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Pour résoudre l’épineux problème du recrutement de « ressources rares », notamment dans le domaine commercial, emlyon business school invente une école d’un nouveau genre. Décryptage d’un pari gagnant.

Des « ressources rares » de plus en plus difficiles à recruter « La grande majorité des entreprises sont confrontées tôt ou tard à des difficultés de recrutement, soit en raison du manque de visibilité de leur marque auprès des professionnels, soit parce qu’elles cherchent des « ressources rares », c’est-à-dire des profils très demandés dans tous les secteurs », confie Laurent Poiret, Chef de Projet programmes de formation continue sur-mesure, emlyon business school. Parmi les secteurs confrontés à cette pénurie de profils : « les constructeurs automobiles, qui rencontrent aujourd’hui des difficultés de recrutement dans les métiers de concessionnaires », explique Christiane Momprivé, Responsable du Développement des Compétences Commerciales chez Renault Trucks France. Et l’entreprise made in France en a fait les frais. « Les jeunes n’étaient pas spontanément attirés par la vente de camions, et nous avions du mal à constituer des équipes commerciales », ajoute-t-elle. L’École de Vente, une formation gagnant-gagnant C’est précisément pour aider les entreprises à recruter et à fidéliser de nouveaux talents qu’emlyon, en partenariat avec The Adecco Group, crée une école d’un nouveau genre : l’Ecole de Vente. Le principe : élargir les critères de recrutement pour aller chercher de nouveaux profils qui n’auraient habituellement pas répondu à l’offre, et mettre en place un parcours de formation continue calibré pour ces jeunes recrues. « Ce type de dispositif apporte une solution innovante et pragmatique aux problématiques de recrutement rencontrées par les entreprises », décrit Laurent Poiret. Ce nouveau levier de recrutement présente trois grands avantages pour les entreprises. Tout d’abord, un vivier de candidats, sélectionnés en fonction de leur motivation, de leurs qualités et de leur potentiel de développement au sein de l’entreprise. Deuxièmement : une formation sur-mesure en adéquation parfaite avec les besoins de l’entreprise pour préparer les nouvelles recrues au terrain. « Nous réalisons ces formations en partenariat étroit avec l’entreprise, pour répondre de la manière la plus fine possible à ses enjeux métiers », détaille Laurent Poiret. Enfin, un processus de recrutement et une gestion administrative facilités, car intégralement gérés par The Adecco Group. En plus d’aider les entreprises à attirer des talents, l’Ecole de Vente constitue un laboratoire capable de faire évoluer les métiers et les pratiques. « Les étudiants de l’École de Vente sont invités à imaginer et présenter les innovations qu’ils anticipent pour leur futur métier. » précise Laurent Poiret. Un programme également attractif pour les nouveaux collaborateurs qui sont, durant le temps de leur formation, en CDI intérimaire avec The Adecco Group, et qui s’assurent d’obtenir un emploi dans l’entreprise à l’issue de leur cursus, validé par un certificat emlyon. Un programme gagnant-gagnant. L’École de Vente Renault Trucks : pari réussi pour recruter et former des commerciaux Parmi les grands groupes qui ont opté pour ce nouveau dispositif avec emlyon : Renault Trucks. « Ouvrir une École de Vente, c’est attirer de nouveaux talents, c’est leur montrer ce que nous souhaitons faire de notre marque, véhiculer une image d’entreprise dynamique. En un mot : c’est former des vendeurs qui partagent nos valeurs », explique Christiane Momprivé. 16 nouveaux aspirants commerciaux intègrent ainsi la première promotion de l’École de Vente Renault Trucks, en octobre 2017. Conçu spécialement pour Renault Trucks, le programme vise à transformer les candidats en experts de la vente et de l’univers de la marque. Un parcours pédagogique ambitieux qui mobilise 25 formateurs, dont une dizaine de professeurs d’emlyon. Durant les 60 jours de la formation, la pédagogie inversée « assure le lien entre l’expérience et l’entreprise ». Ce processus éducatif est au centre du concept École de Vente, afin que les apprenants mettent en pratique leurs acquis directement sur le terrain et s’intègrent dès le départ au sein de leur futur environnement de travail. Les compétences développées au fil de la formation, sont évaluées par des points réguliers : « deux fois par semaine, debrief sur les bonnes pratiques et brief sur les prochaines étapes », précise Christiane Momprivé. « Les jeunes ont ainsi une vraie feuille de route de progression individuelle », ajoute Laurent Poiret. Un an après son lancement, les résultats de l’École de Vente « dépassent les espérances ». « Nous ne pensions pas qu’elle participerait autant à la reconnaissance de la marque et à sa revitalisation », confie Christiane Momprivé. Fort de cette réussite, Renault Trucks a décidé d’élargir son cursus de formation à de nouveaux métiers. « Nouveau levier de recrutement pour les entreprises et véritable vecteur d’employabilité pour les individus, ce dispositif est flexible et peut-être adapté aux besoins de chaque organisation. Tout peut être imaginé en termes de format, de durée, de contenu, de structure du programme, de profils recherchés...Nous pouvons très bien décliner un tel parcours pour une cible de managers par exemple. » conclut Laurent Poiret. Formation intra-entreprise et sur-mesure Décliner ou co-construire un programme en adéquation avec les enjeux stratégiques de votre entreprise Basées sur l’expertise de nos professeurs et sur l’écosystème emlyon business school, les solutions sur-mesure visent à répondre aux enjeux de transformation des organisations et des collaborateurs. L'action learning est au coeur de la pédagogie pour vous garantir un impact individuel et collectif dans la durée.

