-faire et savoir-être d'une part et mise en pratique d'autre part, facilitent l'assimilation opérationnelle des concepts. Fort de ce constat, emlyon business school propose un parcours baptisé PGM ONLINE. Ce cursus permet à chaque manager de renforcer son expertise technique et comportementale pour devenir un "early maker". Ce programme se décline en certificats que l’on peut souscrire séparément. Il vous est donc possible de travailler des expertises ciblées selon vos besoins ou encore moduler à votre rythme l'acquisition des différentes compétences. Les expertises des managers "early makers" Outre les compétences indispensables pour animer une équipe, ces profils de manager détiennent des aptitudes dans des domaines d'expertises connexes leur conférant une approche globale des situations de leur quotidien. Ces domaines sont notamment : La stratégie d'entreprise Les managers font partie intégrante des processus stratégiques. Ils possèdent la connaissance terrain indispensable pour aider à définir une stratégie viable, concrète, connectée avec les réalités des marchés. Les "early makers" comprennent tout à fait la trajectoire "business" empruntée par leur entreprise. Ils sont capables de définir au niveau de leur unité une stratégie innovante qui s'insère dans le cadre global. Mieux encore, ils sont force de proposition dans l'élaboration du business model de l'entreprise. L'emlyon business school a intégré ces compétences dans le certificat nommé "Stratégie d’entreprise et disruptions". La relation client Plus que jamais, le client est au cœur de l'entreprise. Avec les réseaux sociaux et les autres moyens de communication, il devient plus informé, plus exigeant. Les managers "early makers" ont vite compris l'importance de la relation client. Ils possèdent plus qu'une fibre marketing, de véritables compétences pour mettre en œuvre à leur niveau toutes les actions nécessaires à une expérience client optimale. Ils ont conscience qu'ils jouent un rôle clé dans les processus clients. Toutes les interactions entre l'entreprise et sa clientèle sont des opportunités pour apporter encore plus de valeur ajoutée. Encore une fois, les managers sont en première ligne pour répondre à des besoins exprimés ou latents. La différentiation se joue souvent à ce niveau, sur ces détails que, très souvent, seuls les managers les plus à l'écoute savent déceler au milieu du bruit ambiant. Les opportunités client sont développées dans le certificat online "Expérience et relation client". La transformation digitale Le digital révolutionne les organisations. C'est un fait avéré. Il n'est plus possible d'ignorer cette tendance profonde au risque de se faire sortir de ses marchés. En premier lieu, le fonctionnement des organisations doit se repenser pour un mode plus collaboratif. Le manager est en première ligne pour insuffler ces nouveaux principes et accompagner ses équipes dans ce changement. Le "early maker" saisit tout le potentiel offert par un fonctionnement plus ouvert, plus participatif pour rendre son service ou son unité toujours plus performante. Une performance qui repose sur une agilité accrue, une véritable capacité à appréhender les nouvelles situations avec succès. En outre, il mesure les enjeux du Big Data et les applications concrètes qu'il peut en tirer dans son champ d'action. Il est acteur et moteur pour définir et déployer de nouveaux outils offerts par le digital afin d’aider son équipe à exceller. Compétences à développer à travers le certificat online "Transformation digitale". Le pilotage du capital humain L’humain est au cœur du métier de manager. Le "early maker" consacre la majeure partie de son temps à son équipe. Il a parfaitement intégré combien le bien-être et l'implication de ses collaborateurs sont des facteurs clés de succès. Il utilise activement et pleinement les outils RH à sa disposition, comme les entretiens annuels d’évaluation, pour tirer vers le haut chaque membre de son équipe. En parallèle, il développe l'intelligence collective pour capitaliser sur les compétences de chacun au service des objectifs communs. Pour muscler votre expertise dans ce domaine, retrouvez le certificat online "Pilotage du capital humain". Le Executive Master Management Général Online en 5 points : Le profil des participants : le programme est adapté aux personnes disposant d’un temps limité en présentiel ou ayant des périodes d’activité très variables. La durée : Le parcours représente 326 heures de formation, comprenant les compétences à développer, les Early Maker Project et les Master Class. Ces 326 heures peuvent se réaliser sur une durée flexible selon vos besoins, de 8 mois à 3 ans. Vous définissez vous-même votre rythme. Le calendrier des sessions : plusieurs rentrées sont proposées pour s’adapter à tous les besoins. Les prérequis : Un niveau d’étude Bac+2 (ou Bac avec une Validation des Acquis Professionnels) et 5 ans d’expérience professionnelle minimum sont nécessaires pour candidater au PGM online. Comment postuler : contactez nos Conseillers en Formation, qui vous accompagneront dans votre démarche de candidature. btn-en-savoir-plus Article écrit en collaboration avec Manager GO! par Raphaële Granger
