Changer d’orientation est une volonté partagée par nombre d’entre nous. Trouver le courage et les moyens d’y parvenir est souvent ardu. Reprendre ses études est une méthode pour atteindre cet objectif. Cyril Deshaires a choisi cette voie, en rejoignant l’Executive MBA d’emlyon business school fin 2018. Zoom sur ce parcours inspirant.
Changer d’orientation est une volonté partagée par nombre d’entre nous. Trouver le courage et les moyens d’y parvenir est souvent ardu. Reprendre ses études est une méthode pour atteindre cet objectif. Cyril Deshaires a choisi cette voie, en rejoignant l’Executive MBA d’emlyon business school fin 2018. Zoom sur ce parcours inspirant. Des coups durs nous en connaissons tous. Ils peuvent se révéler de véritables opportunités. Ce fut le cas pour Cyril Deshaires. Arrivé en 2007 au sein du groupe Carrefour, ce quarantenaire y a passé 11 ans à différents postes, pour les marchés de la maison et de la culture. Jusqu’au jour où un plan de départ volontaire a changé sa vie. Accepter était une évidence pour lui, considérant cela comme une chance de s’ouvrir à d’autres horizons. Un acte courageux qui lui a valu de bénéficier d’un financement pour se lancer dans l’Executive MBA d'emlyon business school, à Paris. “J’y pensais depuis un moment comme moyen d’accéder au secteur du digital”, avoue-t-il. Du concret partagé Fin 2018, l’aventure a débuté au sein d'emlyon business school en full time, fast track, full english, contrairement aux étudiants de sa promotion, en poste, donc en part time. “Ma situation me permettait de suivre l’Executive MBA à temps plein ; par conséquent en une seule année. Une chance puisque j’ai ainsi pu avancer très vite.” Et ajoute : “Mon seul regret : je ne pouvais pas voir les résultats concrets des travaux de groupe n’étant pas en entreprise. En revanche, travailler et échanger avec des participants issus d’univers professionnels très variés, qui pouvaient, eux, mettre en application les business cases, était extrêmement enrichissant et valorisant”. La réalité terrain portée par le master est un de ses points forts. Cyril Deshaires a particulièrement apprécié de partager des problématiques communes avec ses pairs durant son cursus. “Une belle opportunité de se nourrir des expériences de chacun”, précise-t-il Un tournant opéré Gratifier de tous les enseignements proposés à emlyon business school, il a pu opérer le virage qu’il désirait. Et depuis deux ans, il est responsable du développement commercial pour une marketplace du Crédit Mutuel Alliance, du nom de Le kiosque à service. Une plongée dans le monde du digital dont il rêvait ! “Mon parcours à l’Executive MBA emlyon business school a clairement accéléré le changement. Quand on passe plus de dix ans dans un domaine d’activité, il est souvent difficile d’intégrer un nouveau secteur.” Cette transformation passe par un travail sur soi. “Ce cursus permet de bénéficier d’un parcours de développement personnel et de révéler mon leadership. Ma posture s’est affirmée. J’ai également pu apprendre à travailler avec d’autres générations, ce qui est précieux au quotidien dans mon nouveau poste”, souligne-t-il. S’embarquer dans une formation en pleine carrière est une marque de courage qui peut être un argument face à un recruteur. Comme il le précise : “S’investir dans un Executive MBA à 39 ans démontre une capacité d’adaptation qui peut faire la différence dans le monde professionnel”. Et conclut : “Sans parler de la renommée d'emlyon business school. Une belle carte de visite !” Cyril Deshaires peut également jouer une autre carte grâce à l’option “L’intrapreneuriat” qu’il a choisi d’ajouter à son parcours à emlyon business school. Un atout supplémentaire qui lui permettra probablement de faire la différence dans sa carrière. Vous aussi vous souhaitez, comme Cyril, vous transformer et changer de vie professionnelle ? Prenez un rendez-vous avec notre équipe de Recruitement Manager afin de leur présenter et valider la faisabilité de votre projet : Prendre un rdv téléphonique
Créer un business respectueux de l’environnement et des Hommes tout en étant rentable et performant. C’est possible. Et c’est même l’avenir des entreprises. Explications avec Alain Fargeon, dirigeant de Jon Spakers et responsable pédagogique du certificat "Faire converger business et impact positif" issu de l’Executive MBA à emlyon business school.