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Le conseil d’administration est un organe de gouvernance essentiel à la pérennité et au développement des entreprises car c’est en son sein que les stratégies sont validées et évaluées. Il est aujourd’hui confronté à de nouveaux défis en matière de durabilité qui percutent et transforment les comportements et les compétences des administrateurs. Le programme « Governance for sustainability» entend répondre à cette transformation de fond en faisant des administrateurs et des administratrices des acteurs compétents et éclairés en matière de transition et de développement durable et rentable. L’actualité montre qu’un nombre croissant d’entreprises sont confrontées à des attentes sociétales et marchandes qui interrogent directement le caractère durable des stratégies qu’elles poursuivent. Le changement climatique, les enjeux énergétiques, écologiques, sociaux et stratégiques, renforcent cette ambition de durabilité en poussant les entreprises à anticiper les risques et à définir des trajectoires d’adaptation. Les grands gestionnaires d’actifs comme BlackRock refusent de renouveler les mandats de certains administrateurs dont les engagements en matière d’intégration des enjeux de durabilité sont jugés insuffisants. La diffusion rapide et quasi-généralisée des critères ESG change également la donne sur le rôle et les attendus du conseil d’administration. Toutes les entreprises qu’elles soient cotées ou non sont aujourd’hui confrontées à des objectifs de durabilité dont l’acuité ne fera que se renforcer dans les années qui viennent. Ces objectifs de durabilité ont bien souvent un caractère ambivalent et peuvent dans bien des cas constituer des opportunités pour les dirigeants qui sauront anticiper et préparer leurs entreprises. Ces attentes en matière de durabilité convergent vers le conseil d’administration pour deux raisons. Le conseil d’administration est tout d’abord l’organe qui est juridiquement responsable des grandes orientations stratégiques, de l’identification des risques et du contrôle de leur bonne exécution. Les revendications et attentes en matière de durabilité concernent au premier chef les administrateurs et les administratrices du fait des fonctions qu’ils occupent et les responsabilités qui sont les leurs. En outre, le conseil d’administration a également l’avantage d’être à distance des objectifs de performance opérationnelle et de court terme. Contrairement aux dirigeants, les administrateurs ont la possibilité de prendre du recul et de se projeter sur des ambitions de plus long terme. Ils ont une distance et un positionnement qui les placent naturellement sur une trajectoire et une ambition de durabilité. Ces évolutions font et feront des conseils d’administration des organes essentiels en matière de validation et de mise en œuvre de stratégies durables pour le bénéfice des entreprises et de leurs parties prenantes. Le programme que nous proposons entend préparer les nouvelles générations d’administrateurs et d’administratrices à cette ambition de durabilité compte tenu des limites planétaires. Face à ces nouveaux enjeux climatiques, énergétiques, écologiques, sociaux et stratégiques, emlyon business school, l’Institut Français de Gouvernement des Entreprises et HeR value créent un nouveau programme court « Governance for sustainability» en prolongement du certificat « Objectif Conseil d'Administration ». La formation Governance for sustainability» propose des enseignements hybrides, et des regards complémentaires entre les sciences dures et les sciences sociales afin de donner aux participants des clés de lecture percutantes et adaptées aux contextes auxquels ils sont confrontés. A l'issue de la formation, tous les participants auront acquis des clés de lecture en matière d’innovation et de gouvernance de la transition afin de s’assurer que les entreprises dans lesquelles ils détiennent un mandat mettent en place des objectifs en matière de durabilité à la fois ambitieux et réalistes en termes d’horizon temporel. Les enseignements visent également à permettre aux administrateurs de définir des trajectoires et des objectifs de durabilité adaptés à chaque entreprise en tenant compte de son histoire, de son identité, des particularités de sa gouvernance et de ses enjeux. Les témoignages de dirigeants mis au cœur du dispositif pédagogique permettront aux participants de saisir comment les entreprises font des objectifs de durabilité des leviers pour bâtir des capacités stratégiques afin de relever les grands défis sociaux, technologiques et environnementaux contemporains. Notamment des dirigeants qui ont soit créé leur entreprise en prenant en compte ces enjeux ou qui transforment leur entreprise compte tenu de la prise de compte croissante de ces enjeux. L’ensemble des enseignements du programme donneront aux participants toutes les clés pour accompagner et soutenir les équipes dirigeantes dans des ambitions de durabilité et de transition susceptibles de régénérer et de développer les fondamentaux économiques de leurs entreprises. _________ Pour en savoir plus sur la formation Governance for Sustainability, n'hésitez pas à contacter Astrid Loi : 06 07 35 21 98 aloi@eml-executive.com

