Quand on lui demande pourquoi il a choisi une carrière dans le basket, Gary nous rappelle tout de suite que les parcours ne sont pas faits que de choix et de plans bien huilés. ”J’étais asthmatique. Mon docteur m’a conseillé de faire un sport. Dans ma famille, on était basket, du coup j‘ai fait du basket”. Une carrière qui débute donc sur une contrainte, une adaptation. Et pourtant une carrière riche d’opportunités et de défis relevés : après des débuts en Guadeloupe, sa terre natale, et après avoir fréquenté 8 clubs avant de poser ses valises en 2018 au Paris Basketball, Gary suit depuis septembre l'Executive Master Management Général (PGMO), proposé par emlyon business school. A 32 ans, il revient avec nous sur son parcours et ses rebondissements, sur ce qu’il a pu tirer de ces expériences, et sur l'Executive Master Management Général Online qu’il a débuté en septembre 2019 et pour lequel optent beaucoup de sportifs de haut niveau.
Quand on lui demande pourquoi il a choisi une carrière dans le basket, Gary nous rappelle tout de suite que les parcours ne sont pas faits que de choix et de plans bien huilés. ”J’étais asthmatique. Mon docteur m’a conseillé de faire un sport. Dans ma famille, on était basket, du coup j‘ai fait du basket”. Une carrière qui débute donc sur une contrainte, une adaptation. Et pourtant une carrière riche d’opportunités et de défis relevés : après des débuts en Guadeloupe, sa terre natale, et après avoir fréquenté 8 clubs avant de poser ses valises en 2018 au Paris Basketball, Gary suit depuis septembre l'Executive Master Management Général (PGMO), proposé par emlyon business school. A 32 ans, il revient avec nous sur son parcours et ses rebondissements, sur ce qu’il a pu tirer de ces expériences, et sur l'Executive Master Management Général Online qu’il a débuté en septembre 2019 et pour lequel optent beaucoup de sportifs de haut niveau. De la Guadeloupe à Paris, en passant par les USA Gary a débuté sa carrière à 13 ans, plus tardivement que souvent pour les sportifs de haut niveau. “Au début, j’ai détesté ça : j’étais grand certes, mais j’avais aucune notion du basket, j’étais en retard sur les autres joueurs”. 3 mois après ses débuts dans le basket, il intègre le pôle de Guadeloupe, antichambre des centres de formation dans le basket. ”T’es pas très bon, mais t’es grand. On va te prendre”, lui indique le responsable du pôle, qui devait compenser la blessure d’un grand joueur. Pendant 2 ans, Gary passe sa semaine aux Abymes pour apprendre le basket et suivre les cours au collège. Il ne rentre dans sa famille que le vendredi soir, à l’autre bout de l’île. Lors d’un tournoi à Lyon, Gary est repéré par un représentant du club Cholet Basket, à l’époque l’un des meilleurs centres de formation de France. Après des sélections en équipe de France junior et espoir, il est attiré, comme beaucoup de basketteurs, par la NBA : 3 universités lui proposent des bourses, mais des problèmes d’équivalence de diplôme l’obligent à suivre une prépa de 2 ans avant de jouer. Une contrainte pour un jeune basketteur qui ne cherche qu’à jouer les compétitions. Gary retourne donc à Cholet, où il lance sa carrière professionnelle. Après 4 ans dans le Maine-et-Loire, il poursuit sa carrière dans différents clubs de Pro A ou Pro B : Poitiers, Nantes, Charleville-Mézières, Évreux Basket, Rouen, Châlons Reims, puis Nancy, pour atterrir en 2018 à Paris Basketball (Pro B), son club actuel. “J’étais seul avec moi-même” En décembre 2016, Gary se blesse en chutant. Le verdict tombe rapidement : rupture du tendon d’achille, une blessure grave, à un moment-clé de sa carrière : “C’était dur, physiquement et psychologiquement. Mais j’en retire aussi beaucoup de positif : ça m’a permis de prendre le temps, de réfléchir à la suite de ma carrière, à ce que je voulais faire après”, analyse Gary. Un challenge physique, mais aussi mental : “Lorsqu’on fait un sport collectif de haut niveau, les efforts faits individuellement sont reversés dans un moule collectif. Dans la rééducation, il n’y avait pas de collectif, pas les copains à côté, ni le public pour me soutenir. Le basket ne t’attend pas, les entraîneurs ne sont pas là pour te relancer, ils sont là pour gagner. J’étais seul avec moi-même, et c’était moi qui fixais les objectifs”. 