Un rôle clé dans la démarche stratégique Le succès d’une stratégie ne dépend pas seulement des réflexions et des décisions prises du haut de la pyramide hiérarchique. Le déploiement de la stratégie est un élément clé pour assurer l’atteinte des objectifs à long terme. Il passe par les managers qui impulsent les nouvelles orientations et déclinent les axes stratégiques à leur niveau. Ils sont les acteurs de la transformation de l’entreprise. Pour assurer cette mission, 4 prérequis sont indispensables : Être capable de décrypter la stratégie de l’entreprise Il est fondamental que les managers intègrent complètement la stratégie retenue, sa finalité, la direction choisie et les chemins pour y parvenir. Sans cela, le risque est grand de voir un déploiement divergeant et au final, une mise en œuvre défaillante. Les managers doivent saisir le sens des orientations stratégiques pour les traduire en actions concrètes sur le terrain. Cette capacité de compréhension requiert des compétences pointues : la connaissance des fondamentaux d’une démarche stratégique d’une part et de ses déclinaisons dans le système de management, d’autre part. En particulier les liens qui unissent la stratégie d’entreprise et la stratégie marketing, ainsi que l’imbrication des différents niveaux d’objectifs. Doté de cette grille de lecture, le manager est ainsi en situation de produire des actions locales alignées sur les objectifs stratégiques. visuel-article-stratégie-finance-manager Savoir évaluer la valeur créée La pertinence des actions à mener se mesure également au travers du prisme de la création de valeur. Il incombe au manager de maîtriser les mécanismes financiers pour prendre les bonnes décisions. Il est ainsi outillé pour comparer chaque option à la lumière de son potentiel de création de valeur et apprécier, au final, si les objectifs sont bien tenus. Savoir conduire le changement La mise en œuvre d’une stratégie implique des changements individuels et collectifs : de nouvelles façons d’accomplir des tâches, de nouveaux comportements à adopter, la conquête de territoires jusque-là inconnus… La mise en œuvre de la stratégie peut nécessiter des changements structurants comme des changements d’organisation, des changements de business model… Pour accompagner et mener son équipe dans ce type de transition, le manager se doit de densifier ses compétences en matière de conduite de changement. Il est ainsi capable de mettre son collectif en ordre de marche pour migrer d’une situation actuelle à une situation projetée. Savoir piloter la performance La mise en œuvre d’un plan d’action nécessite une évaluation permanente des résultats à travers des outils de pilotage. Cette phase est très importante, car à quoi bon mener une analyse approfondie, prendre des décisions engageant l’entreprise sur le long-terme, si les actions ne font pas l’objet d’un pilotage rigoureux ? Tout commence au plus près du terrain sous la responsabilité du manager. Il est donc fortement conseillé à ce dernier de s'approprier les outils de mesure de la performance afin de suivre les résultats produits sous son périmètre de responsabilité. Comment acquérir ces compétences ? Pour tous les managers ou futurs managers souhaitant développer leurs compétences dans le cadre d’un programme diplômant (Bac +5), emlyon business school propose le Executive Master Management Général accessible sur les campus de Paris ou de Lyon. 2 rentrées par an, en septembre et en février de chaque année. Aussi, pour enrichir les savoirs et savoir-faire des managers dans le déploiement d’une stratégie d’entreprise, emlyon business school a conçu le certificat « Stratégie et finance pour managers ». La finalité de cette formation est de doter les managers des derniers outils et méthodes pour décrypter la stratégie et piloter la performance de l’entreprise dans un contexte de changement. visuel-diplome-emlyon-business-school-2018 Les objectifs du certificatsont : ● Outiller les managers pour décrypter la stratégie d’entreprise et la déployer ● Donner du sens et contribuer à la création de valeur à travers ses décisions et développer l’expérience client ● Piloter la performance et mesurer l’impact financier de ses actions Le programme est construit autour de 5 axes : ● Introduction à la stratégie ● De la stratégie à la stratégie marketing, à la mise en oeuvre opérationnelle ● Finance au service de la décision ● Mise en oeuvre de la stratégie et du changement ● Piloter la performance L’enseignement repose sur des exercices pratiques pour immerger le manager dans des problématiques concrètes. Managers ou nouveaux managers ? Ces formations (certifié par emlyon business school – Top 3 des business schools en France / Le Point 2017) vous apporteront confiance et crédibilité dans votre rôle de manager. Le certificat et le diplôme sont éligible CPF (Compte Personnel de Formation) et finançable par votre entreprise. Plus d’informations ici
Développer le sens de l’innovation, gagner en agilité et même fidéliser ses talents : permettre à ses collaborateurs d’agir en entrepreneurs au sein même de l’entreprise ne manque pas d’avantages ! Mais l’intrapreneuriat n’est pas une évidence pour toutes les entreprises et nécessite parfois un changement culturel au sein de l’organisation. Pour répondre à ces nouveaux enjeux, emlyon business school propose des programmes sur-mesure autour de l’intrapreneuriat basés sur l’apprentissage par l’action.