Votre contact Astrid LOI, Conseillère en formation aloi@eml-executive.com +33(0)6 07 35 21 98

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emlyon business school est l’une des plus anciennes écoles de commerce en Europe. Son histoire est marquée depuis ses débuts par l’entrepreneuriat et l’innovation : des spécialités qui expliquent sa position parmi les meilleures écoles de France, et sa réputation en Europe et dans le monde.

emlyon business school participe à l’accompagnement et au développement des entreprises à plusieurs niveaux : par les enseignements, les projets menés par les participants durant leur passage à l’école, mais aussi par son incubateur. Ce sont plus de 950 entreprises qui ont été créées par celui-ci et sa qualité est démontrée par ses chiffres : 85% des entreprises constituées étaient toujours actives après 5 ans, pour un impact social de plus de 11000 emplois créés. Les programmes de formation continue sont très imprégnés par cette culture entrepreneuriale. Le certificat « Diriger Une Activité » (DUA), délivré sur les campus de Lyon et Paris, permet notamment aux managers et dirigeants de gagner en agilité dans le pilotage de leur entreprise grâce à la maîtrise des fondamentaux : Stratégie, Finance et Leadership. C’est aussi l’occasion pour eux de prendre de la hauteur par rapport à leur fonction et à la stratégie de l’entreprise. Dans un quotidien très opérationnel, ils peuvent ainsi bénéficier d’un véritable moment de recul pour analyser leur environnement à 360° et donner naissance à d’importantes évolutions et à de grands projets en interne, aussi challengeant qu’une création d’entreprise. « Notre vocation est de développer des makers, c’est-à-dire des personnes capables de s’approprier les innovations pour développer de nouveaux business ou renforcer les business existants, par la création d’entreprise mais aussi par l’intrapreneuriat » explique Françoise Dany, Directrice Relations Entreprise d’emlyon business school. Aujourd’hui, les nouvelles technologies sont au cœur des formations emlyon business school. « Elles sont utilisées pour enrichir la pédagogie et permettre à chacun d’avancer à son rythme. Des experts de marketing digital, de stratégie ou de data management témoignent et identifient avec les participants comment les technologies vont aussi faire bouger leurs métiers. L’idée est de multiplier les expériences et les échanges pour permettre à chacun de trouver des solutions adaptées à sa situation ». Dans le parcours « Diriger Une Activité », les apprenants en formation continue – cadres et dirigeants d’entreprise – expérimentent des outils digitaux et se confrontent à un monde global. Les travaux et projets sont gérés sur des plateformes collaboratives qui permettent une prise en main concrète des nouvelles technologies. « Nous offrons des cours et un environnement qui favorise l’évolution des comportements et des fonctionnements par l’expérimentation de nouvelles pratiques de travail plus collaboratives et connectées. En travaillant sur des cas concrets, les participants ont l’opportunité de s’approprier de véritables problématiques d’entreprise ». Le développement de nouvelles compétences leur permet, une fois de retour dans leur organisation de devenir acteur de la transformation. Le rythme du programme « Diriger Une Activité » est particulièrement compatible avec une activité professionnelle : 2 à 3 jours par mois pendant un an. Entre chaque cours, le participant peut expérimenter concrètement les concepts qu’il vient d’apprendre pour réellement contribuer et accompagner le changement. «Les participants, à travers les formations proposées par emlyon business school revisitent leur parcours ; à l’issue de leur expérience à emlyon, ils savent ce sur quoi ils sont bons et peuvent définir un projet qui correspond aussi à leur motivation, à ce qui fait sens pour eux». TÉLÉCHARGEZ NOTRE PLAQUETTE

VOTRE CONTACT LYON Gonzague Werquin N&B Gonzague WERQUIN Conseiller en formation werquin@eml-executive.com +33 (0)4 72 18 29 46

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La concurrence sur les marchés devient acerbe, le rythme de lancement des nouvelles offres s'accélère et en parallèle, le consommateur devient de plus en plus insaisissable... Plus que jamais, innover est donc essentiel. La révolution du numérique, mais aussi l’explosion des nouvelles technologies dans un grand nombre de secteurs, banalisent l’innovation. Mal préparées, elles conduisent les trois quart du temps à des échecs. Se pose alors la question de la meilleure stratégie pour bâtir des innovations viables. Le design thinking apporte une nouvelle voie pour innover. Quels sont les principes forts sur lesquels il repose ?