Créer un business respectueux de l’environnement et des Hommes tout en étant rentable et performant. C’est possible. Et c’est même l’avenir des entreprises. Explications avec Alain Fargeon, dirigeant de Jon Spakers et responsable pédagogique du certificat "Faire converger business et impact positif" issu de l’Executive MBA à emlyon business school. Qu’est-ce que l’impact positif en matière de business ? Alain Fargeon : c’est le fait de créer un business respectueux de l’environnement, des Hommes, de la nature, de la planète. Il ne s’agit pas seulement de limiter son impact négatif ou de le compenser. Mais de maximiser son impact positif avec une activité qui sert l’intérêt et le bien commun. Tout en étant rentable. Pourquoi les entreprises doivent-elles s’intéresser à cet impact positif ? De nombreux défis se présentent à nous : la protection de l’environnement, le changement climatique qui impliquera des crises migratoires, l’inclusion, le respect de la biodiversité… Tous ces changements ont un impact sur les Hommes et au final sur l’économie. Les réglementations vont se durcir, les marchés seront chahutés et les entreprises qui n’ont pas réfléchi à ces questions avant seront remises en question. Demain, la valeur d’une entreprise se mesurera à son impact positif. Des investisseurs se basent déjà sur ces indicateurs dans leurs choix. Ce virage est à prendre. On parle d’économie régénérative. Une entreprise qui se contente de limiter ses impacts négatifs, c’est déjà bien, mais elle est déjà très en retard. Cela implique de changer de business model pour certaines, comment faire ce pivot ? En effet, elles doivent challenger leur business model pour faire autrement. La difficulté, pour de nombreuses PME, est de sortir la tête du guidon pour dédier du temps et des ressources à l’exploration. Tout en préservant l’activité actuelle. Il faut challenger son rapport au temps, se projeter sur un horizon lointain et se donner les moyens d’explorer et le droit de se planter. Certaines ont pris conscience de la nécessité de le faire mais ne savent pas par où commencer. D’autres sont encore sceptiques. La durabilité et l’impact positif sont le fruit d’un cheminement personnel. Les discours ambiants anxiogènes ne donnent pas toujours envie de se lancer … C’est vrai que les messages catastrophiques n’incitent pas à l’action. Mieux vaut se concentrer sur les approches inspirantes, les initiatives positives qui font bouger les lignes. Et il y en a ! Elles montrent que cela est possible et surtout que c’est reproductible. Pouvez-vous nous en citer ? La MAIF a, par exemple, valorise les pièces automobiles recyclées. Les assurés peuvent ainsi se tourner vers des pièces de voiture issues du recyclage et d’un réseau de recycleurs agréés au moment de la réparation. Les particuliers font ainsi des économies et une filière vertueuse s’organise autour du recyclage automobile. Cela évite de surproduire des pièces automobiles alors que les casses sont pleines de matériaux encore utilisables. Le business model est challengé progressivement. Est-ce plus facile d’intégrer l’impact positif dès la création de l’entreprise ? Oui, d’ailleurs les start-up sont nombreuses à prendre en compte leur impact dès leur lancement. J’accompagne ainsi une start-up qui fabrique des vêtements de confort pour les personnes qui suivent une chimiothérapie. Elle s’est, dès sa création, appuyée sur l’économie circulaire afin de donner une deuxième voire une troisième vie aux vêtements. Cela implique de proposer un service et une expérience clients différents pour accompagner le traitement dans la durée. C’est d’autant plus intéressant que la réglementation se met déjà en place sur ces sujets. La loi contre le gaspillage et l’économie circulaire va, à terme, imposer ce type d’approche. Le statut d’entreprise à mission est-il un signe encourageant ? Bien sûr, comme la RSE, cela va dans le bon sens. Ce statut permet d’écrire et de suivre les objectifs de l’entreprise, avec un comité qui vérifie que la mission est bien définie. Mais je ne crois pas que ce soit indispensable. On n’a pas besoin d’être une entreprise à mission pour faire attention à son impact et décider de s’inscrire dans la recherche de bien commun. Par qui ce changement doit-il être incarné dans les entreprises ? On a tous une part de responsabilité. Dirigeants, managers, investisseurs, clients, salariés… À