11 mois avant de revenir sur un terrain, et encore 1 an pour revenir à son niveau initial : un combat de tous les jours donc, qui, comme une résilience, a beaucoup fait progresser Gary, à la fois dans sa pratique sportive et dans sa vision de l’après-carrière. Préparer l’après-basket Gary_Florimont(credit-Gauthier Bouret) Cette blessure lui donne l’opportunité de réfléchir à la suite de sa carrière : “J’ai toujours pensé à mon après-carrière, mais le fait de me blesser m’a mis un coup d’accélérateur. J’avais relevé un premier challenge. Il fallait que je continue sur ma lancée : j’avais besoin de légitimer mon parcours par une formation”. Avec le dispositif ”Sport compétences”, qui permet de valoriser les compétences des sportifs dans leur après-carrière, Gary réalise un bilan de compétences durant 1 an. Cet accompagnement lui permet de prendre conscience des soft-skills qu’il avait acquises, mais dont il n’était pas forcément conscient. “Cela m’a encouragé dans la démarche de matérialiser ces compétences par un diplôme”, explique Gary. Dans le cadre du dispositif “Sport compétences”, son accompagnateur lui recommande de se renseigner sur les écoles de management. Une mise en relation avec un référent d’emlyon business school l’oriente vers le programme le plus adapté, et le rassure sur l’admission. “Je pensais que les écoles de management n’étaient pas pour moi, qu’il y avait trop de critères d’entrée”, confie-t-il. (photo : Gauthier Bouret) S'entraîner, se former, et trouver le bon rythme Gary débute donc en septembre l'Executive Master Management Général Online (PGMO), qui forme des managers ou futurs managers avec un parcours 100% en ligne et des modalités adaptés à chaque étudiant. “Le gros avantage est qu’on peut étaler le programme sur 3 ans”, souligne Gary. Les débuts ont été difficiles : “Au début ça a été très dur. Il fallait se remettre dans un rythme scolaire. J’ai deux enfants en bas-âge et j’avais du mal à trouver le bon rythme. Ça a été sport ; j’ai mis aussi un peu de temps à maîtriser les outils proposés”. Puis, progressivement, il trouve le bon rythme, en suivant les webinars le soir, après les entraînements et le bain des enfants. Une nouvelle occasion de faire preuve d’adaptation : Gary est en train de valider le 3ème et 4ème certificats, et compte finir le programme en 2021. Une adaptation aussi possible grâce aux outils mis en place et à la proximité avec l’équipe enseignante : “Les profs sont toujours disponibles. L’école met vraiment les moyens pour qu’on soit mis dans de bonnes dispositions”. Stratégie d’entreprise, transformation digitale,...Gary prend plaisir à découvrir des métiers qu’il ne connaissait pas et dont l’apprentissage lui procure, en plus des compétences acquises, de la confiance : “C’est tellement enrichissant d’apprendre des nouvelles choses. Aujourd’hui je suis capable de réaliser une étude de marché ou de créer un business model, de parler avec des développeurs, comprendre comment ils travaillent”. Au-delà des compétences et de la confiance acquise, Gary rencontre également des personnes d’horizons très différents, ce qui constitue à ses yeux une grande richesse : “Le sport de haut niveau est très exigeant et nous sommes souvent dans une bulle, qui ne laisse pas trop de place à d’autres choses. Avec ce programme, on peut vraiment faire des rencontres avec d’autres personnes très différentes, et ça fait du bien !”. L'Executive Master Management Général, offre un diplôme en management (équivalent bac+5) 100% en ligne, pour maîtriser toutes les compétences d’un manager opérationnel.