Se focaliser sur l’humain pour ressentir les usages Dans un monde mouvant et très dynamique, les démarches marketing classiques reposant sur les études qualitatives et quantitatives montrent leurs limites. Une voie possible est d’adopter une approche plus empirique, plus empathique, centrée sur les utilisateurs du futur produit ou service dans ses besoins et désirs les plus humains - exprimés ou inconscients. Qui est-il ? Que ressent-il ? Comment utilise-t-il l’existant ? Qu’est-ce qu’on pourrait lui simplifier ? Quels sont ses manques ?... Il faut aller au-delà des simples besoins fonctionnels. En effet, en limitant ses investigations par l’unique recueil des attentes formulées, le risque est élevé de passer à côté du réel besoin : une solution de façade - rapidement mise à mal par le premier concurrent entrant - serait apportée. Alors qu’en recherchant les motivations profondes, en comprenant l’usage futur du produit dans toutes ses dimensions, l’offre innovante répondra point par point à toutes les exigences exprimées ou non. Implémenter la co-création pour libérer la créativité Autre pilier du design thinking : le travail en groupe. En décloisonnant la création avec un collectif composé de profils pluridisciplinaire : technique, commercial, comptable, logistique… Chacun apporte un point de vue, une vision qui lui est propre. Autant d’angles d’approche féconds pour inventer une expérience radicalement nouvelle. Autant de temps d’échanges qui permettent de trouver de nouvelles idées, que chacun n’aurait pas pu avoir seul. Imaginer les solutions en alternant créativité et rationalisation Pour trouver des réponses aux problèmes identifiés et retenus, le design thinking procède en 2 temps. Le premier consiste à « questionner la question » dans tous les sens, à sortir du cadre habituel pour générer des idées en rupture avec les solutions classiques. C’est la pensée divergente. Par exemple, pour éradiquer une maladie dans un pays en voie de développement, un laboratoire s’il ne questionne pas la question, va spontanément lancer des recherches pour un nouveau médicament. Alors qu’il pourrait questionner les sources de la maladie (qualité de l’eau, règle d’hygiène…) et proposer un service tout à fait innovant, et n’absolument pas orienter sur un médicament. Dans un second temps, les idées sont rationalisées : approfondies, classées, évaluées. Cette phase se nomme la pensée convergente. Cette approche dichotomique est la base du fameux outil “le brainstorming”. S'appuyer sur la force du prototypage Comment s’assurer que la réponse retenue au problème identifié est la meilleure ? Le design thinking s’appuie encore une fois sur le pragmatisme. La meilleure façon de vérifier cette hypothèse est de présenter au futur utilisateur, le plus en amont possible, un prototype de la solution imaginée. Les informations recueillies permettent soit de valider la réponse, soit de revoir sa copie. Pour cette dernière alternative, 2 cas sont possibles : la solution n’est pas adaptée, il convient donc de travailler sur un nouvel angle - ou bien le besoin n’est pas correctement défini : le groupe reprend alors la première phase afin d’enrichir son analyse. Ce processus est une des forces du design thinking. Les stratégies traditionnelles consistent à compiler des informations, élaborer un nouveau produit (ou service) puis commercialiser l’offre. Une fois le produit lancé, en cas d'échec, le retour en arrière est très compliqué et très coûteux. Pour réduire ce risque, le design thinking adopte une démarche au plus près de l’utilisation ciblée. Elle procède par des confrontations successives entre le prototype et le client potentiel afin de modeler la solution idéale. Cette méthode n’attend pas le verdict du marché pour remettre en cause la solution. Une agilité en phase avec les défis d’aujourd’hui et de demain. Implémentez le design thinking dans votre entreprise ! Pour savoir innover sur ses marchés, emlyon business school a conçu le certificat “Stratégie d'innovation par le design thinking”. Il s’adresse aux cadres, managers, dirigeants souhaitant élever leur niveau de performance et participer activement aux transformations stratégiques de leur entreprise. La pédagogie s’appuie sur des ateliers et sur une organisation en petits groupes. Une large part est réservée à la mise en pratique des concepts étudiés. L’équipe pédagogique est multidisciplinaire, comprenant des experts en design thinking, design, stratégie, management, anthropologie, sociologie… Cette formation (certifiée par emlyon business school – Top 3 des business schools en France / Le Point 2017) est conçue sous un format compact : 6 jours consécutifs dans un environnement porteur d’innovation (fablab et incubateur du campus emlyon). Informations pratiques : Le certificat est éligible CPF (Compte Personnel de Formation) et finançable par votre entreprise.

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DIF, CPF… pourquoi est-ce le moment de les mobiliser ?