travers le Certificat "Faire converger business et impact positif" à emlyon business school, nous participons à initier ce changement de mindset chez les managers de demain. Ils peuvent ensuite sensibiliser leurs collaborateurs et leur direction à ces questions, leur montrer que oui, c’est possible. Et décrypter les enjeux qui se présentent. Les leaders de demain doivent être le moteur de ce monde qui bouge. Gare à l’attentisme. Il ne se passera pas quelque chose de magique. Comment s’organisent les enseignements au sein du certificat ? Nous sensibilisons les participants afin qu’ils aient cette prise de conscience, qu’ils repensent leur rapport à la nature et à l’autre. Nous les aidons à identifier et analyser des modèles à impacts, à se raccorder au vivant et à avoir une approche régénérative de l’économie, de la société et de la planète. Une journée d’hackathon est également organisée en partenariat avec plusieurs ONG ou associations sur nos défis de société (climatiques, biodiversité, crise migratoire, modèles économiques régénératifs, inclusion…). Ils découvrent des démarches de sensibilisation à travers le journalisme de solutions, la capacité à imaginer des futurs souhaitables avec le design fiction, des démarches d’innovation centrées sur l’humain avec le design thinking... Ils développent ainsi leur coefficient empathique, systémique, et éthique. Une nouvelle façon de voir le monde et de devenir des activistes du changement pour inspirer le passage à l’impact. Téléchargez la plaquette
Marc Fraix est directeur de site dans le secteur de l’industrie. Malgré trente années d’expérience dont plusieurs à des postes de direction, ce professionnel belge a choisi en 2014 de faire une formation généraliste en management conçue spécialement pour les dirigeants. Marc Fraix a opté pour le certificat diriger une activité (DUA) à emlyon business school. Il nous confie comment ce programme a influencé sa façon de manager et plus précisément ce que le DUA lui a apporté à titre professionnel et personnel. Ecrit par Stéphanie Guzman Pouvez-vous nous résumer votre parcours professionnel ? Après des études d’ingénieur civil mécanicien en Belgique, j’ai démarré ma vie professionnelle dans le centre de recherche d’un grand groupe chimique belge. Pendant 10 ans, j’y ai fait de la conception de machines puis du développement produit dans le secteur de la plasturgie (films et plaques), en tant que chef de projet. J’ai été amené à beaucoup voyager, les sites de production étant répartis un peu partout dans le monde même si j’ai essentiellement travaillé en Europe. J’ai ensuite travaillé sur un site de production en Belgique durant huit ans, en occupant divers postes de management, des services techniques et de R&D. En 2006, j’ai été muté à Dijon pour reprendre la direction industrielle d’un site de production de plaques PVC. Et depuis 2014, j’ai repris la direction générale de ce site. Quelle a été votre formation initiale ? Belge d’origine, j’ai fait tout mon parcours scolaire en Belgique. Je suis diplômé d’une faculté polytechnique (universitaire bac+5), dans la spécialité Mécanique (conception de machines). Le titre précis est « ingénieur civil mécanicien ». J’ai obtenu ce diplôme en 1986. Pourquoi avoir choisi le DUA d’emlyon ? Lors de ma prise de fonction de directeur de site début 2014, j’ai demandé une formation générale de management. Si les aspects techniques d’une entreprise de plasturgie n’avaient plus vraiment de secrets pour moi et que le management d’équipe m’était également familier, j’étais un peu moins à l’aise avec les autres aspects du management d’un site. Voulant m’impliquer un maximum dans cette nouvelle fonction, j’étais volontaire pour me perfectionner dans la finance, les RH et même les aspects commerciaux et marketing. J’ai effectué quelques recherches sur internet pour comparer diverses formations globales (je ne voulais pas d’une formation trop ciblée sur l’un ou l’autre aspect). C’est ainsi que j’ai découvert le module DUA (Diriger Une Activité) de emlyon business school qui se déroule sur à peu près une année à raison de deux à trois jours par mois. La participation à une présentation du module a fini de me convaincre que c’était la formation qu’il me fallait. Comment avez-vous financé cette formation ? La formation a été entièrement financée par mon entreprise, avec une prise en charge partielle