Transformer l’entreprise de l’intérieur par l’intrapreneuriat Des produits aussi emblématiques que le post-it (chez 3M) ou la Playstation (chez Sony) sont nés via l’intrapreneuriat ! Chez Google, les salariés sont encouragés à consacrer 20% de leur temps de travail à des projets ne figurant pas sur leur fiche de poste. Pas de doute, l’intrapreneuriat a le vent en poupe. C’est logique, car cette démarche intervient au carrefour de deux aspirations : les grandes entreprises sont constamment en quête d’innovation et de « désilotage », quand les collaborateurs ont besoin de projets qui ont du sens pour eux. Autant les laisser développer leurs propres idées ! L’intrapreneuriat ne manque pas d’avantages. Pour l’entreprise, il s’agit de casser les silos traditionnels, de gagner en agilité et de bénéficier de nouvelles innovations. Côté collaborateurs, les bénéfices sont aussi très importants : ils gagnent en autonomie, en compétence et en créativité, et inventent les produits et services de demain. Sans risque, puisqu’ils peuvent compter sur les moyens, les ressources et le réseau d’un grand groupe ! Challenges stimulants, risque limité : d’après une étude Deloitte de 2017, 72% des sondés se disent séduits. Cette démarche gagnante-gagnante permet à l’entreprise de suivre le tempo des start-up, avec une meilleure fidélisation de ses talents, tout en développant son attractivité. C’est aussi un excellent moyen pour redessiner et renforcer la coopération entre des collaborateurs évoluant dans différentes strates de l’entreprise. L’engouement se traduit en chiffres : selon l’étude Deloitte, 88% des intrapreneurs interrogés souhaiteraient renouveler l’expérience et 66% assurent que les projets développés ont été adoptés. Faire naître des intrapreneurs intrapreneuriat Conscient de ces nouveaux enjeux, emlyon propose aux entreprises des programmes sur-mesure qui offrent aux collaborateurs la possibilité de faire émerger de nouvelles idées et de les concrétiser au sein des organisations. Si c’est en forgeant qu’on devient forgeron, alors c’est en entreprenant qu’on devient innovant. Tout au long de la formation, les participants travaillent par petits groupes sur des projets en phase avec les grandes orientations stratégiques de l’entreprise. L’apprentissage par l’action (« action learning ») est au cœur du processus éducatif : 70 % de la formation est orientée vers l’action, en complément des 10% d’apports théoriques dispensés par des experts de haut niveau. Les 20% restants prennent la forme de « feedbacks » individuels et collectifs conduits par le responsable pédagogique du programme ou un coach emlyon. Car le principe même de l’entrepreneuriat, c’est d’avancer pas à pas, en apprenant de ses erreurs. A l’issue du programme, des propositions d’actions concrètes seront portées par les collaborateurs auprès de la direction générale qui décideront de poursuivre et de concrétiser les projets. Vecteur d’innovation à plusieurs niveaux de l’entreprise, la démarche intrapreneuriale place les collaborateurs au centre de la dynamique de transformation des entreprises. « Break Through » : la mue du géant pharmaceutique par l’intrapreneuriat De nombreuses entreprises de secteurs variés ont ainsi fait confiance à emlyon pour les accompagner dans la mise en place de programmes d’intrapreneuriat. Parmi elles, Bristol-Myers Squibb. Chaque année depuis 2013, la filiale française du géant biopharmaceutique propose à ses collaborateurs un programme de développement des compétences basé sur l’intrapreneuriat, élaboré conjointement avec emlyon. Baptisé « Break Through », ce parcours entend « percer » les silos, en renforçant agilité et innovation chez les collaborateurs. Concrètement, chaque promotion, composée d’une vingtaine de managers, travaille tout au long de l’année sur un thème défini en phase avec les trois piliers stratégiques de l’entreprise : excellence opérationnelle, connectivité et esprit pionnier. Répartis en groupes de six, les collaborateurs sont invités à présenter un projet devant le Comité de Direction, qui sera mis en application dans l’entreprise à l’issue du programme. Tout au long de l’année, les participants suivent des modules stratégiques et des ateliers pratiques sur l’innovation dans l’entreprise, pour les aider à répondre à la problématique business définie en amont. Depuis la mise en place de « Break Through », plusieurs idées présentées dans le cadre du programme ont déjà été couronnées de succès : la deuxième promotion a développé une ambitieuse plateforme d’Open Innovation, qui a déjà permis à 10% des idées émises d’être incubées dans l’entreprise. De son côté, la promotion 2015 a été à l’initiative du programme VIK-E (Victory in Innovation for Kids- electronic). Il permet aux jeunes malades du cancer, placés en chambre stérile, de participer à leur vie familiale grâce à des robots de télé-présence. Cette année, « Break Through » a fait des émules avec le lancement du programme « Break Through Terrain » dédié aux talents issus des métiers de terrain (forces de vente, médical, accès marché...). Un bel hommage rendu au théoricien du management Peter Drucker : « La raison d’être d’une organisation est de permettre à des gens ordinaires de faire des choses extraordinaires ».