Vous faites partie d’une entreprise de plus de 50 salariés ? Vous avez accumulé depuis plusieurs années des heures de formation professionnelle au titre du DIF (Droit Individuel à la Formation) puis du CPF (Compte Personnel de Formation) ? Il est temps d’en tirer profit ! Nous vous expliquons : Une réforme de la formation professionnelle est en cours et prendra effet au 1er Janvier 2019. Vous vous demandez surement : en quoi cela me concerne-t-il ? Le CPF ne se comptera désormais plus en heures mais en euros et sera plafonné à 5 000 € pour les emplois qualifiés et 8 000 € pour ceux non qualifiés. Une année de travail à temps plein permettra de cumuler l’équivalent de 500 € d’heures de formation. Jusqu’à fin 2018, les OPCA contribuent au financement des formations en se basant sur un nombre d’heures DIF/CPF auxquels ils associent un coût horaire. Dès janvier 2019, les compteurs d’heures seront convertis en montant utilisable pour une formation et surtout plafonnés. Il est donc plus intéressant d’envisager un diplôme de grande école en formation continue dès maintenant. Ne paniquez pas ! Vous êtes juste dans les délais pour entamer une formation professionnelle dès la rentrée de Septembre 2018 et ainsi bénéficier de l’aide des OPCA pour financer votre projet de formation continue. N’attendez-plus, profitez-en ! À emlyon business school, nous proposons des formations professionnelles éligibles au financement par le CPF et adaptées à chaque profil : Des diplômes : Vous êtes futur manager / manager opérationnel Executive Master Management Général Vous êtes manager expérimenté / directeur à l’international Executive MBA Vous êtes middle manager à l’international Full Time MBA Des certificats : Vous êtes porteur de projet de transformation digitale Transformation Digitale des Organisations Vous êtes cadre de direction / directeur de BU Diriger une Activité Des formations intra-entreprises et sur-mesure : déclinez ou co-construisez un programme en adéquation avec les enjeux stratégiques de votre entreprise. Un doute persiste ? Nous sommes là pour vous éclairer, contactez Ludivine !

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Action learning, design thinking, maker’s bridge, Big Data… Connaissez-vous l’approche pédagogique inédite de notre Executive MBA ?

Destiné à des managers expérimentés ou porteurs de projet entrepreneurial, de création ou de reprise d'entreprise, l' Executive MBA d’emlyon business school s’apprête à faire sa rentrée au mois de mars prochain sur le campus de Paris. Classé 2e meilleur EMBA français* et 10e au monde pour la progression de carrière*, ce programme bénéfice des dernières innovations en termes de pédagogie et de dispositifs d’apprentissage. Pascale Berthier, Directrice du MBA à emlyon business school, présente les points forts de cet EMBA. Cet Executive MBA, à qui se destine-t-il tout particulièrement ? A des cadres de direction qui ont en moyenne 14 ans d’expérience professionnelle, soit en tant qu’experts dans leur domaine (finances, marketing, scientifique) soit en tant que généralistes (responsable d’unité) et qui souhaitent comprendre les grands enjeux géopolitiques, sociétaux, technologiques afin d’évoluer dans un monde volatile, incertain, complexe et ambigu. Faire un EMBA à emlyon business school, signifie être Early Maker, une personne qui anticipe (Early) grâce à sa compréhension des grands enjeux et qui agit (Maker) grâce aux dispositifs d’apprentissage par l’action. Comment se déroulent les premiers jours de la rentrée ? La semaine de rentrée est un rituel important, qui permet aux participants EMBA de « penser en dehors du cadre » dès le premier jour ; en effet le séminaire « Leadership et développement personnel », permet de « tomber la cravate » et de partir à la découverte de soi-même, l’approche projet par le design thinking offre une opportunité de se « décentrer » en allant chercher des références dans des mondes tels que la sociologie, l’art ou la philosophie. Nous créons les conditions de la coopération dans l’apprentissage. Viennent ensuite les « cours fondamentaux » en stratégie, finance, marketing et RH, ainsi qu’une sensibilisation aux enjeux actuels, Big Data notamment. Des exemples de l’approche pédagogique offerte par l’EMBA ? Une approche par l’action learning, notamment dans le cours de stratégie où les participants sont amenés à établir le diagnostic stratégique de leur entreprise, une animation en petits groupes de 12 à 14 lors des séminaires « leadership et développement personnel » qui permet une proximité entre participants et une meilleure découverte de soi-même et des autres, des groupes de co-développement de 4 à 6 personnes accompagnées par un coach. Pour nos participants fast tracks (programme en un an versus deux), une mission en entreprise à temps partiel offre un champ d’application pour le MBA ; pour les participants part time, leur entreprise constitue leur champ d’application. Qu’est-ce que le maker’s bridge, qui permet de faire le lien entre les programmes executive et l’incubateur ? Le Maker’s bridge du campus de Paris, permet à celles et ceux qui le souhaitent de profiter de l'expérience d'emlyon business school dans l'entrepreneuriat pour tester leur fibre entrepreneuriale et a minima d’avoir des contacts qui permettront de savoir ce qu'est l'entrepreneuriat et le startup spirit. Nous avons lancé cette initiative à la demande de nos participants. La confrontation avec des entrepreneurs, notamment lors du cours « Entrepreneurial dynamics » incite certains à franchir le pas… 10 à 15% de nos participants font le choix de l’entrepreneuriat et la tendance est clairement à la hausse ! Rentrée de mars, dernières places disponibles ! Pour plus d’informations, contactez Fotios Konstantinidis ou rendez-vous sur la page du Executive MBA. *Classement Ivy Exec 2017 *Classement Financial Times 2016 - 100 executive MBA programmes