de l’Organisme Paritaire Collecteur Agréé. Que vous a apporté cette formation, à titre personnel et à titre professionnel ? Mon expérience professionnelle a développé chez moi un style de management très opérationnel. De part mon parcours, je suis très orienté résultats et très pragmatique. Avec la formation DUA, j’ai été davantage sensibilisé au leadership (c’était d’ailleurs le point sur lequel mon employeur et moi avions convenu que je devais évoluer). Définir une vision d’entreprise, la faire partager, donner du sens, pratiquer le coaching… Autant d’aspects éloignés de la technique pure, mais essentiels pour faire évoluer l’entreprise. Dans le cadre des modules leadership, j’ai défini un pacte managérial basé sur ces aspects, pacte qui m’a obligé à « sortir la tête du guidon » pour davantage accompagner mes collaborateurs et créer un environnement propice à leur développement et à leur montée en compétences. La formation DUA m’a également permis d’approfondir le concept de chaîne de valeur que, comme beaucoup, je connaissais de manière un peu superficielle. J’ai (re)découvert Michael Porter et j’ai mis ses principes en pratique. C’est un outil extrêmement puissant dans l’analyse d’un domaine d’activité, que ce domaine soit celui dans lequel on évolue ou un secteur dans lequel on envisage une croissance externe. Les modules de finance m’ont également permis d’affiner mon analyse financière, de la rendre plus pertinente. C’est indispensable pour améliorer le contrôle de gestion ou pour évaluer la bonne santé d’une entreprise ciblée pour une croissance externe. J’ai été agréablement surpris par le niveau des professeurs. La plupart ont eu des parcours bien remplis et font vivre leurs cours avec des exemples concrets, qui parlent à tous. Ils donnent vraiment envie d’en savoir plus. A titre personnel, j’ai fait de très belles rencontres que ce soit au niveau des enseignants que des autres participants. Tous sont mus par le même désir de progresser et d’aller vers les autres. Quel conseil donneriez-vous à un(e) professionnel(le) désireux d’adopter votre démarche ? Le programme DUA est très souple et reste compatible avec une vie en entreprise, sans empiéter trop sur la vie personnelle. Venir avec un projet propre est essentiel car il permet d’appliquer les concepts enseignés à la réalité vécue, ce qui est plus efficace et ancre davantage les notions étudiées. Les lectures proposées sont pertinentes. Elles ne sont pas obligatoires pour bien suivre les cours, mais elles apportent indéniablement beaucoup d’éclairage à des concepts parfois moins évidents de prime abord. Le temps passé à ces lectures est donc un investissement rentable.
Professeur-chercheur en comportement organisationnel à emlyon business school
Thierry Nadisic
Un Bac +5 après un CAP : Patrick Gaymard, parcours d’un autodidacte
“Gaymard, vous ne ferez jamais rien de votre vie !” Est-ce cette phrase, prononcée au collège par un enseignant à l’égard de son élève, qui a nourri la volonté, la persévérance et l’ambition de Patrick Gaymard ? Impossible de le savoir, pourtant le parcours du Directeur général de la société Innovations et Paysage impose le respect. Véritable autodidacte, Patrick partage avec nous son parcours et son retour d’expérience de l'Executive Master Management Général, qu’il a suivi de 2018 à 2019. Lorsqu’on lui demande de retracer son parcours, Patrick Gaymard annonce la couleur : “J’ai 55 ans. Je suis dans la quarantième année de travail”. Sans le dire, on sait ainsi immédiatement de quoi la carrière de Patrick est faite : de travail, de persévérance, mais aussi d’ambition. 1980. Patrick rentre comme apprenti sur le site de Vénissieux de Renault Véhicules Industriels (Ex Berliet, aujourd’hui Renault Trucks), un des plus grands employeurs de la région Rhône-Alpes, qui produit des poids-lourds, autobus et cars. Après avoir obtenu son CAP de tôlier- chaudronnier et durant 7 ans, Patrick va construire des autobus sur les chaînes de montage. Mais il ne se voit pas assembler des pièces de carrosserie d’autobus toute sa vie : Patrick a de l’ambition, et il réalise rapidement que les opportunités de carrières seront peu nombreuses dans une entreprise qui compte 10.000 salariés. Patrick traverse alors les monts du lyonnais pour prendre, près de Saint-Etienne, un poste de chaudronnier dans la société Marrel, spécialisée dans la fabrication