Marie-Josée Bernard
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Participant à l'Executive MBA
Franck Chuzel
S’occuper des enjeux sociétaux est le moteur de Franck Chuzel. Ce chercheur, spécialisé dans les perturbateurs endocriniens et la gestion des risques, le met en œuvre quotidiennement à travers sa biotech LifeScientis. Portrait.
La rencontre qui a marqué la carrière de Franck Chuzel remonte aux années 90. Il est alors doctorant à l’INSERM et travaille sur les questions liées aux fonctions de reproduction et aux problèmes de stérilité. Avec Rhône Poulenc, il va s’intéresser alors aux perturbateurs endocriniens, ces substances chimiques tant questionnées aujourd’hui. Depuis, elles guident sa carrière au sein de grands groupes comme Aventis Cropsciences ou Bayer où il a piloté différents projets de R&D. Mais aussi auprès d’instances européennes et mondiales telles que la Commission européenne ou l’OCDE où il a représenté l’industrie et participé aux débats sur l’évaluation du risque face à ces substances. « J’ai pu travailler sur certains textes et ‘’guidelines’’ qui visent à mieux évaluer le danger. J’ai toujours aimé les projets avec des impacts sociétaux », explique Franck Chuzel. Âme entrepreneuriale Après près de 15 ans à évoluer dans les grands groupes, Franck Chuzel goûte à l’entrepreneuriat. D’abord en parallèle de ses activités professionnelles en créant avec d’autres partenaires une structure spécialisée dans l’archivage des dossiers d’homologation pour les grandes industries des sciences de la vie. « Nous avons vendu cette société en 2012. J’ai alors décidé d’arrêter ma carrière dans l’industrie. J’avais trop d’activités à gérer, les temps de décision me paraissaient trop longs. J’avais besoin de me mettre au vert », explique-t-il. Il a déjà un projet entrepreneurial en tête et s’inscrit à l’Executive MBA emlyon business school. « J’ai pu me poser, réfléchir, faire challenger mes idées dans un environnement bienveillant. Cela a confirmé mes méthodes de travail tout en me donnant des outils. J’ai aussi pu prendre le temps d‘approfondir la question du risque et de sa perception au niveau sociétal. J’ai pu réfléchir à beaucoup de projets, même si certains n’ont pas abouti j’ai fait de très belles rencontres pendant cette période », raconte Franck Chuzel. De ce break est née LifeScientis, une biotech dont l’objectif est d’améliorer à la fois l’efficacité et la sécurité des produits issus des industries des sciences du vivant. Elle les accompagne, d’une part, dans l’évaluation du danger et du risque toxicologique via une activité de consulting. Et d’autre part, son activité de R&D conçoit et développe des solutions d’encapsulation de molécules (médicaments, ingrédients, arome ou encore parfum), avec pour objectif d’être plus respectueux de l’Homme et de son environnement grâce à des procédés de chimie douce et/ou issus de la chimie verte. « Nous sommes là pour apporter des solutions avec des ingrédients moins toxiques afin de réduire le danger et le risque d’utilisation. On s’oriente donc vers la chimie verte et les produits biodégradables. C’est une façon de répondre aux enjeux sociétaux, de faire notre part, comme le colibri », détaille Franck Chuzel. Passerelle entre le public et le privé Basée à Grasse, la société LifeScientis collabore avec des PME et des ETI, mais aussi avec des start-up. La biotech a également à cœur de nouer des partenariats de recherche avec les universités, comme celle de Nice Sophia Antipolis, afin de faire le pont entre la recherche fondamentale et appliquée. « Public et privé sont deux mondes qui se comprennent mal, mais nous arrivons à trouver des modes de collaboration plus ouverts. Il est vrai que c’est parfois plus simple dans les pays anglo-saxons. Mais les questions d’efficacité des traitements, de toxicologie, et de risque sont complexes. Seul, on ne peut pas faire grand-chose. Il faut agréger les expertises pour amener de la diversité dans les points de vue et pour faire