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Ils étaient plus de 4 800 dirigeants réunis cette année pour co-construire l’Entreprise de demain. Cette 3ème édition du Congrès Entreprise DU FUTUR a été pour eux riche en informations, en rencontres et en remises en question... Et si pour se projeter dans l'avenir, il fallait tout repenser ?

Confier aux plus jeunes les décisions stratégiques des entreprises Dès leur arrivée, les dirigeants ont ainsi découvert le concept de shadow comex : 20 entreprises (PME-PMI-start-up) ont accepté que des étudiants (emlyon, Centrale, Epitech, école 101) travaillent sur un de leurs sujets stratégiques à l’ordre du jour de leur comité exécutif. Avec un brief du chef d'entreprise concerné et le soutien d'un coach, 140 étudiants ont disposé de toute la journée pour rédiger des propositions et pitcher leurs suggestions. Redonner le pouvoir aux employés Après une succession de plénières sur la transformation numérique, l'expérience client, le développement des services, Vineet Nayar, ex-PDG indien du géant de l'informatique HCL Technologies, a provoqué le public avec son inspirant EMPLOYEES FIRST, CUSTOMERS SECOND. Remettre l'humain au coeur de la transformation, tel était son message aux dirigeants :"On définit une vision pour l’entreprise mais on oublie de définir une vision pour les employés. Sans ça, ils ne peuvent pas être motivés et fiers de leur entreprise.". Libérer sa créativité par le faire Dans l'Espace Management DU FUTUR, les dirigeants sont venus se confronter à un casse-tête conçu dans le makers' lab d'emlyon business chool. Leur défi : monter en quelques minutes une fusée avec 5 pièces de bois. Apparemment une tâche simple mais qui peut s'avérer compliquée... Mobiliser toute sa concentration, travailler collectivement sur la résolution d'un problème, toucher la problématique du doigt... les participants ont pu retirer de multiples enseignements de cette activité ludique et mieux appréhender l'expérience early maker d'emlyon. Manager par les émotions Quelle est votre humeur du jour ? Et comment l'exploitez-vous dans vos fonctions ? Une question surprenante que nous avons adressée aux congressistes pour qu'ils prennent conscience de l 'impact de leurs émotions dans leur management et leur mode de collaboration. Les dirigeants ont même pu mesurer leur Quotient Emotionnel avec l'application QE Pro, créée par Christophe Haag, professeur en comportement organisationnel à emlyon business school. Co-construire avec ses collaborateurs, ses clients, ses fournisseurs et son écosystème Parce que la transformation d'une entreprise est l'affaire de tous, Enrique Nuñes, professeur en stratégie et organisation à emlyon business school, a travaillé avec une cinquantaine de congressistes pour savoir " Révéler le leadership de ses collaborateurs". En parallèle, dans un autre salle d'atelier, Clément Levallois, Head of the Data R&D Institute at emlyon, a lui choisi d'aborder la question " Comment faire des data un patrimoine ? " aux côtés de Segeco, en illustration de la Chaire signée le soir même et qui réunit désormais les 2 partenaires autour de la thématique de valorisation économique du patrimoine de données des entreprises. 2 ateliers pertinents qui ont contribué à démontrer le pouvoir et l'importance du collectif à différents niveaux. Hybrider les compétences, les intelligences et les cultures Pour conclure cette journée, lors de la table ronde d'honneur, Bernard Belletante, Dean of emlyon business school, a permis aux dirigeants de prendre conscience de la réalité suivante :"Nous ne connaissons pas 85% des métiers qui existeront d'ici 2030 et c'est demain. " Il a ainsi mis en garde les entreprises, les universités et les écoles sur les risques de recruter et de travailler sur des profils et des filières extrêmement définis. "Dotons plutôt les personnes de compétences qui leur permettront d'être flexibles et de prendre des opportunités au moment où ces nouveaux métiers vont apparaître." C'est justement dans cette démarche de soutenir des managers et dirigeants visionnaires qu'a été conçu le Certificat Transformation digitale des Organisations d'emlyon. Même s'ils ne sont pas digital natifs ou professionnels IT, notre rôle est de les aider à mieux appréhender la digitalisation et à propulser leur entreprise dans l'ère numérique. Revivez l'intégralité de la table ronde ci-dessous :