de bennes pour remorques et semi-remorques. La Loire lui réussit : 2 ans plus tard, Patrick devient responsable qualité, avec de nouvelles missions : réaliser et suivre la mise en œuvre des processus de contrôle qualité, mettre en œuvre la politique qualité jusqu’à l’obtention de la norme ISO 9002. Patrick connaît ensuite plusieurs métiers et entreprises, toujours vers plus de responsabilités : responsable qualité, responsable commercial. En 2008, Patrick subit de plein fouet la crise économique : licencié économique à deux reprises en l’espace de 12 mois, il s’interroge sur son avenir ; l’idée de devenir dirigeant le titille : “ A l’époque, j’avais déjà des idées de monter en capital dans des entreprises, il me manquait la bonne occasion et le bon contexte pour pouvoir le faire”, témoigne t-il. La crise terminée, Patrick relance sa carrière en 2010 et entre dans l’entreprise “Innovations et Paysage” en tant que technico-commercial. Encore une fois, il gagne la confiance des dirigeants de la société ligérienne qui fournit du matériel et solutions aux professionnels du monde du paysage, des espaces naturels, de la forêt et des collectivités : en 2012, il devient alors chef de produit, un nouveau métier et une nouvelle expérience à ajouter dans sa carrière. Un an plus tard, la patience de Patrick est récompensée : un des deux créateurs de l’entreprise annonce qu’il va prochainement quitter l’entreprise et vendre ses parts. Quelques mois plus tard, Patrick rentre au capital de son entreprise et en devient le Directeur Général en 2019. “Mon associé habite en Allemagne, il était donc capital que l’autre associé puisse être présent localement pour gérer l'opérationnel”. Le PGM lui apporte crédibilité et assurance Mais, malgré ses 38 années d’expérience professionnelle, Patrick sent qu’il a besoin d’être mieux armé dans les différents domaines et pratiques qu’un dirigeant doit maîtriser : finances, marketing, management…. Tombant par hasard sur une publicité de l’école pour un programme court, Patrick se renseigne sur les différents programmes proposés à emlyon business school. Un programme attire alors son attention : l'Executive Master Management Général, qui forme les cadres en activité dans leur pratique du management, en leur fournissant les compétences métiers adéquates mais aussi les capacités de savoir-être nécessaires (leadership, écoute…). “Ce qui m’a plu, c’est que le PGM proposait un programme très complet, qui couvrait tous les besoins d’une entreprise en terme de gestion” confie Patrick. Ne disposant pas de diplôme après le bac, Patrick doit au préalable préparer un dossier pour valider ses acquis professionnels. Après en avoir parlé à ses associés et pesé l’engagement qu’il prenait, Patrick saute le pas : durant 20 mois, il alternera entre Loire et Rhône, entre son rôle de Directeur Général et un nouveau rôle, celui d’étudiant. Un rythme soutenu, des concessions et beaucoup d’abnégation pour parvenir à décrocher en 2019 le diplôme de l'Executive Master Management Général. Une profonde satisfaction pour ce dirigeant de 55 ans : “Le programme m’a apporté de solides connaissances en gestion financière, en stratégie, en marketing,...beaucoup d'éléments qui me permettent aujourd’hui de mettre en application des techniques efficaces, notamment en période de crise.” Un programme vecteur de connaissances et de savoir-être, et un diplôme vecteur aussi de confiance : “Ce diplôme m’apporte de la crédibilité en interne, non pas que je n’en avais pas, mais désormais mes équipes savent que leur directeur a fait l’effort de renforcer ses connaissances, de se remettre en cause pour pouvoir progresser dans sa pratique” analyse t-il. Alpinisme, course à pied, cyclisme...Patrick semble avoir autant d'activités dans sa vie privée qu’il a eu des postes et d'expériences dans sa carrière professionnelle...Un parcours si riche qu’il compte même en faire un livre. Son titre ? Ambition, motivation, implication. Des valeurs qui ont un point commun : l’action, comme mouvement, et comme engagement. Destiné aux professionnels, l'Executive Master Management Général leur permet d’adopter une posture managériale consolidée, de développer des pratiques de pilotage et d'animation d'équipe innovantes, d’acquérir une vision globale de l'entreprise et de son environnement et de maîtriser les fondamentaux pour plus d'efficacité opérationnelle.