bouger les lignes », observe Franck Chuzel. Agile, la jeune entreprise s’appuie sur l’expérience de son fondateur, acquise auprès des grands groupes, et se développe vite. Trois ans après son lancement, elle compte 5 chercheurs salariés. Franck Chuzel s’apprête à ouvrir son capital aux membres actifs de sa direction. Et prépare une levée de fonds prévue d’ici à deux ans. « J’aimerais également reprendre la représentation auprès des organisations internationales. Le rôle de chercheur est primordial dans ces débats, nous sommes là pour apporter de la pédagogie avec les informations dont on dispose. En matière de dangers et de risques, il y a des questions encore sans réponses aujourd’hui et c’est du débat que sortent les futurs modes de fonctionnement », souligne l’entrepreneur. Une façon supplémentaire d’être un colibri. L’Executive MBA emlyon business school, l’allier de la progression de carrière Progresser au sein de son entreprise, augmenter sa rémunération, se tourner vers l’entrepreneuriat… Suivre l’EMBA emlyon business school est une garantie d’évolution professionnelle significative. Le diplôme a ainsi été classé 5e mondial par le Financial Times, en termes de progression de carrière en 2018. Proposé en fast-track ou en part-time, il s’adresse aux « makers » : dirigeants et cadres expérimentés qui portent un projet ou cherchent à se challenger en acquérant de nouvelles compétences autour des enjeux business d’aujourd’hui. L’Executive MBA approfondit aussi bien la finance, la stratégie, la prise de décision, le management, les data que le développement personnel et la posture. Pour plus d'information, téléchargez la plaquette
Participant Executive MBA
Florian de Joannès
Céline Topelet, diplômée du Executive Master Management Général nous parle de son expérience au sein de la formation et de ce qu'elle lui apporte encore aujourd'hui : « On m’a souvent dit que je ne faisais rien comme tout le monde. Pas vous ? On dit que je suis Madame optimiste, que j'aime croquer la vie à pleine dents. D'ailleurs : j’ai commencé à travailler très jeune, et j’ai rapidement fondé une famille. Dans mon travail on m’a souvent poussée à aller plus loin, jusqu’au jour où on m’a suggéré une formation d'exception, j’ai décidé de redonner du sens à ma vie professionnelle, enfin, à ma vie tout court finalement. Ce programme m’a permis de prendre conscience de mes forces et d’être reconnue. Mais si je ne devais retenir qu’une chose de cette aventure, ce sont les liens indéfectibles qui se sont créés au sein de ma promotion et le soutien professionnel que l’on s’apporte encore aujourd’hui. Mes emliens comme j'aime les appeler. Il sont une véritable force dans ma vie professionnelle et personnelle. Je suis Céline, diplômée du Executive Master Management Général » DÉCOUVREZ LE Executive Master Management Général Le diplôme Executive Master Management Général d’emlyon business school permet à des managers ou futurs managers de prendre de développer leur compétences en management et prendre de la hauteur. Ce diplôme est aussi une porte ouverte à l'entrepreneuriat. L'école comprend l'un des meilleurs incubateurs de France. La formation a plusieurs avantages : Renforcez votre posture et développez vos compétences comportementales Stimulez votre créativité dans le pilotage de vos collaborateurs Prenez du recul et gagnez en esprit critique pour favoriser votre agilité et votre réactivité dans un monde en constante mutation Obtenez un diplôme Bac + 5 pour gagner en légitimité sur votre poste ou propulser votre parcours professionnel Managers, nouveaux managers ou futurs managers ?
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Que ce soit pour passer un cap professionnel ou faire le point sur sa carrière, l’Executive MBA (EMBA) d’emlyon business school ouvre de nouvelles perspectives à ses participants. Parmi elles : l’entrepreneuriat. Exemple avec Sébastien Beauchêne, qui s’est tourné vers la reprise d’entreprise après son passage à emlyon business school.