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La 6ème édition du congrès Entreprise DU FUTUR aura lieu le jeudi 1er juillet au Groupama Stadium de Lyon. Elle réunira 700 dirigeants d’entreprise autour de la transformation des organisations et de la relance économique. « Parrain de cette édition 2021, emlyon business school est aussi membre fondateur de l’Entreprise DU FUTUR. Partenaire économique des entreprises du territoire depuis 150 ans, l’École souhaite cette année, plus que jamais, leur montrer leur soutien dans le contexte actuel », explique Isabelle Huault, Présidente du directoire et Directrice générale d’emlyon business school. L’évènement proposera aux participants des temps d’échange et de partage tout au long de la journée : INSPIRATION : Intervention de Victorien ERUSSARD, Luc JULIA, Tony PARKER, Jean-Michel AULAS, Eric SALOBIR, Karima KAHLAOUI… ; RENCONTRES : Chaque membre rencontrera des Présidents et Directeurs Généraux au service de son business et de son accélération ; COLLABORATION : 20 MasterClass seront organisées pour travailler en collectif avec d’autres dirigeants et un expert autour de leurs enjeux stratégiques. Philippe Silberzahn, professeur en innovation et entrepreneuriat à emlyon business school, proposera d’ailleurs une MasterClass sur « Les Petites victoires » des dirigeants d’entreprise. Nourri par ses trente années d'expérience auprès d'organisations publiques et privées, Philippe Silberzahn montrera comment une série de petites victoires est plus susceptible de résoudre les problèmes complexes, qu'il s'agisse de la transformation d'une entreprise ou de la lutte contre le réchauffement climatique. Son objectif est de donner des clés pour agir de façon déterminée dès aujourd'hui et commencer à transformer le monde. Lire l’intégralité de l’interview d’Isabelle Huault sur l’engagement d’emlyon ici

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Entretenir une relation durable avec ses clients est essentiel pour les entreprises. Les chiffres le prouvent : statistiquement, un client fidèle augmente son panier moyen au fil du temps et recommande l’entreprise à ses proches. La fidélisation est une stratégie à part entière, qu’il faut prendre le temps de définir et d’appliquer.

Tous les cinq ans, une entreprise perd en moyenne 50% de ses clients*. Cette statistique importante montre la nécessité des entreprises de gagner sans cesse des clients. Cette croissance repose sur la prospection et nécessite du temps, des investissements et beaucoup d’efforts pour convaincre des interlocuteurs encore non-usagers d’un produit ou d’un service. Un autre levier de croissance est à travailler : la fidélisation. Il s’agit de capitaliser sur les clients existants. L’enjeu est de les conserver afin de créer de la récurrence mais aussi d’augmenter leur panier moyen et de capitaliser sur leur satisfaction. Un client heureux le fait savoir. Il recommande l’entreprise ou la marque et devient un ambassadeur voire un relai commercial puissant. Comment fidéliser ses clients ? Tout d’abord en les identifiant. Les efforts de fidélisation sont à concentrer sur les clients à fort potentiel. Il faut donc prendre le temps d’étudier votre base de données clients pour identifier ceux qui ont le plus de potentiels. Il s’agit de la fameuse Loi de Pareto des 20/80 : définir les 20% de clients qui réalisent 80 % de votre chiffre d’affaires. Cette liste de clients à fort potentiel doit aussi être agrémentée d’éléments qualitatifs : historique des échanges, proximité avec le dirigeant, notoriété apportée par ce client… Ce travail de définition de la cible est important. C’est la première étape de la stratégie de fidélisation. En connaissant vos clients, vous serez plus pertinent dans vos démarches commerciales et les mécanismes de fidélisation à proposer. Certificat Développement Commercial : Un certificat de 9 jours pour piloter son équipe au service de l’efficacité commerciale. Quels leviers de fidélisation ? La fidélisation passe par plusieurs éléments : - La qualité de vos prestations : c’est primordial, un client sera fidèle si les services ou les produits sont pertinents et de qualité. Cette exigence concerne également le service après-vente. S’ils rencontrent un problème, la résolution doit intervenir rapidement pour ne pas laisser un mauvais souvenir. - L’incitation à devenir des ambassadeurs : les clients satisfaits sont heureux de partager l’information et de devenir des vecteurs de communication positifs. Mais vous pouvez les inciter à vous recommander, avec la remise de bons cadeaux ou le versement d’une commission d’apporteurs d’affaires. Vous pouvez également leur offrir des avantages non financiers comme un accès privilégié à une visite de l’entreprise. - La mesure de la satisfaction : s’assurer régulièrement de la satisfaction des clients permet d’ajuster, si besoin, le positionnement et peut faire naître de nouvelles idées. Cela prouve également la considération de l’entreprise des avis de ses clients les plus fidèles. - Une communication régulière : ne laissez pas vos clients vous oublier. Il est important de donner des nouvelles régulièrement : actualités de l’entreprise, lancement de nouveaux produits ou services, recrutement, développement international… Ces messages réguliers sont également l’occasion de communiquer sur les valeurs de l’entreprise. Grâce à cette stratégie de fidélisation, l’entreprise capitalise sur ses clients existants tout en gagnant de nouveaux contacts, recommandés et déjà sensibilisés à l’entreprise et à ses valeurs. Se former pour penser sa stratégie de fidélisation La définition de la stratégie commerciale et de fidélisation peut faire l’objet d’un accompagnement et d’une formation. emlyon business school propose une formation de 9 jours autour du développement commercial. Ce cursus permet d’optimiser la relation client et de favoriser la collaboration avec les autres services de l’entreprise. * source BPI

Votre contact Marion Dordor Conseillère en formation +33 (0)7 88 05 11 27 dordor@eml-executive.com

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Le contexte dans lequel les managers et les dirigeants évoluent aujourd’hui est de plus en plus complexe. Il est marqué par des rythmes serrés, des zones d’incertitudes de plus en plus larges, des tensions sociales vives, et un devoir d’exemplarité de tous les instants, ce qui rend le quotidien plus difficile qu’auparavant.

Ainsi leur faut-il maîtriser des compétences « autres » que celles apprises traditionnellement sur les bancs d’écoles. Parmi elles, « l’intelligence émotionnelle » (IE, le quotient émotionnel représente sa mesure métrique). L’intelligence émotionnelle, un pouvoir extraordinaire L’IE est une forme d’intelligence que des centaines de chercheurs à travers le monde étudient sérieusement et essaient d’évaluer métriquement depuis la fin des années 80. Différents modèles d’IE sont apparus au fil du temps, certains plus fiables scientifiquement que d’autres (notamment celui des deux psychologues nord-américains Peter Salovey et John D. Mayer, pères conceptuels de l’IE). Malgré leurs différences, tous ces modèles semblent converger vers un constat : l’IE aurait un impact positif sur plusieurs facteurs tels que la santé, la performance au travail, et le bien-être d’un individu. Même s’il ne s’agit pas d’en faire le seul facteur explicatif du succès d’un individu, il semblerait qu’il y contribue en (grande) partie et cela s’applique aussi aux managers et dirigeants d’entreprise. Ainsi définissons-nous aujourd’hui l’intelligence émotionnelle du manager comme une forme d’intelligence qui suppose la capacité à diagnostiquer son propre état émotionnel ainsi que celui d’autrui et la capacité à mettre en place une tactique émotionnelle afin de favoriser l’épanouissement personnel et collectif et la performance managériale. Il apparaît que les managers doués de cette intelligence sont dotés d’un pouvoir extraordinaire qui leur permet d’exceller dans leur métier, tout en conservant une équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. Ces dernières années, de nombreuses études scientifiques ont révélé qu’un manager au quotient émotionnel élevé a plus confiance en lui, prend de meilleures décisions, est en meilleure santé psychique et physique (il gère mieux son stress et ses angoisses et est moins sujet au burn-out), se laisse moins déborder au travail, génère autour de lui/elle des relations sociales de meilleure qualité, est conscient des conséquences futures de ses actes, a une vie de couple plus harmonieuse, est moins dépendant à l’alcool, etc. Une capacité mentale à développer Les managers et dirigeants ont ainsi tout intérêt à développer cette capacité mentale, trop longtemps reléguée sur le banc de touche par notre système éducatif et professionnel. Car oui, passé un certain âge, il est possible de la développer, contrairement au quotient intellectuel (QI). En effet, des chercheurs français et belges ont découvert que le cerveau émotionnel (et notamment certaines structures cérébrales mises en jeu dans la régulation émotionnelle) est élastique, malléable (on parle de plasticité cérébrale ou neurogenèse) et que l’on pouvait, sous certaines conditions, muscler son IE. Ainsi vous suggérerai-je, comme l’ont fait Tristan Farabet, Virginie Adnet, Thierry Boiron, Catherine Noailly, Pierre Kosciusko-Morizet et d’autres dirigeants ou managers d’entreprise, de commencer par passer un test de QE fiable pour ensuite pouvoir agir, en identifiant notamment les dimensions de l’intelligence émotionnelle qu’il vous faut travailler. À développer son intelligence émotionnelle, le dirigeant gagne à se reconnecter à lui-même et aux autres, et in fine, à endosser plus élégamment son rôle dans l’entreprise. NB : notez que notre étude (menée sur une population de 1 035 managers : 500 femmes et 535 hommes) montre que les femmes ont des scores de QE significativement plus élevés que les hommes. Découvrez la certification QEPro et devenez praticien "certifié QEPro" pour développer l'intelligence émotionnelle des managers et des dirigeants que vous accompagnez. Vous faites passer et débriefez le QEPro dans le cadre d’accompagnements individuels. Proposez aux managers et dirigeants que vous accompagné un programme personnalisé de développement des compétences émotionnelles autour du QEPro. 2 jours de formation 2 500€

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