Que ce soit pour passer un cap professionnel ou faire le point sur sa carrière, l’Executive MBA (EMBA) d’emlyon business school ouvre de nouvelles perspectives à ses participants. Parmi elles : l’entrepreneuriat. Exemple avec Sébastien Beauchêne, qui s’est tourné vers la reprise d’entreprise après son passage à emlyon business school. sebastien-beauchene-EMBA-emlyon Responsable de production dans l’automobile, Sébastien Beauchêne a évolué et progressé une dizaine d’années dans des ETI internationales. Tout le prédestinait à devenir directeur général et l’occasion s’est présentée en 2009. Une belle opportunité, qu’il décide de relever mais pour laquelle il souhaite renforcer ses compétences. « J’avais besoin de me mettre à niveau en finance. J’ai donc choisi l’EMBA d’emlyon, une formation que j’avais en tête depuis quelques années », explique cet ingénieur de formation. Pendant deux ans, il met à jour ses connaissances et en acquiert de nouvelles, pour se préparer à une prise de fonction qui n’interviendra finalement pas puisque son dirigeant de l’époque se ravise. Rebond rapide et esprit maker Sébastien Beauchêne rebondit rapidement dans un groupe canadien en tant que directeur de site. « L’Executive MBA m’a clairement permis d’avoir ce poste. C’est un must have pour un groupe anglo-saxon », ajoute-t-il. Un an plus tard, il est rappelé pour prendre la direction d’usine puis la direction générale chez son précédent employeur. La boucle est bouclée. Mais son passage au sein d’emlyon a été un déclic. Sébastien Beauchêne a touché du doigt l’entrepreneuriat, l’esprit maker qu’il cultivait depuis toujours sans vraiment s’autoriser à le mettre en pratique. Il a d’ailleurs suivi des modules autour de la reprise d’entreprise pendant le programme. « L’EMBA a été un catalyseur entrepreneurial », résume-t-il. Rachat d’entreprise Sa réflexion mûrit et il décide de se lancer en 2019 dans une reprise d’entreprise. Son choix se porte sur une serrurerie métallerie, SML, située dans la Loire. « Cette rencontre a été un coup de cœur pour le savoir-faire, le travail du métal et les process utilisés. J’avais aussi la volonté de sortir de l’univers de l’automobile et le BTP représentait un challenge très intéressant », souligne Sébastien Beauchêne. L’entreprise compte alors 11 salariés et réalise 2 millions d’euros de chiffre d’affaires. Il s’appuie sur les enseignements de l’Executive MBA, notamment autour du diagnostic et de la valorisation, mais aussi sur un club de repreneurs, le CLENAM. « Ces moments d’échange sont précieux et créent une passation, une transmission de savoir-faire autour de la reprise d’entreprise », détaille-t-il. La clôture du deal prend 14 mois et il devient dirigeant d’entreprise en pleine crise sanitaire. Ce contexte ne l’empêche pas de performer. Deux ans après le rachat, SML emploie 16 personnes et réalise 3 millions d’euros de chiffre d’affaires. « C’est un projet très épanouissant, je me régale. Même si la période est difficile, je suis heureux de la vivre au sein de mon entreprise », conclut Sébastien Beauchêne.
Diplômés de l'Executive MBA
Laurencia Musol et Sébastien Jonard
Programme ambitieux et classé TOP 5 des meilleurs Executive MBA en France (Financial Times 2022), l'Executive MBA d'emlyon business school est un véritable accélérateur de parcours professionnels. Les participants développent leur capacité à décider et diriger dans un monde complexe. C'est pour ces raisons que Laurencia Musol et Sébastien Jonard se sont lancés dans l'aventure en 2021. Ils reviennent sur deux années intenses et riches, qui ont bouleversé leur trajectoire professionnelle.
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Diplômé de l'Executive Master
Cédric Lihard